Le passeport biométrique électronique (PBE) sera opérationnel en Algérie à partir du mois d'avril 2010, alors que la carte nationale d'identité biométrique et électronique (CNIBE) sera mise en circulation au cours du deuxième semestre de la même année, a indiqué, hier, à Alger, le ministre d'Etat, ministre de l'Intérieur et des Collectivités locales, Nouredine Yazid Zerhouni. Les passeports et cartes d'identité nationale actuels demeureront valables du moins durant leur durée de validité et seront progressivement remplacés par les nouveaux documents biométriques électroniques, a précisé M. Zerhouni lors de la présentation des projets de la CNIBE et du PBE. Ces deux nouveaux documents ainsi que la modernisation du fichier de l'état civil, par le biais de l'outil informatique, contribueront à alléger les formalités et à réduire les pièces administratives exigées des citoyens ainsi que leurs procédures de délivrance. Ces deux documents seront, selon le ministre de l'Intérieur, «quasiment infalsifiables» grâce à la «complexité» du système mis en place «avec des codes de sécurité difficiles à décrypter». La mise en place de la CNIBE et du PBE sera suivie de la création d'un registre national de l'état civil avec l'institution d'un Numéro d'identification nationale unique (NIN) pour chaque citoyen, selon le ministre. En moyenne, un million de passeports et cinq millions de cartes d'identité nationale sont actuellement délivrés chaque année. Sa mise en circulation en Algérie étant prévue pour avril 2010, le passeport biométrique diffère fondamentalement de celui qui existe actuellement. La nouveauté réside dans le fait que ce document de voyage sera entièrement transcrit à l'aide de la machine, laquelle sera reliée à un système informatique hautement sophistiqué. Autrement dit, il n'y aura plus de transcription manuelle, ce qui permet aux données d'être sécurisées avec un risque zéro tant à l'intérieur qu'à l'extérieur du pays. En se dotant de ce type de pièces d'identité, l'Algérie aura construit un arsenal assez solide contre la criminalité organisée et les réseaux de soutien au terrorisme, se plaçant ainsi dans le carré des grandes puissances. Le passeport biométrique électronique (PBE) sera opérationnel en Algérie à partir du mois d'avril 2010, alors que la carte nationale d'identité biométrique et électronique (CNIBE) sera mise en circulation au cours du deuxième semestre de la même année, a indiqué, hier, à Alger, le ministre d'Etat, ministre de l'Intérieur et des Collectivités locales, Nouredine Yazid Zerhouni. Les passeports et cartes d'identité nationale actuels demeureront valables du moins durant leur durée de validité et seront progressivement remplacés par les nouveaux documents biométriques électroniques, a précisé M. Zerhouni lors de la présentation des projets de la CNIBE et du PBE. Ces deux nouveaux documents ainsi que la modernisation du fichier de l'état civil, par le biais de l'outil informatique, contribueront à alléger les formalités et à réduire les pièces administratives exigées des citoyens ainsi que leurs procédures de délivrance. Ces deux documents seront, selon le ministre de l'Intérieur, «quasiment infalsifiables» grâce à la «complexité» du système mis en place «avec des codes de sécurité difficiles à décrypter». La mise en place de la CNIBE et du PBE sera suivie de la création d'un registre national de l'état civil avec l'institution d'un Numéro d'identification nationale unique (NIN) pour chaque citoyen, selon le ministre. En moyenne, un million de passeports et cinq millions de cartes d'identité nationale sont actuellement délivrés chaque année. Sa mise en circulation en Algérie étant prévue pour avril 2010, le passeport biométrique diffère fondamentalement de celui qui existe actuellement. La nouveauté réside dans le fait que ce document de voyage sera entièrement transcrit à l'aide de la machine, laquelle sera reliée à un système informatique hautement sophistiqué. Autrement dit, il n'y aura plus de transcription manuelle, ce qui permet aux données d'être sécurisées avec un risque zéro tant à l'intérieur qu'à l'extérieur du pays. En se dotant de ce type de pièces d'identité, l'Algérie aura construit un arsenal assez solide contre la criminalité organisée et les réseaux de soutien au terrorisme, se plaçant ainsi dans le carré des grandes puissances.