Une étude de projet d'implantation d'une industrie de fabrication de véhicules touristiques sera présentée aux pouvoirs publics pour une éventuelle adoption. C'est ce qu'a annoncé, hier, le président de l'Association des concessionnaires automobiles algériens, (AC2A), Mohamed Bairi. «Les pouvoirs publics devraient soutenir la réalisation d'une telle industrie à travers un régime incitatif préférentiel pour les constructeurs qui veulent fabriquer en Algérie ainsi que lever la taxe sur les véhicules neufs fabriqués localement, et faciliter l'accès au foncier au profit de ces constructeurs», a-t-il estimé. M. Bairi a précisé, à l'occasion, que cette initiative a pour objectif de réorienter le marché national de l'automobile vers la production locale et ce à la faveur de plusieurs facteurs, particulièrement une demande soutenue par la croissance économique du pays et les besoins en parc roulant et matériels de travaux publics. Il a rappelé, à cet effet, que le marché national de l'automobile représente actuellement, un chiffre d'affaires, annuel, de 4 milliards de dollars. «Cette réorientation n'a pu, jusque-là, être réalisée en raison, entre autres, de l'absence d'un tissu industriel de sous-traitance dans les domaines de la fabrication des différentes composantes et pièces de rechange», a-t-il dit. Il a attiré, à cet effet, l'attention pour dire que dans les pays voisins ce sont ces activités opérées par des PME qui soutiennent l'industrie automobile locale. «Le développement de l'activité de sous-traitance automobile en Algérie permettra de mettre en place un cycle formel de fabrication de pièces de rechange qui contribuera à limiter davantage la contrefaçon dans ce domaine», a-t-il ajouté. Le président de AC2A a fait savoir aussi que cette étude qui évalue toutes les conditions nécessaires pour la mise en œuvre d'une telle industrie en Algérie a été tracée en association avec l'Union professionnelle de l'industrie automobile et mécanique (UPIAM) ainsi que le Forum des chefs d'entreprise (FCE) dont le contenu a été aussi transmis aux maisons mères des différentes marques présentes sur le marché. Une étude de projet d'implantation d'une industrie de fabrication de véhicules touristiques sera présentée aux pouvoirs publics pour une éventuelle adoption. C'est ce qu'a annoncé, hier, le président de l'Association des concessionnaires automobiles algériens, (AC2A), Mohamed Bairi. «Les pouvoirs publics devraient soutenir la réalisation d'une telle industrie à travers un régime incitatif préférentiel pour les constructeurs qui veulent fabriquer en Algérie ainsi que lever la taxe sur les véhicules neufs fabriqués localement, et faciliter l'accès au foncier au profit de ces constructeurs», a-t-il estimé. M. Bairi a précisé, à l'occasion, que cette initiative a pour objectif de réorienter le marché national de l'automobile vers la production locale et ce à la faveur de plusieurs facteurs, particulièrement une demande soutenue par la croissance économique du pays et les besoins en parc roulant et matériels de travaux publics. Il a rappelé, à cet effet, que le marché national de l'automobile représente actuellement, un chiffre d'affaires, annuel, de 4 milliards de dollars. «Cette réorientation n'a pu, jusque-là, être réalisée en raison, entre autres, de l'absence d'un tissu industriel de sous-traitance dans les domaines de la fabrication des différentes composantes et pièces de rechange», a-t-il dit. Il a attiré, à cet effet, l'attention pour dire que dans les pays voisins ce sont ces activités opérées par des PME qui soutiennent l'industrie automobile locale. «Le développement de l'activité de sous-traitance automobile en Algérie permettra de mettre en place un cycle formel de fabrication de pièces de rechange qui contribuera à limiter davantage la contrefaçon dans ce domaine», a-t-il ajouté. Le président de AC2A a fait savoir aussi que cette étude qui évalue toutes les conditions nécessaires pour la mise en œuvre d'une telle industrie en Algérie a été tracée en association avec l'Union professionnelle de l'industrie automobile et mécanique (UPIAM) ainsi que le Forum des chefs d'entreprise (FCE) dont le contenu a été aussi transmis aux maisons mères des différentes marques présentes sur le marché.