L'actuel plan de circulation de la ville de Cherchell semble être tombé en désuétude vu le nombre croissant des véhicules que compte la région. Cette région, un véritable musée en plein air, souffre d'une insuffisance cruciale en voirie, en parkings et en aires de stationnement, chose qui occasionne, en ce mois sacré de Ramadhan, le déclenchement de plusieurs disputes et bagarres surtout à l'approche du f'tour quand les gens sont pressés de retrouver leurs maisons, mais aussi après le f'tour à l'heure des taraouih, les fidèles trouvant du mal à garer leurs voitures. A la sortie ouest de la ville, certaines plaques de signalisation annonçant des arrêts de bus ont été supprimées par des gens que ces arrêts semblent gêner. Quelques principales rues et voies sont interdites au stationnement à l'aide de gros rochers. Les citoyens frustrés par ce manque de respect s'interrogent sur le devenir touristique de cette ville antique qui été jadis la capitale d'un grand royaume numide. «Jusqu'à quand durera ce désordre et quand viendra le jour où nos élu se décideront enfin à prendre au sérieux ces problèmes en gérant d'une manière judicieuse les budgets des Plans communaux de développement qui sont alimentés par les impôts que nous payons ?» s'interroge un habitant de la ville. Pour parcourir la voie principale qui traverse la ville, on doit quelquefois passer près d'une heure particulièrement en ce mois de jeûne. Si de tels désordres sont enregistrés en ces temps de vacances, qu'en sera-t-il lors de de la rentrée sociale ? Cette ville, qui jouit pourtant d'un legs antique et historique voit son déclin à travers l'abandon dont est victime son patrimoine et ses sites d'une valeur inestimable. L'accroissement des constructions illicites et même licites a complètement défiguré ses principales artères. Les monuments historiques disparaissent du jour au lendemain au vu et au su de tout le monde, à l'exemple de la Porte de Miliana et Bab Echerk. Le Fort turc, rasé, est devenu un parking désert. L'Ilot Joinville est défiguré par sa reconvertion en port de pêche. L'actuel plan de circulation de la ville de Cherchell semble être tombé en désuétude vu le nombre croissant des véhicules que compte la région. Cette région, un véritable musée en plein air, souffre d'une insuffisance cruciale en voirie, en parkings et en aires de stationnement, chose qui occasionne, en ce mois sacré de Ramadhan, le déclenchement de plusieurs disputes et bagarres surtout à l'approche du f'tour quand les gens sont pressés de retrouver leurs maisons, mais aussi après le f'tour à l'heure des taraouih, les fidèles trouvant du mal à garer leurs voitures. A la sortie ouest de la ville, certaines plaques de signalisation annonçant des arrêts de bus ont été supprimées par des gens que ces arrêts semblent gêner. Quelques principales rues et voies sont interdites au stationnement à l'aide de gros rochers. Les citoyens frustrés par ce manque de respect s'interrogent sur le devenir touristique de cette ville antique qui été jadis la capitale d'un grand royaume numide. «Jusqu'à quand durera ce désordre et quand viendra le jour où nos élu se décideront enfin à prendre au sérieux ces problèmes en gérant d'une manière judicieuse les budgets des Plans communaux de développement qui sont alimentés par les impôts que nous payons ?» s'interroge un habitant de la ville. Pour parcourir la voie principale qui traverse la ville, on doit quelquefois passer près d'une heure particulièrement en ce mois de jeûne. Si de tels désordres sont enregistrés en ces temps de vacances, qu'en sera-t-il lors de de la rentrée sociale ? Cette ville, qui jouit pourtant d'un legs antique et historique voit son déclin à travers l'abandon dont est victime son patrimoine et ses sites d'une valeur inestimable. L'accroissement des constructions illicites et même licites a complètement défiguré ses principales artères. Les monuments historiques disparaissent du jour au lendemain au vu et au su de tout le monde, à l'exemple de la Porte de Miliana et Bab Echerk. Le Fort turc, rasé, est devenu un parking désert. L'Ilot Joinville est défiguré par sa reconvertion en port de pêche.