Les autorités de l'aviation civile saoudienne se seraient opposées à la délivrance d'une autorisation d'atterrissage aux avions algériens, transportant des hadjis, sur les aéroports de Djeddah et de Médine, arguant qu'ils sont déjà surchargés malgré leur récente extensiet qu'ils ne (peuvent) recevoir que 3 vols quotidiens seulement en provenance d'Algérie. Un état de fait qui pourrait sérieusement compromettre la saison du hadj et les 36.000 pèlerins algériens devant se rendre aux Lieux Saints. Pour de plus amples détails, nous avons tenté de prendre attache avec la compagnie aérienne nationale Air Algérie ainsi qu'avec l'Office national du hadj en la personne de leurs premiers responsables respectifs, mais en vain. A chacune de nos multiples tentatives, nous nous sommes heurtés au mur du silence que ces institutions d'envergure ont érigé sans doute pour cacher les limites de leur gestion. Communiquer par le silence, tel semble être la devise de ces deux institutions qui ne cessent de cumuler les incartades les unes après les autres. Que cache réellement cette décision ? Quelles sont les véritables intentions des autorités saoudiennes ? Quel intérêt à travers pareille décision « surprenante et inattendue »? Ce sont entre autres les questions sur lesquelles nous aurions aimé avoir une réponse de la part des structures que dirigent Bouabdellah et Berbara, respectivement P-DG d'Air Algérie et DG de l'Office national du hadj (ONH). Selon certaines sources, la décision saoudienne survient après qu'Air Algérie eut autorisé des vols à partir de villes de l'intérieur du pays, en l'occurrence Chlef, Tébessa, Laghouat, Jijel et Béjaïa sur des petits avions qui ne peuvent transporter que 150 passagers au maximum. En plus d'une autonomie de vol « réduite » et le besoin de se ravitailler en kérosène… en Tunisie ou en Libye avant d'arriver à destination, ces avions de moindre capacité doivent faire 3 vols au lieu d'un seul. Or, la compagnie aérienne nationale aurait pu bien évidemment s'épargner tout cela si seulement elle avait pensé à programmer des appareils gros porteurs pour le transport des hadjis. Par ailleurs, Cherif Menacer, 1er vice-président du Syndicat national des agences de voyage (SNAV) a dénoncé hier lors d'un entretien téléphonique, le manque de professionnalisme et l'amateurisme en ce qui concerne la programmation des vols vers les Lieux Saints, allusion faite à la compagnie nationale Air Algérie et l'Office du hadj. « A l'heure où je vous parle, nous ne sommes toujours pas fixés sur les horaires et les dates des départs sachant que les réservations ont été achevées il y a plus d'une semaine», s'écrie le représentant du SNAV. Les autorités de l'aviation civile saoudienne se seraient opposées à la délivrance d'une autorisation d'atterrissage aux avions algériens, transportant des hadjis, sur les aéroports de Djeddah et de Médine, arguant qu'ils sont déjà surchargés malgré leur récente extensiet qu'ils ne (peuvent) recevoir que 3 vols quotidiens seulement en provenance d'Algérie. Un état de fait qui pourrait sérieusement compromettre la saison du hadj et les 36.000 pèlerins algériens devant se rendre aux Lieux Saints. Pour de plus amples détails, nous avons tenté de prendre attache avec la compagnie aérienne nationale Air Algérie ainsi qu'avec l'Office national du hadj en la personne de leurs premiers responsables respectifs, mais en vain. A chacune de nos multiples tentatives, nous nous sommes heurtés au mur du silence que ces institutions d'envergure ont érigé sans doute pour cacher les limites de leur gestion. Communiquer par le silence, tel semble être la devise de ces deux institutions qui ne cessent de cumuler les incartades les unes après les autres. Que cache réellement cette décision ? Quelles sont les véritables intentions des autorités saoudiennes ? Quel intérêt à travers pareille décision « surprenante et inattendue »? Ce sont entre autres les questions sur lesquelles nous aurions aimé avoir une réponse de la part des structures que dirigent Bouabdellah et Berbara, respectivement P-DG d'Air Algérie et DG de l'Office national du hadj (ONH). Selon certaines sources, la décision saoudienne survient après qu'Air Algérie eut autorisé des vols à partir de villes de l'intérieur du pays, en l'occurrence Chlef, Tébessa, Laghouat, Jijel et Béjaïa sur des petits avions qui ne peuvent transporter que 150 passagers au maximum. En plus d'une autonomie de vol « réduite » et le besoin de se ravitailler en kérosène… en Tunisie ou en Libye avant d'arriver à destination, ces avions de moindre capacité doivent faire 3 vols au lieu d'un seul. Or, la compagnie aérienne nationale aurait pu bien évidemment s'épargner tout cela si seulement elle avait pensé à programmer des appareils gros porteurs pour le transport des hadjis. Par ailleurs, Cherif Menacer, 1er vice-président du Syndicat national des agences de voyage (SNAV) a dénoncé hier lors d'un entretien téléphonique, le manque de professionnalisme et l'amateurisme en ce qui concerne la programmation des vols vers les Lieux Saints, allusion faite à la compagnie nationale Air Algérie et l'Office du hadj. « A l'heure où je vous parle, nous ne sommes toujours pas fixés sur les horaires et les dates des départs sachant que les réservations ont été achevées il y a plus d'une semaine», s'écrie le représentant du SNAV.