Les dirigeants du CSC essaient, tant bien que mal, de convaincre leurs homologues de Skikda, sur l'assurance du déroulement dans les meilleures conditions de la rencontre qui va opposer les deux équipes. Est-il alors besoin de rappeler que les velléités qui règnent de part et d'autre n'ont jamais pu être dépassées malgré les assurances formulées par les différents responsables des deux équipes. L'hostilité qui marque cette relation n'a pas de raison précise même si au cours de la saison écoulée Constantinois et Skikdis ont accompagné au cimetière deux de leurs supporters. Le CSC enterrant le sien au match retour après que la JSMS en ait fait de même au cours de la phase aller. Une situation absurde comme il ne s'en trouve que dans notre pays. Quoiqu'il en soit, il est plus que probable que les éléments des services de sécurité et d'ordre vont être sur les dents au cours de la soirée de demain. Un remake de ce qui est arrivé au cours de l'année passée n'est pas à exclure sachant que si, pour la JSMS, le temps n'est pas au beau fixe, celui-ci est encore pire pour les Constantinois qui, non seulement occupent une place qui ne reflète nullement la somme investie à l'intersaison,mais traversent également une crise qui n'arrête pas de prendre d'énormes proportions. Onze joueurs ont été déférés au cours des journées de lundi et mardi devant la commission de discipline, ce qui n'est pas pour ramener la sérénité. Il n'est pas exclu non plus que R. Benyelles se passe des services d'une belle brochette de joueurs parmi les réfractaires, ne serait-ce que pour marquer son propre territoire. Son président a d'ores et déjà affirmé être «prêt à aligner des juniors que d'adopter le profil bas devant des éléments qui n'ont rejoint le club que pour une question d'argent, légitime sans doute, mais qui exige une contrepartie dont ils ne s'acquittent pas ». Soulignons enfin que lundi dernier, Y. Ounis a rencontré le directeur du stade du 17 juin pour discuter des modalités pratiques de concession du stade pour la saison. Et, selon le responsable de la communication des Sanafirs, joint au téléphone mardi, «…la convention ne commencerait à courir qu'à partir de la 7e journée.» Décisions de la commission de discipline Nous avons appris au cours de la matinée d'hier qu'un chapelet de sanctions a été pris contre neuf joueurs parmi ceux qui ont été déférés devant le conseil de discipline. Les sanctions les plus importantes ont visé Debouz et Boulemdaïs avec une suspension provisoire, tandis que Chakir, pour avoir manqué de respect au coach, a écopé d'une amende de 200.000 dinars assortie d'une autre de 20.000 pour absence aux entraînements. Derradj écope, lui, d'une amende de 50.000 DA. Enfin, Medjouj et Benkedjoune comparaitront aujourd'hui, autrement dit à la veille de la cruciale rencontre face aux Skikdis. Enfin, seul un élément a été reconnu clean dans cette affaire, il s'agit de Kehili qui a été relaxé par le conseil. Les dirigeants du CSC essaient, tant bien que mal, de convaincre leurs homologues de Skikda, sur l'assurance du déroulement dans les meilleures conditions de la rencontre qui va opposer les deux équipes. Est-il alors besoin de rappeler que les velléités qui règnent de part et d'autre n'ont jamais pu être dépassées malgré les assurances formulées par les différents responsables des deux équipes. L'hostilité qui marque cette relation n'a pas de raison précise même si au cours de la saison écoulée Constantinois et Skikdis ont accompagné au cimetière deux de leurs supporters. Le CSC enterrant le sien au match retour après que la JSMS en ait fait de même au cours de la phase aller. Une situation absurde comme il ne s'en trouve que dans notre pays. Quoiqu'il en soit, il est plus que probable que les éléments des services de sécurité et d'ordre vont être sur les dents au cours de la soirée de demain. Un remake de ce qui est arrivé au cours de l'année passée n'est pas à exclure sachant que si, pour la JSMS, le temps n'est pas au beau fixe, celui-ci est encore pire pour les Constantinois qui, non seulement occupent une place qui ne reflète nullement la somme investie à l'intersaison,mais traversent également une crise qui n'arrête pas de prendre d'énormes proportions. Onze joueurs ont été déférés au cours des journées de lundi et mardi devant la commission de discipline, ce qui n'est pas pour ramener la sérénité. Il n'est pas exclu non plus que R. Benyelles se passe des services d'une belle brochette de joueurs parmi les réfractaires, ne serait-ce que pour marquer son propre territoire. Son président a d'ores et déjà affirmé être «prêt à aligner des juniors que d'adopter le profil bas devant des éléments qui n'ont rejoint le club que pour une question d'argent, légitime sans doute, mais qui exige une contrepartie dont ils ne s'acquittent pas ». Soulignons enfin que lundi dernier, Y. Ounis a rencontré le directeur du stade du 17 juin pour discuter des modalités pratiques de concession du stade pour la saison. Et, selon le responsable de la communication des Sanafirs, joint au téléphone mardi, «…la convention ne commencerait à courir qu'à partir de la 7e journée.» Décisions de la commission de discipline Nous avons appris au cours de la matinée d'hier qu'un chapelet de sanctions a été pris contre neuf joueurs parmi ceux qui ont été déférés devant le conseil de discipline. Les sanctions les plus importantes ont visé Debouz et Boulemdaïs avec une suspension provisoire, tandis que Chakir, pour avoir manqué de respect au coach, a écopé d'une amende de 200.000 dinars assortie d'une autre de 20.000 pour absence aux entraînements. Derradj écope, lui, d'une amende de 50.000 DA. Enfin, Medjouj et Benkedjoune comparaitront aujourd'hui, autrement dit à la veille de la cruciale rencontre face aux Skikdis. Enfin, seul un élément a été reconnu clean dans cette affaire, il s'agit de Kehili qui a été relaxé par le conseil.