l Le mois sacré du ramadhan offre aux habitants l'occasion de manifester leur solidarité et de créer une sorte d'osmose au sein de toutes les populations. Le comité du village d'Ait Zaim (Maatkas), fidèle à sa tradition, s'est mobilisé pendant toute la durée du ramadhan, pour mettre à exécution un plan d'aides aux nécessiteux et les plus démunis. C'est ainsi que plus de 300 couffins de ramadhan ont été distribués dans de bonnes conditions aux familles dans le besoin. Il y a lieu de rappeler qu'une bonne quarantaine de villages ont adhéré à cette action. A quelques jours de la rentrée scolaire c'est déjà la déprime chez les parents qui ont plusieurs enfants à scolariser. Ils doivent, après un été plein d'autres dépenses et devant la baisse de leur pouvoir d'achat, faire face à la cherté des fournitures scolaires et des vêtements. Pour eux, la rentrée scolaire 2009/2010 s'annonce déjà difficile et ne savent plus à quel saint se vouer pour faire face à la situation. Certains parents d'élèves déclarent que si le prix des articles scolaire est exorbitant, le livre scolaire reste presque inaccessible. l A L'approche de l'Aïd el fitr, les bureaux de poste comme les magasins sont pris d'assaut par les citoyens où on voit de véritables queues se former à longueur de journée devant ces différents édifices de la wilaya. Les boutiques du prêt-à-porter et les pâtisseries spécialisées dans les gâteaux traditionnels font l'objet d'une grande ruée ces derniers jours. L'ambiance de l'Aid el fitr se fait déjà sentir, ramadhan tirant déjà à sa fin. Les Tizi Ouzéens se préparent donc pour cette fête, tout le monde semble effectuer ses courses presque au même moments, d'où encombrement et autres désagréments de la circulation. l Certes le ramadhan tire à sa fin, mais comme nous l'avons souligné dans notre précédente édition, les nécessiteux sont de plus en plus nombreux à fréquenter les maidate ramadhane. Récemment, nous nous sommes rendus dans un des plus importants restaurants qui se trouve au niveau du parc de culture et de loisirs Tamaghra où nous avons constaté de visu, le nombre impressionnant de gens qui viennent juste au moment du F'tour. Nous avons pu nous entretenir avec le responsable de cette structure, qui nous a affirmé, qu'en plus des nécessiteux, tous les travailleurs à faible revenu, qui habitent loin et qui n'ont pas où aller pour manger sont les bienvenus chez nous. Ne soyez pas surpris si vous voyez parfois, des scènes peu ordinaires devant un simple vendeur de jus (charbète) qui, d'ailleurs fait timidement son entrée en ce mois de jeûne à Tzi Ouzou. En effet, en ses moments de disette où tout se vend et s'achète, un commerçant de circonstance, n'a pas trouvé mieux que de proposer à ces clients, un brouet clair sous forme de jus de citron et qui n'a vraiment rien de citron. Le comble dans tout cela, c'est que les gens se le disputent sans aucune retenue et se l'arrachent à force de bras, sous les cris du fortuné : Le dernier n'aura rien. l En attendant l'ouverture de la nouvelle gare routière, l'ancienne, bien qu'elle soit encore opérationnelle, semble complètement abondonnée par les pouvoirs publics. La propreté qu'elle a connue autrefois, n'est plus ce qu'elle était et des détritus de tous genres jonchent le sol, sans inquiéter qui que ce soit. Un spectacle désolant pour une gare qui a connu, dans un passé encore récent, une hygiène exemplaire. l Le mois sacré du ramadhan offre aux habitants l'occasion de manifester leur solidarité et de créer une sorte d'osmose au sein de toutes les populations. Le comité du village d'Ait Zaim (Maatkas), fidèle à sa tradition, s'est mobilisé pendant toute la durée du ramadhan, pour mettre à exécution un plan d'aides aux nécessiteux et les plus démunis. C'est ainsi que plus de 300 couffins de ramadhan ont été distribués dans de bonnes conditions aux familles dans le besoin. Il y a lieu de rappeler qu'une bonne quarantaine de villages ont adhéré à cette action. A quelques jours de la rentrée scolaire c'est déjà la déprime chez les parents qui ont plusieurs enfants à scolariser. Ils doivent, après un été plein d'autres dépenses et devant la baisse de leur pouvoir d'achat, faire face à la cherté des fournitures scolaires et des vêtements. Pour eux, la rentrée scolaire 2009/2010 s'annonce déjà difficile et ne savent plus à quel saint se vouer pour faire face à la situation. Certains parents d'élèves déclarent que si le prix des articles scolaire est exorbitant, le livre scolaire reste presque inaccessible. l A L'approche de l'Aïd el fitr, les bureaux de poste comme les magasins sont pris d'assaut par les citoyens où on voit de véritables queues se former à longueur de journée devant ces différents édifices de la wilaya. Les boutiques du prêt-à-porter et les pâtisseries spécialisées dans les gâteaux traditionnels font l'objet d'une grande ruée ces derniers jours. L'ambiance de l'Aid el fitr se fait déjà sentir, ramadhan tirant déjà à sa fin. Les Tizi Ouzéens se préparent donc pour cette fête, tout le monde semble effectuer ses courses presque au même moments, d'où encombrement et autres désagréments de la circulation. l Certes le ramadhan tire à sa fin, mais comme nous l'avons souligné dans notre précédente édition, les nécessiteux sont de plus en plus nombreux à fréquenter les maidate ramadhane. Récemment, nous nous sommes rendus dans un des plus importants restaurants qui se trouve au niveau du parc de culture et de loisirs Tamaghra où nous avons constaté de visu, le nombre impressionnant de gens qui viennent juste au moment du F'tour. Nous avons pu nous entretenir avec le responsable de cette structure, qui nous a affirmé, qu'en plus des nécessiteux, tous les travailleurs à faible revenu, qui habitent loin et qui n'ont pas où aller pour manger sont les bienvenus chez nous. Ne soyez pas surpris si vous voyez parfois, des scènes peu ordinaires devant un simple vendeur de jus (charbète) qui, d'ailleurs fait timidement son entrée en ce mois de jeûne à Tzi Ouzou. En effet, en ses moments de disette où tout se vend et s'achète, un commerçant de circonstance, n'a pas trouvé mieux que de proposer à ces clients, un brouet clair sous forme de jus de citron et qui n'a vraiment rien de citron. Le comble dans tout cela, c'est que les gens se le disputent sans aucune retenue et se l'arrachent à force de bras, sous les cris du fortuné : Le dernier n'aura rien. l En attendant l'ouverture de la nouvelle gare routière, l'ancienne, bien qu'elle soit encore opérationnelle, semble complètement abondonnée par les pouvoirs publics. La propreté qu'elle a connue autrefois, n'est plus ce qu'elle était et des détritus de tous genres jonchent le sol, sans inquiéter qui que ce soit. Un spectacle désolant pour une gare qui a connu, dans un passé encore récent, une hygiène exemplaire.