La flambée des prix des viandes pendant ce mois sacré a engendré l'apparition d'abattoirs clandestins, à l'instar de celui découvert le week-end dernier dans une ferme à la sortie nord de la ville de Souk-Ahras par les services de la Gendarmerie nationale et dont les mis en cause ont été présentés hier devant la justice. L'abattage clandestin a pris de l'envergure et la viande est écoulée dans les souks hebdomadaires où des dizaines de citoyens affluent chaque mardi pour s'approvisionner en viande fraîchement abattue à 500 DA, voire 400 DA le kg, un prix largement en deçà de celui proposé par les bouchers et qui a dépassé 800 DA/kg, bien que cette viande (de brebis généralement) ne soit soumise à aucun contrôle de la part des services vétérinaires. Ceci dit, parmi les produits qui échappent aussi à la vigilance des services de la direction de la concurrence et des prix (DCP) on cite le lait, un produit de large consommation mais aussi à haut risque s'il n'est pas sain. Exposé aux abords des routes, au soleil, ce lait est, dans la majorité des cas, issu de vaches non vaccinées et par conséquent, il peut être dangereux dans la mesure où on a enregistré des dizaines de cas de brucellose et de fièvre aphteuse depuis le début de l'année à travers la wilaya. La flambée des prix des viandes pendant ce mois sacré a engendré l'apparition d'abattoirs clandestins, à l'instar de celui découvert le week-end dernier dans une ferme à la sortie nord de la ville de Souk-Ahras par les services de la Gendarmerie nationale et dont les mis en cause ont été présentés hier devant la justice. L'abattage clandestin a pris de l'envergure et la viande est écoulée dans les souks hebdomadaires où des dizaines de citoyens affluent chaque mardi pour s'approvisionner en viande fraîchement abattue à 500 DA, voire 400 DA le kg, un prix largement en deçà de celui proposé par les bouchers et qui a dépassé 800 DA/kg, bien que cette viande (de brebis généralement) ne soit soumise à aucun contrôle de la part des services vétérinaires. Ceci dit, parmi les produits qui échappent aussi à la vigilance des services de la direction de la concurrence et des prix (DCP) on cite le lait, un produit de large consommation mais aussi à haut risque s'il n'est pas sain. Exposé aux abords des routes, au soleil, ce lait est, dans la majorité des cas, issu de vaches non vaccinées et par conséquent, il peut être dangereux dans la mesure où on a enregistré des dizaines de cas de brucellose et de fièvre aphteuse depuis le début de l'année à travers la wilaya.