Les négociations entre Algérie Télécom et le fournisseur privé d'accès à Internet Eepad se poursuivent. Selon le PDG d'AT, M Moussa Benhamadi, le conseil d'administration est à la recherche d'une réelle solution. M. Benhamadi a, lors d'une journée d'étude organisée jeudi dernier au siège social d'AT, écarté toute éventualité de fermeture du provider privé. " L'Eepad participe activement dans notre chiffre d'affaires, et si demain cette entreprise disparaît c'est un milliard de dinars qu'Algérie Télécom perdra annuellement. Un montant qui représente le prix de la bande passante payé par eepad auprès d'AT", a-t-il déclaré. Interrogé sur les raisons qui ont poussé Algérie Télécom à rejeter la proposition de rachat du provider privé, M Benhamadi a souligné que le problème entre les deux opérateurs est commercial et devrait être réglé autrement. "Je reconnaîs que le conseil d'administration d'AT a envisagé cette éventualité qui n'a pas abouti pour des raisons purement internes", a-t-il précisé. Le premier responsable de l'opérateur historique a, par ailleurs, dénoncé les impayés des redevances mensuelles de l'eepad. "Depuis le début du problème, l'Eepad ne paye pas ses redevances mensuelles, ce qui nous a obligé au bout du neuvième mois à lui couper nos prestations de services à Internet. Elles sont estimées de janvier à septembre à près de 17 milliards de centimes". Cette situation qui persiste depuis l'année dernière entre les deux providers suscite un grand mécontentement auprès des abonnés de l'eepad. Les 87 000 abonnés de l'Eepad sont depuis près d'un mois coupés à Internet. A ce sujet, M Benhamadi a exprimé clairement que c'est au client de choisir son opérateur. "Depuis la coupure d'Internet à eepad, 6 000 abonnés ont basculé vers Algérie Télécom". Avant d'ajouter : "Nous ne pouvons pas récupérer tous les clients de l'Eepad, c'est un opérateur qui a son portefeuille clientèle et ce n'est pas élégant de notre part de procéder à cette solution pour les satisfaire". Les négociations entre Algérie Télécom et le fournisseur privé d'accès à Internet Eepad se poursuivent. Selon le PDG d'AT, M Moussa Benhamadi, le conseil d'administration est à la recherche d'une réelle solution. M. Benhamadi a, lors d'une journée d'étude organisée jeudi dernier au siège social d'AT, écarté toute éventualité de fermeture du provider privé. " L'Eepad participe activement dans notre chiffre d'affaires, et si demain cette entreprise disparaît c'est un milliard de dinars qu'Algérie Télécom perdra annuellement. Un montant qui représente le prix de la bande passante payé par eepad auprès d'AT", a-t-il déclaré. Interrogé sur les raisons qui ont poussé Algérie Télécom à rejeter la proposition de rachat du provider privé, M Benhamadi a souligné que le problème entre les deux opérateurs est commercial et devrait être réglé autrement. "Je reconnaîs que le conseil d'administration d'AT a envisagé cette éventualité qui n'a pas abouti pour des raisons purement internes", a-t-il précisé. Le premier responsable de l'opérateur historique a, par ailleurs, dénoncé les impayés des redevances mensuelles de l'eepad. "Depuis le début du problème, l'Eepad ne paye pas ses redevances mensuelles, ce qui nous a obligé au bout du neuvième mois à lui couper nos prestations de services à Internet. Elles sont estimées de janvier à septembre à près de 17 milliards de centimes". Cette situation qui persiste depuis l'année dernière entre les deux providers suscite un grand mécontentement auprès des abonnés de l'eepad. Les 87 000 abonnés de l'Eepad sont depuis près d'un mois coupés à Internet. A ce sujet, M Benhamadi a exprimé clairement que c'est au client de choisir son opérateur. "Depuis la coupure d'Internet à eepad, 6 000 abonnés ont basculé vers Algérie Télécom". Avant d'ajouter : "Nous ne pouvons pas récupérer tous les clients de l'Eepad, c'est un opérateur qui a son portefeuille clientèle et ce n'est pas élégant de notre part de procéder à cette solution pour les satisfaire".