L'année scolaire semble difficile à Chabet El Amer, une commune située à l'est du chef-lieu de wilaya de Boumerdès. En effet, les lycéens de cette localité ont observé, dans la matinée de lundi dernier, un arrêt de cours en guise de protestation contre les conditions de scolarisation au niveau de leur établissement secondaire. Ils réclament l'ouverture de la cantine scolaire qui demeure fermée en dépit de la rentrée scolaire entamée depuis des semaines. Cette cantine, ouverte l'année passée, risque de ne pas contenir le nombre croissant des lycéens. Si les responsables ne trouvent pas de solution, beaucoup de lycéens seront privés de restauration. A cela s'ajoute l'exiguïté de cette cantine qui, selon les élèves, est loin de répondre aux besoins pressants des lycéens. Par ailleurs, ces derniers protestent contre l'affectation de quatre classes de première année vers une annexe aménagée au niveau du CEM Si Rachid du chef-lieu communal. Cette affectation, nous dit-on, est due essentiellement au déficit en places pédagogiques au lycée Ahmed Boukabous. Nous y reviendrons dans nos prochaines éditions. L'année scolaire semble difficile à Chabet El Amer, une commune située à l'est du chef-lieu de wilaya de Boumerdès. En effet, les lycéens de cette localité ont observé, dans la matinée de lundi dernier, un arrêt de cours en guise de protestation contre les conditions de scolarisation au niveau de leur établissement secondaire. Ils réclament l'ouverture de la cantine scolaire qui demeure fermée en dépit de la rentrée scolaire entamée depuis des semaines. Cette cantine, ouverte l'année passée, risque de ne pas contenir le nombre croissant des lycéens. Si les responsables ne trouvent pas de solution, beaucoup de lycéens seront privés de restauration. A cela s'ajoute l'exiguïté de cette cantine qui, selon les élèves, est loin de répondre aux besoins pressants des lycéens. Par ailleurs, ces derniers protestent contre l'affectation de quatre classes de première année vers une annexe aménagée au niveau du CEM Si Rachid du chef-lieu communal. Cette affectation, nous dit-on, est due essentiellement au déficit en places pédagogiques au lycée Ahmed Boukabous. Nous y reviendrons dans nos prochaines éditions.
