Nous y voilà ! Le COA tiendra son AG élective le 31 octobre prochain. On a, enfin, décidé de bien faire les choses et convenablement au Comité olympique algérien. Tout d'un coup et après des mois de tergiversations, tout est rentré dans l'ordre. Voilà aussi que, préalablement à la tenue de l'assemblée générale élective de l'instance olympique d'Algérie, on se décide à procéder à la votation pour la désignation du représentant de la presse sportive à l'assemblée générale du Comité olympique. Mieux que cela, il y aura deux assemblées générales de renouvellement des représentants, puisque les médecins du sport seront eux aussi appelés à élire un des leurs. Une question mérite d'être posée : pourquoi les AG des journalistes et des médecins n'ont pas été convoquées et tenues convenablement, statutairement et conformément aux usages et à la Charte Olympique ? Pourtant, les organisateurs (de l'intérieur du COA) se sont toujours vantés d'être respectueux de toutes les réglementations confondues. Sommes-nous enclins à conclure que les décideurs-organisateurs du COA issus du «jusqu'auboutisme» ont mené toute la famille sportive, les médias et les médecins en bateau ? Tout porte à croire que oui ! Le triste spectacle que nous a offert le groupe qui a unilatéralement décidé d'organiser coûte que coûte l'AG élective du COA a versé dans la duperie et c'est maintenant confirmé pour ceux qui ne l'étaient pas depuis la fameuse AG avortée du 9 janvier dernier. Le 9 janvier, c'était la grosse agitation pour perpétuer une mainmise de la plupart des membres sortants du COA pour fermer le jeu à tous les prétendants éventuels. Les présents à cette AG avaient levé la séance avant terme et «mandatés» –sous couvert de l'article 11 des statuts du COA- «le président de convoquer l'assemblée générale pour l'exécution du point restant à l'ordre du jour». La stupidité avait même pris des dimensions incroyables avec la décision de clôturer les candidatures, sauf aux présidents nouvellement élus… Le plus regrettable est que, mis à part Lebib, Bessalem, Belhadjoudja et Hassen Chikh et quelques présidents des Fédérations sportives, personne ne s'est véritablement inquiété que l'on s'obstine à tenir l'assemblée générale élective du Comité olympique avant même que l'achèvement du processus de renouvellement des structures en aval, comme le stipule la Charte Olympique que quelques messieurs n'ont pas cessé de jurer qu'ils la respectent à la lettre. De la même manière que ce même groupuscule a catégoriquement refusé de mettre en place une Commission neutre chargée de l'organisation de l'assemblée générale élective. Plus grave encore, profitant de sa lecture propre de la réglementation et des segments universels et civilisés de la Charte olympique, une partie de l'équipe sortante du COA a favorisé l'exclusion, niant le droit de se porter candidat à des membres statutairement conformes. Autant de bévues ne pouvaient pas durer sans que l'opinion sportive et même le simple citoyen ne réagisse à une aussi triste mascarade. D'autant plus que les résultats sportifs ne figuraient nulle part sur les bilans du COA. C'est tout de même incroyable un tel degré de folie chez des dirigeants du sport dont la légitimité était arrivée à terme. Mais, la fin des duperies est pour bientôt. Espérons-le très sincèrement ! Nous y voilà ! Le COA tiendra son AG élective le 31 octobre prochain. On a, enfin, décidé de bien faire les choses et convenablement au Comité olympique algérien. Tout d'un coup et après des mois de tergiversations, tout est rentré dans l'ordre. Voilà aussi que, préalablement à la tenue de l'assemblée générale élective de l'instance olympique d'Algérie, on se décide à procéder à la votation pour la désignation du représentant de la presse sportive à l'assemblée générale du Comité olympique. Mieux que cela, il y aura deux assemblées générales de renouvellement des représentants, puisque les médecins du sport seront eux aussi appelés à élire un des leurs. Une question mérite d'être posée : pourquoi les AG des journalistes et des médecins n'ont pas été convoquées et tenues convenablement, statutairement et conformément aux usages et à la Charte Olympique ? Pourtant, les organisateurs (de l'intérieur du COA) se sont toujours vantés d'être respectueux de toutes les réglementations confondues. Sommes-nous enclins à conclure que les décideurs-organisateurs du COA issus du «jusqu'auboutisme» ont mené toute la famille sportive, les médias et les médecins en bateau ? Tout porte à croire que oui ! Le triste spectacle que nous a offert le groupe qui a unilatéralement décidé d'organiser coûte que coûte l'AG élective du COA a versé dans la duperie et c'est maintenant confirmé pour ceux qui ne l'étaient pas depuis la fameuse AG avortée du 9 janvier dernier. Le 9 janvier, c'était la grosse agitation pour perpétuer une mainmise de la plupart des membres sortants du COA pour fermer le jeu à tous les prétendants éventuels. Les présents à cette AG avaient levé la séance avant terme et «mandatés» –sous couvert de l'article 11 des statuts du COA- «le président de convoquer l'assemblée générale pour l'exécution du point restant à l'ordre du jour». La stupidité avait même pris des dimensions incroyables avec la décision de clôturer les candidatures, sauf aux présidents nouvellement élus… Le plus regrettable est que, mis à part Lebib, Bessalem, Belhadjoudja et Hassen Chikh et quelques présidents des Fédérations sportives, personne ne s'est véritablement inquiété que l'on s'obstine à tenir l'assemblée générale élective du Comité olympique avant même que l'achèvement du processus de renouvellement des structures en aval, comme le stipule la Charte Olympique que quelques messieurs n'ont pas cessé de jurer qu'ils la respectent à la lettre. De la même manière que ce même groupuscule a catégoriquement refusé de mettre en place une Commission neutre chargée de l'organisation de l'assemblée générale élective. Plus grave encore, profitant de sa lecture propre de la réglementation et des segments universels et civilisés de la Charte olympique, une partie de l'équipe sortante du COA a favorisé l'exclusion, niant le droit de se porter candidat à des membres statutairement conformes. Autant de bévues ne pouvaient pas durer sans que l'opinion sportive et même le simple citoyen ne réagisse à une aussi triste mascarade. D'autant plus que les résultats sportifs ne figuraient nulle part sur les bilans du COA. C'est tout de même incroyable un tel degré de folie chez des dirigeants du sport dont la légitimité était arrivée à terme. Mais, la fin des duperies est pour bientôt. Espérons-le très sincèrement !