Après trois jours de débat, les 5es journées internationales de cancérologie de Constantine se sont achevées jeudi dernier. Cette rencontre médicale, qui intervient dans le cadre du mois international du cancer, a regroupé 600 spécialistes et chercheurs en oncologie venus des différentes régions du pays, de France, de Belgique, du Maroc et de la Tunisie. Ces derniers se sont attelés à exposer les récentes thérapies ciblées en cancérologie dans les milieux hospitaliers depuis les années 2000. En Algérie, il est relevé l'augmentation constante des malades souffrant d'une pathologie cancéreuse. Selon les statistiques officielles émanant de l'Institut national de santé publique, 3.500 femmes atteintes du cancer du sein décèdent et 7.000 nouveaux cas sont enregistrés chaque année. D'où l'urgence de mettre en amont un plan national de prévention, comme c'est le cas dans les pays développés. Les pouvoirs publics parlent du lancement, dans le cadre du plan de développement 2010-2014, d'un programme de 30 milliards de dinars destiné à la lutte contre le cancer. Il se traduira, entre autres, par le dépistage obligatoire et la multiplication des structures sanitaires de proximité. Lors des 5es journées de cancérologie, les différents communicants qui se sont succédé sur la tribune de la faculté de médecine ont axé leurs interventions sur les derniers traitements auxquels la recherche a abouti. Il sera souligné une grande avancée médicale concrétisée par une classe de médicaments et qui représente un énorme espoir thérapeutique pour l'avenir. Il sera aussi déploré le manque d'infrastructures ce qui a une incidence directe sur la qualité de la prise en charge des malades. A titre d'exemple, Constantine dispose d'un centre de cancérologie doté, seulement, de 2.000 lits. Une capacité d'accueil fort insuffisante, selon les médecins, puisque le centre est à vocation régionale. Il est censé prendre en charge l'ensemble des malades, des 17 wilayas de l'Est. Après trois jours de débat, les 5es journées internationales de cancérologie de Constantine se sont achevées jeudi dernier. Cette rencontre médicale, qui intervient dans le cadre du mois international du cancer, a regroupé 600 spécialistes et chercheurs en oncologie venus des différentes régions du pays, de France, de Belgique, du Maroc et de la Tunisie. Ces derniers se sont attelés à exposer les récentes thérapies ciblées en cancérologie dans les milieux hospitaliers depuis les années 2000. En Algérie, il est relevé l'augmentation constante des malades souffrant d'une pathologie cancéreuse. Selon les statistiques officielles émanant de l'Institut national de santé publique, 3.500 femmes atteintes du cancer du sein décèdent et 7.000 nouveaux cas sont enregistrés chaque année. D'où l'urgence de mettre en amont un plan national de prévention, comme c'est le cas dans les pays développés. Les pouvoirs publics parlent du lancement, dans le cadre du plan de développement 2010-2014, d'un programme de 30 milliards de dinars destiné à la lutte contre le cancer. Il se traduira, entre autres, par le dépistage obligatoire et la multiplication des structures sanitaires de proximité. Lors des 5es journées de cancérologie, les différents communicants qui se sont succédé sur la tribune de la faculté de médecine ont axé leurs interventions sur les derniers traitements auxquels la recherche a abouti. Il sera souligné une grande avancée médicale concrétisée par une classe de médicaments et qui représente un énorme espoir thérapeutique pour l'avenir. Il sera aussi déploré le manque d'infrastructures ce qui a une incidence directe sur la qualité de la prise en charge des malades. A titre d'exemple, Constantine dispose d'un centre de cancérologie doté, seulement, de 2.000 lits. Une capacité d'accueil fort insuffisante, selon les médecins, puisque le centre est à vocation régionale. Il est censé prendre en charge l'ensemble des malades, des 17 wilayas de l'Est.