Intervenant pour éclaircir l‘ambiguïté relative à l‘unification du tablier, le ministère de l‘Education nationale a rendu public, jeudi dernier, un communiqué dans lequel il est précisé que «la nuance des couleurs demandées pour les tabliers importe peu». Les directeurs des établissements scolaires sont sommés dans ce sens de «ne pas insister sur les nuances de couleurs des tabliers exigés, mais à accepter tous les tons de bleu pour les tabliers des garçons et toute la gamme du rose pour les tabliers de filles», admettant dans ce cadre «la rareté du produit sur le marché». D‘ailleurs, un délai supplémentaire de 20 jours après l‘Aïd el-Fitr a été accordé aux écoliers des trois paliers de l‘éducation afin de leur permettre d‘acquérir ce produit rare sur le marché. Les directeurs d‘école sont ainsi invités à «ne pas renvoyer les élèves enfreignant la règle». Benbouzid se serait rendu compte devant l‘état des faits que son instruction, rendue publique le 22 juin dernier et qui fait obligation du port du tablier à l‘école en définissant les couleurs, n‘est pas suffisamment étudiée. Chose qu‘ont déjà dénoncée des syndicalistes de l‘éducation et des associations de parents d‘élèves. «On devait nous prévenir bien avant, car son application implique aussi bien les industriels que les parents d‘élèves. Il est injuste de mettre un élève à la porte parce qu‘il ne porte pas un tablier défini», avait estimé les parents d‘élèves par le biais de leur association. Le tablier constitue dans la politique éducative de Benbouzid, une façon «d‘apprendre à nos enfants à s‘adapter à un système éducatif efficace, performant et prometteur». Les enseignants grévistes invités au dialogue Le ministre de l'Education nationale, Boubekeur Benbouzid, qui a certifié à la veille de la rentrée scolaire que nul mouvement de grève n'est attendu dans son secteur, a convié avant-hier les syndicats de l'éducation à «privilégier le dialogue comme mode de règlement des préoccupations socioprofessionnelles des travailleurs», alors qu'il s'entretenait avec des enseignants furieux à Tizi-Ouzou Appelant les enseignants à «faire preuve de réalisme et de discernement», le ministre a considéré que «la grève ne règle pas les problèmes, mais pénalise l'élève». Les principales revendications, relevées par ces enseignants, sont liées aux problèmes des retards accusés dans le paiement de salaires, des allocations familiales, des primes et autres heures supplémentaires. Intervenant pour éclaircir l‘ambiguïté relative à l‘unification du tablier, le ministère de l‘Education nationale a rendu public, jeudi dernier, un communiqué dans lequel il est précisé que «la nuance des couleurs demandées pour les tabliers importe peu». Les directeurs des établissements scolaires sont sommés dans ce sens de «ne pas insister sur les nuances de couleurs des tabliers exigés, mais à accepter tous les tons de bleu pour les tabliers des garçons et toute la gamme du rose pour les tabliers de filles», admettant dans ce cadre «la rareté du produit sur le marché». D‘ailleurs, un délai supplémentaire de 20 jours après l‘Aïd el-Fitr a été accordé aux écoliers des trois paliers de l‘éducation afin de leur permettre d‘acquérir ce produit rare sur le marché. Les directeurs d‘école sont ainsi invités à «ne pas renvoyer les élèves enfreignant la règle». Benbouzid se serait rendu compte devant l‘état des faits que son instruction, rendue publique le 22 juin dernier et qui fait obligation du port du tablier à l‘école en définissant les couleurs, n‘est pas suffisamment étudiée. Chose qu‘ont déjà dénoncée des syndicalistes de l‘éducation et des associations de parents d‘élèves. «On devait nous prévenir bien avant, car son application implique aussi bien les industriels que les parents d‘élèves. Il est injuste de mettre un élève à la porte parce qu‘il ne porte pas un tablier défini», avait estimé les parents d‘élèves par le biais de leur association. Le tablier constitue dans la politique éducative de Benbouzid, une façon «d‘apprendre à nos enfants à s‘adapter à un système éducatif efficace, performant et prometteur». Les enseignants grévistes invités au dialogue Le ministre de l'Education nationale, Boubekeur Benbouzid, qui a certifié à la veille de la rentrée scolaire que nul mouvement de grève n'est attendu dans son secteur, a convié avant-hier les syndicats de l'éducation à «privilégier le dialogue comme mode de règlement des préoccupations socioprofessionnelles des travailleurs», alors qu'il s'entretenait avec des enseignants furieux à Tizi-Ouzou Appelant les enseignants à «faire preuve de réalisme et de discernement», le ministre a considéré que «la grève ne règle pas les problèmes, mais pénalise l'élève». Les principales revendications, relevées par ces enseignants, sont liées aux problèmes des retards accusés dans le paiement de salaires, des allocations familiales, des primes et autres heures supplémentaires.