La saison touristique dans le Sud, lancée officiellement hier, sera marquée cette année par un apport de taille en matière de transport. La saison touristique dans le Sud, lancée officiellement hier, sera marquée cette année par un apport de taille en matière de transport. Deux vols charters desserviront, en effet, les deux régions les plus prisées par les touristes étrangers, à savoir Timimoune et Ghardaia. Ces nouvelles liaisons seront assurées par le tour opérator Point Afrique à partir de Paris suite à un accord signé avec le ministère du Tourisme. L'objectif étant de fidéliser une clientèle à la recherche de nouvelles sensations. Pour rappel, Air Algérie multiplie déjà les rotations directes à partir de Paris, Marseille, Lyon et Frankfurt vers les oasis du Sahara. Par le biais également de l'Office national du tourisme (Onat), le département de Cherif Rahmani a fait de ce créneau une priorité en affichant des ambitions à la hauteur des potentialités que recèle la région du Sud algérien. Un autre partenariat a été signé entre l'ONAT, Point Afrique et un groupe de Turquie, très implanté dans le monde avec plus de 500 agences de voyages dans le but de promouvoir davantage la destination Algérie. Les responsables de lONAT tablent, ainsi sur 2 millions de touristes d'ici cinq ans. Le développement du tourisme saharien ne va pas se limiter uniquement aux deux régions (Ghardaia et Timimoune), la tutelle a tracé un programme qui comprend les wilayas de Djanet et Tamanrasset mais aussi d'élargir le projet à d'autres pays tels que la Suisse et l'Allemagne. L'Europe reste donc le gisement naturel pour redynamiser le secteur du tourisme qui génère actuellement des recettes modestes estimées à 200 millions de dollars annuellement. Mais le tourisme dans le Sud qui est à ses premiers balbutiements pourrait contribuer grandement à diversifier les ressources en devises de l'Algérie qui reste dépendante des hydrocarbures. Ce secteur s'apparente, selon les professionnels, à une véritable industrie et une économie impérissable, pourvu qu'il soit accompagné d'une mise à niveau notamment en matière de qualité de service et des infrastructures hôtelières. Les mesures incitatives mises en place dans le cadre de la loi de finances complémentaire 2009, telle la réduction et l'exonération fiscales et les facilitations d'accès au foncier seraient un atout de plus pour encourager l'investissement dans le domaine touristique, un secteur qui accuse un grand retard. Deux vols charters desserviront, en effet, les deux régions les plus prisées par les touristes étrangers, à savoir Timimoune et Ghardaia. Ces nouvelles liaisons seront assurées par le tour opérator Point Afrique à partir de Paris suite à un accord signé avec le ministère du Tourisme. L'objectif étant de fidéliser une clientèle à la recherche de nouvelles sensations. Pour rappel, Air Algérie multiplie déjà les rotations directes à partir de Paris, Marseille, Lyon et Frankfurt vers les oasis du Sahara. Par le biais également de l'Office national du tourisme (Onat), le département de Cherif Rahmani a fait de ce créneau une priorité en affichant des ambitions à la hauteur des potentialités que recèle la région du Sud algérien. Un autre partenariat a été signé entre l'ONAT, Point Afrique et un groupe de Turquie, très implanté dans le monde avec plus de 500 agences de voyages dans le but de promouvoir davantage la destination Algérie. Les responsables de lONAT tablent, ainsi sur 2 millions de touristes d'ici cinq ans. Le développement du tourisme saharien ne va pas se limiter uniquement aux deux régions (Ghardaia et Timimoune), la tutelle a tracé un programme qui comprend les wilayas de Djanet et Tamanrasset mais aussi d'élargir le projet à d'autres pays tels que la Suisse et l'Allemagne. L'Europe reste donc le gisement naturel pour redynamiser le secteur du tourisme qui génère actuellement des recettes modestes estimées à 200 millions de dollars annuellement. Mais le tourisme dans le Sud qui est à ses premiers balbutiements pourrait contribuer grandement à diversifier les ressources en devises de l'Algérie qui reste dépendante des hydrocarbures. Ce secteur s'apparente, selon les professionnels, à une véritable industrie et une économie impérissable, pourvu qu'il soit accompagné d'une mise à niveau notamment en matière de qualité de service et des infrastructures hôtelières. Les mesures incitatives mises en place dans le cadre de la loi de finances complémentaire 2009, telle la réduction et l'exonération fiscales et les facilitations d'accès au foncier seraient un atout de plus pour encourager l'investissement dans le domaine touristique, un secteur qui accuse un grand retard.