Une stratégie nationale de lutte contre la violence à l'égard des femmes en Algérie a été présentée, hier, par la ministre déléguée chargée de la Famille et de la Condition féminine, Nouara Saâdia Djaafar, lors de la Conférence internationale sur la violence contre la femme, tenue à Rome dans le cadre de la présidence de l'Italie du G8 qui s'est étalée sur deux journées. Les grandes lignes de cette stratégie sont axées, essentiellement sur la participation de la femme au développement durable humain, à la promotion des droits de l'Homme mais aussi l'instauration de l'égalité et de l'équité entre citoyens. L'intégration des femmes, consolidée par un plan d'action opérationnel dont la mise en œuvre, devant contribuer à l'amélioration du statut social, économique, juridique et politique des femmes dans la perspective d'un développement durable, était, également l'un des points abordés par la ministre. «L'Algérie a pris des mesures pour lutter contre ce fléau dans le cadre de son adhésion et engagement aux différents rapports d'évaluation aux plans international, régional et sous-régional en adoptant des réformes législatives et politiques en adéquation avec les mutations internes ainsi que des conventions internationales relatives aux droits fondamentaux des femmes», a-t-elle souligné. Ces réformes ont porté sur la révision des codes de la famille, de la nationalité, du code pénal, de la loi sur l'assistance judiciaire ainsi que l'instauration de mécanismes et de structures pour promouvoir le rôle de la femme dans la société. Ce rendez-vous a réuni des représentants de gouvernements, de la société civile, d'organisations internationales et de personnalités des mondes de l'art et de la culture. La grande assistance s'est fixée à cette occasion un objectif en se penchant sur des aspects relatifs à la violence dans l'optique de la pleine affirmation des droits humains des femmes dans le cadre de l'aboutissement du processus de la mise en œuvre des «Objectifs du millénaire pour le développement». Une stratégie nationale de lutte contre la violence à l'égard des femmes en Algérie a été présentée, hier, par la ministre déléguée chargée de la Famille et de la Condition féminine, Nouara Saâdia Djaafar, lors de la Conférence internationale sur la violence contre la femme, tenue à Rome dans le cadre de la présidence de l'Italie du G8 qui s'est étalée sur deux journées. Les grandes lignes de cette stratégie sont axées, essentiellement sur la participation de la femme au développement durable humain, à la promotion des droits de l'Homme mais aussi l'instauration de l'égalité et de l'équité entre citoyens. L'intégration des femmes, consolidée par un plan d'action opérationnel dont la mise en œuvre, devant contribuer à l'amélioration du statut social, économique, juridique et politique des femmes dans la perspective d'un développement durable, était, également l'un des points abordés par la ministre. «L'Algérie a pris des mesures pour lutter contre ce fléau dans le cadre de son adhésion et engagement aux différents rapports d'évaluation aux plans international, régional et sous-régional en adoptant des réformes législatives et politiques en adéquation avec les mutations internes ainsi que des conventions internationales relatives aux droits fondamentaux des femmes», a-t-elle souligné. Ces réformes ont porté sur la révision des codes de la famille, de la nationalité, du code pénal, de la loi sur l'assistance judiciaire ainsi que l'instauration de mécanismes et de structures pour promouvoir le rôle de la femme dans la société. Ce rendez-vous a réuni des représentants de gouvernements, de la société civile, d'organisations internationales et de personnalités des mondes de l'art et de la culture. La grande assistance s'est fixée à cette occasion un objectif en se penchant sur des aspects relatifs à la violence dans l'optique de la pleine affirmation des droits humains des femmes dans le cadre de l'aboutissement du processus de la mise en œuvre des «Objectifs du millénaire pour le développement».