Ounis Y. était réellement dans tous ses états au cours de la conférence de presse animée au sein du siège provisoire de son club. Ounis Y. était réellement dans tous ses états au cours de la conférence de presse animée au sein du siège provisoire de son club. Il reprochait, tout d'abord, à la Ligue nationale de football d'avoir sanctionné son équipe de match à huis clos pour des incidents qui n'ont jamais eu lieu lors du derby, prenant pour témoins les journalistes et la Télévision. Ensuite, il passera au motif le plus sérieux l'ayant incité à inviter les journalistes à cette rencontre. Sans ambages, il mettra au banc des accusés les responsables du stade du 17-Juin étant très peu convaincu par la recette réalisée au cours du derby et notamment sur le nombre de spectateurs ayant officiellement accédé au stade en achetant leur billet (7.050). Le président du CSC considérait, pour sa part, que «même si les lieux étaient inhabituellement moins denses en matière de public comparativement aux derbies passés, ils se trouvait au minimum une 30.000 de spectateurs». Il pose et se repose de ce fait la question sur ce chiffre qu'il estime tronqué, quoiqu'il admettra des comportements immoraux de la part de certains membres du comité des supporters, promus stadiers à l'occasion et qui auraient fermé les yeux sur la présence des centaines de supporters resquilleurs. Il tombera également à bras raccourcis sur le service d'ordre qu'il accusera de passivité, le personnel du stade et ce même si l'organisation relevait des attributions ponctuelles du club. Ensuite il évoquera le cas de joueurs réfractaires citant Medjoudj, Belghomari, Benkadjoune, Touil... Vraisemblablement le ressort semble définitivement cassé entre le club et ses quatre salariés, la rupture à l'amiable du contrat n'est pas loin si elle n'est déjà consommée, exemple pour Medjoudj et Touil, les deux autres restant soumis à des examens cliniques attestant de l'incapacité physique qu'ils ont argué comme motif d'absence aux séances d'entraînement. Malgré tous ces tracas, le président s'est dit globalement satisfait des deux dernières prestations de l'équipe, notamment contre le PAC et lors du derby, considérant que le retour en forme et la joie de jouer de l'ensemble de l'effectif est aujourd'hui effective. Ounis confirme donc l'objectif qu'il a imparti au staff technique en soulignant que «Seule l'accession demeure en point de mire». Il reprochait, tout d'abord, à la Ligue nationale de football d'avoir sanctionné son équipe de match à huis clos pour des incidents qui n'ont jamais eu lieu lors du derby, prenant pour témoins les journalistes et la Télévision. Ensuite, il passera au motif le plus sérieux l'ayant incité à inviter les journalistes à cette rencontre. Sans ambages, il mettra au banc des accusés les responsables du stade du 17-Juin étant très peu convaincu par la recette réalisée au cours du derby et notamment sur le nombre de spectateurs ayant officiellement accédé au stade en achetant leur billet (7.050). Le président du CSC considérait, pour sa part, que «même si les lieux étaient inhabituellement moins denses en matière de public comparativement aux derbies passés, ils se trouvait au minimum une 30.000 de spectateurs». Il pose et se repose de ce fait la question sur ce chiffre qu'il estime tronqué, quoiqu'il admettra des comportements immoraux de la part de certains membres du comité des supporters, promus stadiers à l'occasion et qui auraient fermé les yeux sur la présence des centaines de supporters resquilleurs. Il tombera également à bras raccourcis sur le service d'ordre qu'il accusera de passivité, le personnel du stade et ce même si l'organisation relevait des attributions ponctuelles du club. Ensuite il évoquera le cas de joueurs réfractaires citant Medjoudj, Belghomari, Benkadjoune, Touil... Vraisemblablement le ressort semble définitivement cassé entre le club et ses quatre salariés, la rupture à l'amiable du contrat n'est pas loin si elle n'est déjà consommée, exemple pour Medjoudj et Touil, les deux autres restant soumis à des examens cliniques attestant de l'incapacité physique qu'ils ont argué comme motif d'absence aux séances d'entraînement. Malgré tous ces tracas, le président s'est dit globalement satisfait des deux dernières prestations de l'équipe, notamment contre le PAC et lors du derby, considérant que le retour en forme et la joie de jouer de l'ensemble de l'effectif est aujourd'hui effective. Ounis confirme donc l'objectif qu'il a imparti au staff technique en soulignant que «Seule l'accession demeure en point de mire».
