Près d'un millier d'entreprises algériennes ont obtenu la certification de la mise en conformité de leur système de management aux normes nationales et internationales, a indiqué, hier, à Alger, le directeur général de l'Institut algérien de la normalisation (IANOR), Mohamed Chaieb Aissaoui. «La certification des entreprises algériennes pour la qualité de leur gestion a trait à tous les systèmes de management confondus», a-t-il souligné lors d'un point de presse tenu à l'occasion de la célébration de la Journée mondiale de la normalisation. La certification de ces sociétés pour la qualité de leur gestion a été effectuée par des organismes internationaux, a-t-il fait savoir. Il a annoncé dans la foulée que l'institut IANOR, actuellement membre des différentes organisations internationales de normalisation comme ISO, deviendra dès le 1er trimestre 2010 le premier organisme algérien de certification. Il explique à cet effet que «l'organisme qu'il dirige a amélioré en 2009 sa position au classement des comités membres de l'ISO en passant de la 104ème place au Top 50». Sur un autre plan, le représentant du ministère de l'Industrie et de la Promotion de l'Investissement, Belkacemi Djaballah, a affirmé au cours de son intervention lors de cette rencontre que l'Etat a revu à la hausse son aide financière à la certification en la portant de 50 à 80% de la rémunération exigée par les organisations internationales de normalisation. «Le reste étant pris en charge par l'entreprise candidate à la certification», explique-t-il en précisant au passage que «cette aide étatique est accordée selon des critères dépendant essentiellement de la taille et du secteur dont relève l'entreprise». Ce sont, poursuit-il, «457 sociétés à avoir bénéficié de la contribution financière de l'Etat pour obtenir la certification». La rencontre d'hier a été également l'occasion de revenir sur «l'importance des normes et de l'évaluation de la conformité en matière de facilitation des échanges commerciaux, le respect de l'environnement étant devenu une exigence pour accéder au marché international. C'est d'ailleurs dans les trois plus grandes organisations mondiales de normalisation (ISO, CEI et UIT) ont choisi cette année de célébrer la Journée mondiale de normalisation sous le thème de «Agir sur le changement climatique par les normes». Près d'un millier d'entreprises algériennes ont obtenu la certification de la mise en conformité de leur système de management aux normes nationales et internationales, a indiqué, hier, à Alger, le directeur général de l'Institut algérien de la normalisation (IANOR), Mohamed Chaieb Aissaoui. «La certification des entreprises algériennes pour la qualité de leur gestion a trait à tous les systèmes de management confondus», a-t-il souligné lors d'un point de presse tenu à l'occasion de la célébration de la Journée mondiale de la normalisation. La certification de ces sociétés pour la qualité de leur gestion a été effectuée par des organismes internationaux, a-t-il fait savoir. Il a annoncé dans la foulée que l'institut IANOR, actuellement membre des différentes organisations internationales de normalisation comme ISO, deviendra dès le 1er trimestre 2010 le premier organisme algérien de certification. Il explique à cet effet que «l'organisme qu'il dirige a amélioré en 2009 sa position au classement des comités membres de l'ISO en passant de la 104ème place au Top 50». Sur un autre plan, le représentant du ministère de l'Industrie et de la Promotion de l'Investissement, Belkacemi Djaballah, a affirmé au cours de son intervention lors de cette rencontre que l'Etat a revu à la hausse son aide financière à la certification en la portant de 50 à 80% de la rémunération exigée par les organisations internationales de normalisation. «Le reste étant pris en charge par l'entreprise candidate à la certification», explique-t-il en précisant au passage que «cette aide étatique est accordée selon des critères dépendant essentiellement de la taille et du secteur dont relève l'entreprise». Ce sont, poursuit-il, «457 sociétés à avoir bénéficié de la contribution financière de l'Etat pour obtenir la certification». La rencontre d'hier a été également l'occasion de revenir sur «l'importance des normes et de l'évaluation de la conformité en matière de facilitation des échanges commerciaux, le respect de l'environnement étant devenu une exigence pour accéder au marché international. C'est d'ailleurs dans les trois plus grandes organisations mondiales de normalisation (ISO, CEI et UIT) ont choisi cette année de célébrer la Journée mondiale de normalisation sous le thème de «Agir sur le changement climatique par les normes».