La population de la " cité des 48 - Logements " dans la ville balnéaire d'El Kala wilaya d'El Tarf est montée au créneau hier. Les abonnés de Sonelgaz ont investi la rue en signe de protestation face aux coupures intempestives du courant électrique. Cette sortie des citoyens était prévisible depuis que ces derniers ont été privés de la transmission du match "Algérie-Rwanda". Selon certaines discrétions, cette contestation constitue un premier avertissement. Les personnes approchées hier soir nous apprennent que cette situation de coupures litératives du courant électrique est devenue un calvaire dans le sens le plus large du terme. Nous avons tout perdu nous apprend un père de de famille "cuisinière, réfrigérateur, télévision, matériel informatique etc... Il ajoutera des objets chèrement payés d'être serré la ceinture des années durant". Les commerçants de la rue du 24 Avril ont eux aussi payé plusieurs fois les frais de ces désagréments qui n'en finissent pas. Notre quotidien a à maintes reprises signalé un tel problème mais à chaque fois on trouve une excuse pour fuir la responsabilité. Récemment le directeur de la sonelgaz de l'Est dans un motion de précision attribue ces désagréments à des actes de sabotage des citoyens, alors que le problème est tout autre. Comme on dit on peut leurrer une population une fois mais pas continuellement. Enfin, signalons au passage que ces coupures continuent de paralyser les administrations au niveau de cette localité ayant un caractère touristique. Interpellé le maire de cette commune a répondu aux contestataires et a réussi par sa sagesse à apaiser les esprits chauffés à blanc. La rupture de la nuit de samedi à dimanche a duré au moins quatre heures. Les protestataires ont renoncé à leur action commune et promis de revenir à la charge si une décision drastique n'est pas prise pour mettre un terme à un tel calvaire qui dure depuis trois mois. La population de la " cité des 48 - Logements " dans la ville balnéaire d'El Kala wilaya d'El Tarf est montée au créneau hier. Les abonnés de Sonelgaz ont investi la rue en signe de protestation face aux coupures intempestives du courant électrique. Cette sortie des citoyens était prévisible depuis que ces derniers ont été privés de la transmission du match "Algérie-Rwanda". Selon certaines discrétions, cette contestation constitue un premier avertissement. Les personnes approchées hier soir nous apprennent que cette situation de coupures litératives du courant électrique est devenue un calvaire dans le sens le plus large du terme. Nous avons tout perdu nous apprend un père de de famille "cuisinière, réfrigérateur, télévision, matériel informatique etc... Il ajoutera des objets chèrement payés d'être serré la ceinture des années durant". Les commerçants de la rue du 24 Avril ont eux aussi payé plusieurs fois les frais de ces désagréments qui n'en finissent pas. Notre quotidien a à maintes reprises signalé un tel problème mais à chaque fois on trouve une excuse pour fuir la responsabilité. Récemment le directeur de la sonelgaz de l'Est dans un motion de précision attribue ces désagréments à des actes de sabotage des citoyens, alors que le problème est tout autre. Comme on dit on peut leurrer une population une fois mais pas continuellement. Enfin, signalons au passage que ces coupures continuent de paralyser les administrations au niveau de cette localité ayant un caractère touristique. Interpellé le maire de cette commune a répondu aux contestataires et a réussi par sa sagesse à apaiser les esprits chauffés à blanc. La rupture de la nuit de samedi à dimanche a duré au moins quatre heures. Les protestataires ont renoncé à leur action commune et promis de revenir à la charge si une décision drastique n'est pas prise pour mettre un terme à un tel calvaire qui dure depuis trois mois.