Le président de l'Assemblée populaire nationale (APN), M. Abdelaziz Ziari a souligné, jeudi à Alger, l'impératif de s'intéresser davantage à l'histoire de l'Algérie et à son écriture « en toute fidélité » appelant à « ne pas confier cette mission à d'autres personnes », indique un communiqué de l'APN. Le président de l'Assemblée populaire nationale (APN), M. Abdelaziz Ziari a souligné, jeudi à Alger, l'impératif de s'intéresser davantage à l'histoire de l'Algérie et à son écriture « en toute fidélité » appelant à « ne pas confier cette mission à d'autres personnes », indique un communiqué de l'APN. M. Ziari qui a reçu un groupe de maîtres de conférence et historiens algériens participant à la journée parlementaire sous le thème « Lutte anti-coloniale 1830-1954: résistance populaire et mouvement national à l'aube de la Révolution », a souligné qu'il « s'agit d'un important facteur de préservation de la mémoire des générations futures face à ceux qui tentent de dénaturer les vérités et de glorifier le colonialisme ». M. Ziari a d'autre part soutenu que le régime colonial français a voulu se disculper de ses crimes en dénaturant les faits à travers « la loi négationniste » du 23 février 2005. Dans une allocution prononcée à l'ouverture de la journée parlementaire, M. Ziari a précisé que « le régime colonial a voulu effacer ses crimes en dénaturant les faits à travers la loi du 23 février 2005 afin de se dérober de sa responsabilité à l'égard des crimes contre l'humanité ». M. Ziari a souligné, à ce propos, le respect de l'Algérie à l'égard des intellectuels français « qui se sont soulevés pour dévoiler la vérité historique » affirmant que ces voix « sont une source d'honneur et de fierté pour leur pays et reflètent la conscience vive de l'humanité tout entière». Il a ajouté qu'au moment où l'Algérie attend une reconnaissance par la France de son passé colonial et « une reconnaissance officielle des crimes perpétrés en Algérie et aura ainsi franchi un pas vers une réconciliation indispensable à laquelle aspirent les deux nations algérienne et française, certains milieux s'efforcent dans la rive nord à glorifier le passé colonial et à falsifier les faits». Pour sa part, le ministre des Moudjahidine, Mohamed Chérif Abbas, a appelé à faire la lumière sur tous les aspects de la période coloniale en Algérie soulignant que « plusieurs zones d'ombres demeurent non élucidées » dans l'histoire de la période coloniale en Algérie, appelant les historiens à faire la lumière sur tous les aspects de cette période pour préserver la mémoire collective du peuple algérien. «Même si beaucoup de travail à été réalisé dans l'écriture de l'histoire de l'Algérie, plusieurs zones d'ombres dans l'histoire de la période coloniale demeurent toutefois non élucidées », a affirmé M. Chérif Abbas lors d'une intervention devant les participants de cette journée parlementaire organisée par l'APN), en collaboration avec le ministère des Moudjahidine. M. Ziari qui a reçu un groupe de maîtres de conférence et historiens algériens participant à la journée parlementaire sous le thème « Lutte anti-coloniale 1830-1954: résistance populaire et mouvement national à l'aube de la Révolution », a souligné qu'il « s'agit d'un important facteur de préservation de la mémoire des générations futures face à ceux qui tentent de dénaturer les vérités et de glorifier le colonialisme ». M. Ziari a d'autre part soutenu que le régime colonial français a voulu se disculper de ses crimes en dénaturant les faits à travers « la loi négationniste » du 23 février 2005. Dans une allocution prononcée à l'ouverture de la journée parlementaire, M. Ziari a précisé que « le régime colonial a voulu effacer ses crimes en dénaturant les faits à travers la loi du 23 février 2005 afin de se dérober de sa responsabilité à l'égard des crimes contre l'humanité ». M. Ziari a souligné, à ce propos, le respect de l'Algérie à l'égard des intellectuels français « qui se sont soulevés pour dévoiler la vérité historique » affirmant que ces voix « sont une source d'honneur et de fierté pour leur pays et reflètent la conscience vive de l'humanité tout entière». Il a ajouté qu'au moment où l'Algérie attend une reconnaissance par la France de son passé colonial et « une reconnaissance officielle des crimes perpétrés en Algérie et aura ainsi franchi un pas vers une réconciliation indispensable à laquelle aspirent les deux nations algérienne et française, certains milieux s'efforcent dans la rive nord à glorifier le passé colonial et à falsifier les faits». Pour sa part, le ministre des Moudjahidine, Mohamed Chérif Abbas, a appelé à faire la lumière sur tous les aspects de la période coloniale en Algérie soulignant que « plusieurs zones d'ombres demeurent non élucidées » dans l'histoire de la période coloniale en Algérie, appelant les historiens à faire la lumière sur tous les aspects de cette période pour préserver la mémoire collective du peuple algérien. «Même si beaucoup de travail à été réalisé dans l'écriture de l'histoire de l'Algérie, plusieurs zones d'ombres dans l'histoire de la période coloniale demeurent toutefois non élucidées », a affirmé M. Chérif Abbas lors d'une intervention devant les participants de cette journée parlementaire organisée par l'APN), en collaboration avec le ministère des Moudjahidine.