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«On veut une industrie automobile en Algérie» Le ministre de l'industrie et de la promotion des investissements à l'inauguration d'‘'Alger Industrie 2009''
«Le gouvernement ne prend pas de décisions inopportunes avant d'entamer un projet, mais il réalise des analyses et des études avant et après chaque processus de prise de décision, comme cela se fait à travers le monde», a notamment affirmé, hier, le ministre de l'Industrie et de la Promotion des investissements, Abdelhamid Temmar, lors de l'inauguration du Salon international ‘'Alger Industries 2009 qui se tient jusqu'au 21 octobre au Palais des expositions de la Safex. «Le gouvernement ne prend pas de décisions inopportunes avant d'entamer un projet, mais il réalise des analyses et des études avant et après chaque processus de prise de décision, comme cela se fait à travers le monde», a notamment affirmé, hier, le ministre de l'Industrie et de la Promotion des investissements, Abdelhamid Temmar, lors de l'inauguration du Salon international ‘'Alger Industries 2009 qui se tient jusqu'au 21 octobre au Palais des expositions de la Safex. M. Temmar a précisé que l'Etat ne s'aventure pas à donner de l'argent aux entreprises avant d'examiner le système de faisabilité du projet et l'opportunité de l'octroi de crédits financiers. «Le gouvernement a mesuré l'ampleur de la crise économique et financière internationale qui n'est pas résorbée, et par conséquent, il encourage résolument la production nationale», a déclaré l'orateur. Etant astreinte de mener à bien sa stratégie industrielle, l'Algérie doit, selon le ministre, «développer son appareil productif et ouvrir au maximum son marché afin d'attirer les investisseurs qui sont venus mettre de l'argent en Algérie et créer des entreprises». Il estime que les investisseurs sont déjà opérationnels en Algérie dans les secteurs qu'ils ont choisis, mais non pas dans les secteurs souhaités par le gouvernement et qui intéressent notre économie. Temmar dira que la stratégie nationale s'appuie sur la relance de la production nationale, notamment l'industrie et l'agriculture, estimant que le secteur privé ne s'implique pas dans le secteur industriel en étant hors de compétitivité et de concurrence. Pour le représentant du gouvernement, l'Algérie lance des opérations dans le but de mettre en place une industrie et créer des emplois tout en encourageant le secteur public productif de richesses. Il a notamment insisté sur la nécessité de développer des industries porteuses de croissance et de développement. Concernant le secteur automobile, Temmar dira que les pouvoirs publics encouragent la sous-traitance nationale afin d'utiliser avec efficience les capacités des entreprises algériennes. Cependant à propos de la voiture de marque algérienne à fabriquer localement, le ministre a déclaré que cela relève d'un mythe et d'un rêve, mais il a mis en relief la volonté de l'Etat et sa ferme intention d'avoir une industrie automobile en Algérie. «Nous travaillons dans un cadre gouvernemental et non dans un cadre de ministère, et les décisions stratégiques sont prises au sein du gouvernement», a-t-il ajouté, précisant que le gouvernement prend des décisions dans le cadre de l'implantation d'une industrie automobile des grands véhicules industriels et des véhicules de tourisme. Par ailleurs, il a fait remarquer que le ministère a rassemblé les industriels et les sous-traitants nationaux pour examiner les opportunités et les possibilités de coopération.Plus de 160 entreprises exposent au salon international ‘'Alger Industries 2009'' dont 70 sociétés françaises sur 80 étrangères alors que le nombre de visiteurs attendus s'est élevé à 20.000 durant les quatre jours de cette manifestation économique et commerciale organisée conjointement avec Batimatec Expo, la Chambre française de commerce et d'industrie en Algérie et la Chambre de commerce et d'industrie de Marseille-Provence. Les objectifs primordiaux assignés à ce salon sont, notamment, la contribution à une meilleure connaissance de l'industrie algérienne et à son effort de développement, faire connaître les innovations technologiques et les nouveaux produits, participer à la promotion et la création d'unités de taille PME et PMI, intensifier et densifier les relations d'affaires entre les partenaires nationaux et les partenaires étrangers. M. Temmar a précisé que l'Etat ne s'aventure pas à donner de l'argent aux entreprises avant d'examiner le système de faisabilité du projet et l'opportunité de l'octroi de crédits financiers. «Le gouvernement a mesuré l'ampleur de la crise économique et financière internationale qui n'est pas résorbée, et par conséquent, il encourage résolument la production nationale», a déclaré l'orateur. Etant astreinte de mener à bien sa stratégie industrielle, l'Algérie doit, selon le ministre, «développer son appareil productif et ouvrir au maximum son marché afin d'attirer les investisseurs qui sont venus mettre de l'argent en Algérie et créer des entreprises». Il estime que les investisseurs sont déjà opérationnels en Algérie dans les secteurs qu'ils ont choisis, mais non pas dans les secteurs souhaités par le gouvernement et qui intéressent notre économie. Temmar dira que la stratégie nationale s'appuie sur la relance de la production nationale, notamment l'industrie et l'agriculture, estimant que le secteur privé ne s'implique pas dans le secteur industriel en étant hors de compétitivité et de concurrence. Pour le représentant du gouvernement, l'Algérie lance des opérations dans le but de mettre en place une industrie et créer des emplois tout en encourageant le secteur public productif de richesses. Il a notamment insisté sur la nécessité de développer des industries porteuses de croissance et de développement. Concernant le secteur automobile, Temmar dira que les pouvoirs publics encouragent la sous-traitance nationale afin d'utiliser avec efficience les capacités des entreprises algériennes. Cependant à propos de la voiture de marque algérienne à fabriquer localement, le ministre a déclaré que cela relève d'un mythe et d'un rêve, mais il a mis en relief la volonté de l'Etat et sa ferme intention d'avoir une industrie automobile en Algérie. «Nous travaillons dans un cadre gouvernemental et non dans un cadre de ministère, et les décisions stratégiques sont prises au sein du gouvernement», a-t-il ajouté, précisant que le gouvernement prend des décisions dans le cadre de l'implantation d'une industrie automobile des grands véhicules industriels et des véhicules de tourisme. Par ailleurs, il a fait remarquer que le ministère a rassemblé les industriels et les sous-traitants nationaux pour examiner les opportunités et les possibilités de coopération.Plus de 160 entreprises exposent au salon international ‘'Alger Industries 2009'' dont 70 sociétés françaises sur 80 étrangères alors que le nombre de visiteurs attendus s'est élevé à 20.000 durant les quatre jours de cette manifestation économique et commerciale organisée conjointement avec Batimatec Expo, la Chambre française de commerce et d'industrie en Algérie et la Chambre de commerce et d'industrie de Marseille-Provence. Les objectifs primordiaux assignés à ce salon sont, notamment, la contribution à une meilleure connaissance de l'industrie algérienne et à son effort de développement, faire connaître les innovations technologiques et les nouveaux produits, participer à la promotion et la création d'unités de taille PME et PMI, intensifier et densifier les relations d'affaires entre les partenaires nationaux et les partenaires étrangers.