La rentrée scolaire dans la wilaya de Boumerdès risque d'être difficile cette année en raison d'une multitude de problèmes notamment ceux liés à l'achèvement de plusieurs projets de construction de structures éducatives, lancées, il y a de cela, plusieurs années. Il semble qu'en dépit des rapports présentés par une commission de wilaya par rapport à la situation générale de l'éducation dans la wilaya de Boumerdès, beaucoup reste à faire pour assurer une scolarisation décente aux potaches. Les élèves devront revivre alors les expériences des années précédentes. Parmi les cinq établissements secondaires qui sont prévus pour cette rentrée, seul le lycée Franz-Fanon, au chef-lieu de Boumerdès dont les travaux sont à 95%, va recevoir, ce lundi, jour d'ouverture officielle de la rentrée scolaire, les élèves. Les autres localités où l'on a attendu la construction d'un lycée, l'ouverture n'est pas pour demain en raison des retards mis dans l'achèvement des projets. Les travaux du lycée de Baghlia ont atteint un taux de 90 %, ce qui va accentuer le calvaire des lycéens scolarisés dans des chalets pour la sixième année consécutive, celui de Zemmouri sont 80 %, le chantier de Tidjelabine a enregistré 60 % des travaux tandis que celui de la commune d'Arbâatache, le rythme des travaux est à 40 %. C'est dire que plusieurs lenteurs sont enregistrées dans l'achèvement de ses projets dont leur lancement date de plusieurs années. De même pour les localités qui ne sont toujours pas dotées en lycées, les élèves endurent d'énormes difficultés pour rejoindre les bancs de l'école lorsque le transport scolaire et les cantines font grandement défaut. L'exemple édifiant est celui des communes de Legata, Timezrite et Si Mustapha, où les élèves sont contraints de parcourir des kilomètres pour rejoindre les lycées des autres localités limitrophes. Outre cela, le problème d'exigüité des établissements scolaires se pose avec acuité dans cette partie du pays où plusieurs lycées souffrent du manque de places pédagogiques. A titre illustratif, le lycée Boukabous-Ahmed dans la commune de Chabet El Ameur, risque de revivre l'éxpérience de l'année écoulée où l'on a enregistré un taux élevé d'élèves par rapport aux capacités d'accueil de l'établissement. L'administration avait accueilli l'année dernière près de 900 élèves pour une vingtaine d'unités (classes). Le transfert de quatre classes vers le CEM Si Rachid, proposé alors par l'administration, a provoqué l'ire des élèves qui avaient déclenché des grèves cycliques pour réclamer de nouvelles structures. En outre, plusieurs projets de CEM risquent de ne pas ouvrir les portes cette année. En effet, les CEM de Si Mustapha, Sidi Daoud, Bordj Ménaeil et Dellys ne seront pas ouverts cette rentrée scolaire en raison de la lenteur des travaux de réalisation. Certaines localités notamment rurales, accusent un énorme déficit en matière d'accueil des collégiens, ce qui explique le recours aux écoles primaires où au centres de formation professionnelle pour recevoir les élèves et assurer au moins une rentrée scolaire pour nombre de collégiens. La rentrée scolaire dans la wilaya de Boumerdès risque d'être difficile cette année en raison d'une multitude de problèmes notamment ceux liés à l'achèvement de plusieurs projets de construction de structures éducatives, lancées, il y a de cela, plusieurs années. Il semble qu'en dépit des rapports présentés par une commission de wilaya par rapport à la situation générale de l'éducation dans la wilaya de Boumerdès, beaucoup reste à faire pour assurer une scolarisation décente aux potaches. Les élèves devront revivre alors les expériences des années précédentes. Parmi les cinq établissements secondaires qui sont prévus pour cette rentrée, seul le lycée Franz-Fanon, au chef-lieu de Boumerdès dont les travaux sont à 95%, va recevoir, ce lundi, jour d'ouverture officielle de la rentrée scolaire, les élèves. Les autres localités où l'on a attendu la construction d'un lycée, l'ouverture n'est pas pour demain en raison des retards mis dans l'achèvement des projets. Les travaux du lycée de Baghlia ont atteint un taux de 90 %, ce qui va accentuer le calvaire des lycéens scolarisés dans des chalets pour la sixième année consécutive, celui de Zemmouri sont 80 %, le chantier de Tidjelabine a enregistré 60 % des travaux tandis que celui de la commune d'Arbâatache, le rythme des travaux est à 40 %. C'est dire que plusieurs lenteurs sont enregistrées dans l'achèvement de ses projets dont leur lancement date de plusieurs années. De même pour les localités qui ne sont toujours pas dotées en lycées, les élèves endurent d'énormes difficultés pour rejoindre les bancs de l'école lorsque le transport scolaire et les cantines font grandement défaut. L'exemple édifiant est celui des communes de Legata, Timezrite et Si Mustapha, où les élèves sont contraints de parcourir des kilomètres pour rejoindre les lycées des autres localités limitrophes. Outre cela, le problème d'exigüité des établissements scolaires se pose avec acuité dans cette partie du pays où plusieurs lycées souffrent du manque de places pédagogiques. A titre illustratif, le lycée Boukabous-Ahmed dans la commune de Chabet El Ameur, risque de revivre l'éxpérience de l'année écoulée où l'on a enregistré un taux élevé d'élèves par rapport aux capacités d'accueil de l'établissement. L'administration avait accueilli l'année dernière près de 900 élèves pour une vingtaine d'unités (classes). Le transfert de quatre classes vers le CEM Si Rachid, proposé alors par l'administration, a provoqué l'ire des élèves qui avaient déclenché des grèves cycliques pour réclamer de nouvelles structures. En outre, plusieurs projets de CEM risquent de ne pas ouvrir les portes cette année. En effet, les CEM de Si Mustapha, Sidi Daoud, Bordj Ménaeil et Dellys ne seront pas ouverts cette rentrée scolaire en raison de la lenteur des travaux de réalisation. Certaines localités notamment rurales, accusent un énorme déficit en matière d'accueil des collégiens, ce qui explique le recours aux écoles primaires où au centres de formation professionnelle pour recevoir les élèves et assurer au moins une rentrée scolaire pour nombre de collégiens.