Au moins 21 personnes ont péri, jeudi à Mogadiscio, au cours du double attentat à la voiture piégée ayant visé le quartier général de la force de paix de l'Union africaine en Somalie (Amisom), selon un nouveau bilan établi vendredi par un porte-parole de l'Amisom. Selon les déclarations de Javel Nkolokossa citées vendredi par la chaîne américaine CNN, 16 soldats de l'Amisom et cinq civils ont été tués dans cette attaque qui a également fait 40 blessés dont plusieurs sont «dans un état grave». Parmi les personnes tuées figurent 12 soldats burundais, a de son côté annoncé l'armée burundaise. «Jusqu'ici nous avons douze morts», a déclaré à la presse à Bujumbura le porte-parole de l'armée burundaise, le général Lazare Nduhayo, revoyant à la hausse un précédent bilan de dix Burundais tués. Un autre officier supérieur burundais, le commandant du 34e bataillon, le lieutenant-colonel Ndayisenga, figure parmi les victimes, a précisé le général Nduhayo. Ces morts s'ajoutent à quatre tués du côté de l'armée ougandaise, a-t-on indiqué. L'attaque, perpétrée au cœur même du quartier général de l'Amisom sur l'aéroport de Mogadiscio, et revendiquée par les Shebab, est la plus meurtrière enregistrée par la force de paix depuis son arrivée, en mars 2007, dans la capitale somalienne. Au moins 21 personnes ont péri, jeudi à Mogadiscio, au cours du double attentat à la voiture piégée ayant visé le quartier général de la force de paix de l'Union africaine en Somalie (Amisom), selon un nouveau bilan établi vendredi par un porte-parole de l'Amisom. Selon les déclarations de Javel Nkolokossa citées vendredi par la chaîne américaine CNN, 16 soldats de l'Amisom et cinq civils ont été tués dans cette attaque qui a également fait 40 blessés dont plusieurs sont «dans un état grave». Parmi les personnes tuées figurent 12 soldats burundais, a de son côté annoncé l'armée burundaise. «Jusqu'ici nous avons douze morts», a déclaré à la presse à Bujumbura le porte-parole de l'armée burundaise, le général Lazare Nduhayo, revoyant à la hausse un précédent bilan de dix Burundais tués. Un autre officier supérieur burundais, le commandant du 34e bataillon, le lieutenant-colonel Ndayisenga, figure parmi les victimes, a précisé le général Nduhayo. Ces morts s'ajoutent à quatre tués du côté de l'armée ougandaise, a-t-on indiqué. L'attaque, perpétrée au cœur même du quartier général de l'Amisom sur l'aéroport de Mogadiscio, et revendiquée par les Shebab, est la plus meurtrière enregistrée par la force de paix depuis son arrivée, en mars 2007, dans la capitale somalienne.