C'est demain que s'ouvrira au palais des expositions de la Safex, la 13e édition du Salon international d'Alger. Cette nouvelle édition, qui s'étalera jusqu'au 10 octobre, se déroule cette année dans un contexte particulier tant le secteur de l'automobile est soumis depuis quelques mois à de fortes pressions de la part des pouvoirs publics. C'est demain que s'ouvrira au palais des expositions de la Safex, la 13e édition du Salon international d'Alger. Cette nouvelle édition, qui s'étalera jusqu'au 10 octobre, se déroule cette année dans un contexte particulier tant le secteur de l'automobile est soumis depuis quelques mois à de fortes pressions de la part des pouvoirs publics. Après le doute et des rumeurs sur la possible annulation de la manifestation, celle-ci aura finalement lieu avec la participation de la trentaine de membres que compte l'association des concessionnaires algériens d'automobile, ainsi que d'autres concessionnaires qui n'en faut pas partie. Selon une source proche des concessionnaires, "il n'a jamais été question de report ou d'annulation du salon". "D'ailleurs, après les dernières mesures prises par le gouvernement, que ce soit dans le cadre de la loi de finances complémentaire 2009 ou non, qui ont porté un sérieux coup au secteur, le salon se présente comme une opportunité pour les concessionnaires de se refaire une santé", nous dit la même source. Il faut dire qu'avec l'instauration de la taxe sur les véhicules neufs, la suppression des crédits à la consommation et l'obligation désormais faites aux importateurs de véhicules de ne plus faire transiter leur marchandises par le port d'Alger, sont autant de mesures qui ont mis les acteurs du secteur dans l'embarras. Le salon sera donc une occasion de faire repartir les affaires d'autant que les effets de ces mesures se sont déjà faits ressentir avec un recul de 20% des importations de véhicules durant les huit premiers mois de l'année. Déjà, au cours du premier semestre, les importations étaient passées à 153.292 véhicules contre 171.277 à la même période de 2008, soit une baisse de 10,5%.Pour tous les concessionnaires, l'occasion sera donnée durant les dix jours du salon pour booster de nouveau des ventes freinées notamment, par la suppression des crédits à la consommation qui représentaient jusqu'à 30 % des ventes de voitures chez les concessionnaires. Afin d'attirer de nouveau les clients, des formules nouvelles et des offres promotionnelles sont d'ailleurs annoncées par les concessionnaires qui promettent aux visiteurs des rabais de plusieurs milliers de dinars sur certains modèles. Par ailleurs, selon des sources concordantes, plusieurs nouveaux modèles de véhicules seront exposés pour la premières fois au salon par différentes marques comme Hyundai ou encore Renault. De quoi susciter l'intérêt des visiteurs. Les concessionnaires devront toutefois, se montrer exceptionnellement généreux et inventifs afin de pouvoir commercialiser leurs produits, car la dernière mesure de la loi de finances complémentaire sur la suppression des crédits bancaires a refroidi aussi bien les particuliers que les concessionnaires qui n'auront pas d'autre choix que de proposer des crédits-maison avec leur propres conditions en matière d'accès et de taux d'intérêt. Après le doute et des rumeurs sur la possible annulation de la manifestation, celle-ci aura finalement lieu avec la participation de la trentaine de membres que compte l'association des concessionnaires algériens d'automobile, ainsi que d'autres concessionnaires qui n'en faut pas partie. Selon une source proche des concessionnaires, "il n'a jamais été question de report ou d'annulation du salon". "D'ailleurs, après les dernières mesures prises par le gouvernement, que ce soit dans le cadre de la loi de finances complémentaire 2009 ou non, qui ont porté un sérieux coup au secteur, le salon se présente comme une opportunité pour les concessionnaires de se refaire une santé", nous dit la même source. Il faut dire qu'avec l'instauration de la taxe sur les véhicules neufs, la suppression des crédits à la consommation et l'obligation désormais faites aux importateurs de véhicules de ne plus faire transiter leur marchandises par le port d'Alger, sont autant de mesures qui ont mis les acteurs du secteur dans l'embarras. Le salon sera donc une occasion de faire repartir les affaires d'autant que les effets de ces mesures se sont déjà faits ressentir avec un recul de 20% des importations de véhicules durant les huit premiers mois de l'année. Déjà, au cours du premier semestre, les importations étaient passées à 153.292 véhicules contre 171.277 à la même période de 2008, soit une baisse de 10,5%.Pour tous les concessionnaires, l'occasion sera donnée durant les dix jours du salon pour booster de nouveau des ventes freinées notamment, par la suppression des crédits à la consommation qui représentaient jusqu'à 30 % des ventes de voitures chez les concessionnaires. Afin d'attirer de nouveau les clients, des formules nouvelles et des offres promotionnelles sont d'ailleurs annoncées par les concessionnaires qui promettent aux visiteurs des rabais de plusieurs milliers de dinars sur certains modèles. Par ailleurs, selon des sources concordantes, plusieurs nouveaux modèles de véhicules seront exposés pour la premières fois au salon par différentes marques comme Hyundai ou encore Renault. De quoi susciter l'intérêt des visiteurs. Les concessionnaires devront toutefois, se montrer exceptionnellement généreux et inventifs afin de pouvoir commercialiser leurs produits, car la dernière mesure de la loi de finances complémentaire sur la suppression des crédits bancaires a refroidi aussi bien les particuliers que les concessionnaires qui n'auront pas d'autre choix que de proposer des crédits-maison avec leur propres conditions en matière d'accès et de taux d'intérêt.