Des centaines d'habitants du village Matoussa, dans la commune de Chabet El Amer à 35 kilomètres à l'est de chef-lieu de la wilaya de Boumerdès, ont bloqué, hier matin, le siège de l'APC en guise de protestation contre les conditions de vie jugées lamentables. Les manifestants ont étendu des banderoles sur lesquelles sont inscrits des slogans tels que «Nous exigeons le départ du président de l'APC», «Nous demandons l'amélioration de nos conditions de vie», «Transport scolaire pour nos enfants». Ils demandent la réfection et le revêtement de la route qui mène vers leur localité. «Cette route se trouve dans état déplorable, nous vivons le calvaire notamment en période hivernale, car à la moindre chute de pluie, la route devient un véritable marécage», nous déclare un manifestant. Selon notre information, ladite route a été réceptionnée en 2006, et en l'espace de 03 ans elle est devenue parsemée de nids de poule. Ils réclament également la reconstruction du pont effondré en 2004. «Ce pont est un point de jonction entre les deux parties du village (la haute partie et la basse partie)», nous dit-on. En sus de ces défaillances les villageois, notamment les transporteurs, vivent le calvaire. «Nous trouvons d'énormes difficultés pour desservir les villageois dans une telle situation », se plaint un transporteur. Les villageois réclament le transport scolaire pour les écoliers de la localité. « Ils rejoignent difficilement les bancs des établissements scolaires sis au chef-lieu », nous dira un parent d'élève. Ce village est le plus grand de la localité de par sa population et sa géographi et malgré cela, il n'est pas doté d'un CEM. « Les collégiens et les lycéens sont scolarisés au chef-lieu, ils arrivent en retard le matin à cause du manque de transport », ajoute notre interlocuteur. Des centaines d'habitants du village Matoussa, dans la commune de Chabet El Amer à 35 kilomètres à l'est de chef-lieu de la wilaya de Boumerdès, ont bloqué, hier matin, le siège de l'APC en guise de protestation contre les conditions de vie jugées lamentables. Les manifestants ont étendu des banderoles sur lesquelles sont inscrits des slogans tels que «Nous exigeons le départ du président de l'APC», «Nous demandons l'amélioration de nos conditions de vie», «Transport scolaire pour nos enfants». Ils demandent la réfection et le revêtement de la route qui mène vers leur localité. «Cette route se trouve dans état déplorable, nous vivons le calvaire notamment en période hivernale, car à la moindre chute de pluie, la route devient un véritable marécage», nous déclare un manifestant. Selon notre information, ladite route a été réceptionnée en 2006, et en l'espace de 03 ans elle est devenue parsemée de nids de poule. Ils réclament également la reconstruction du pont effondré en 2004. «Ce pont est un point de jonction entre les deux parties du village (la haute partie et la basse partie)», nous dit-on. En sus de ces défaillances les villageois, notamment les transporteurs, vivent le calvaire. «Nous trouvons d'énormes difficultés pour desservir les villageois dans une telle situation », se plaint un transporteur. Les villageois réclament le transport scolaire pour les écoliers de la localité. « Ils rejoignent difficilement les bancs des établissements scolaires sis au chef-lieu », nous dira un parent d'élève. Ce village est le plus grand de la localité de par sa population et sa géographi et malgré cela, il n'est pas doté d'un CEM. « Les collégiens et les lycéens sont scolarisés au chef-lieu, ils arrivent en retard le matin à cause du manque de transport », ajoute notre interlocuteur.