Le rapport établi à la fin de la conférence des Nations unies pour le commerce et développement (CNUCED), publié récemment, indique que l'Algérie est classée parmi les dix pays africains les plus dynamiques en terme d'augmentation du nombre d'abonnés à la téléphonie mobile. Dans son rapport mondial 2009 intitulé ''Information Economy Report 2009: tendances et perspectives'', la CNUCED place l'Algérie en 2e position à l'échelle africaine en termes de rythme de pénétration de la téléphonie mobile par 100 habitants entre 2003 et 2008. La première place revient au Gabon, talonné par la Lybie en troisième position, la Tunisie et l'Afrique du Sud respectivement à la quatrième et cinquième places, tandis que le Maroc pointe à la sixième devançant au passage l'Egypte. Le continent africain a brillé ses dernières années par une croissance forte et soutenue dans le domaine des télécommunications, notamment celui de la téléphonie mobile, où les dernières statistiques indiquaient que sur la période allant de 2003 à 2008, le continent a enregistré une progression de 550% par rapport au nombre d'abonnés pour atteindre les 350 millions d'utilisateurs des téléphones portables contre 54 millions pour la même période, selon le (CNUCED). ''La pénétration de la téléphonie mobile touchait en moyenne près des deux tiers de la population de l'Afrique du Nord et plus d'un tiers de la population sur l'ensemble du continent africain. Seuls cinq pays africains (Burundi, Djibouti, l'Erythrée, l'Ethiopie et la Somalie) ont enregistré une pénétration inférieure à 10/100 habitants'', précise-t-on dans le même rapport. Par ailleurs, le rapport indique que l'obstacle principal chez les habitants du continent dans les années précédentes pour l'achat d'un téléphone était le manque de revenus, chose qui est de moins en moins aperçue aujourd'hui, puisque les équipements de réseaux sont plus efficaces et les appareils plus abordables. Et avec la popularité croissante de ce moyen de communication, une réalité apparaît, celle de la naissance de nouveaux services qui pour de nombreuses petites et moyennes entreprises, le téléphone mobile est devenu l'outil d'information et de communication de prédilection, surpassant même l'ordinateur. Le rapport de la CNUCED fait l'éloge aussi de plusieurs pays africains en matière des services bancaires et des transactions électroniques qui se déroulent depuis un téléphone mobile, citant particulièrement le Kenya, l'Afrique du Sud, la Tanzanie et la Zambie où les téléphones cellulaires permettent aux entreprises et aux particuliers de faire des paiements et des transferts de personne à personne, tout comme des achats prépayés, sans détenir de compte bancaire. D'ailleurs, ajoute-t-elle, ''les investisseurs semblent toujours intéressés à élargir et à améliorer les réseaux des technologies de l'information et de la communication (TIC) en Afrique, malgré la crise économique mondiale. ''Les investissements Sud-Sud en Afrique, qui constituent déjà une source de financement majeure pour les réseaux mobiles des pays en développement, vont aussi probablement se poursuivre, en dépit de la crise", note le rapport.. Le rapport établi à la fin de la conférence des Nations unies pour le commerce et développement (CNUCED), publié récemment, indique que l'Algérie est classée parmi les dix pays africains les plus dynamiques en terme d'augmentation du nombre d'abonnés à la téléphonie mobile. Dans son rapport mondial 2009 intitulé ''Information Economy Report 2009: tendances et perspectives'', la CNUCED place l'Algérie en 2e position à l'échelle africaine en termes de rythme de pénétration de la téléphonie mobile par 100 habitants entre 2003 et 2008. La première place revient au Gabon, talonné par la Lybie en troisième position, la Tunisie et l'Afrique du Sud respectivement à la quatrième et cinquième places, tandis que le Maroc pointe à la sixième devançant au passage l'Egypte. Le continent africain a brillé ses dernières années par une croissance forte et soutenue dans le domaine des télécommunications, notamment celui de la téléphonie mobile, où les dernières statistiques indiquaient que sur la période allant de 2003 à 2008, le continent a enregistré une progression de 550% par rapport au nombre d'abonnés pour atteindre les 350 millions d'utilisateurs des téléphones portables contre 54 millions pour la même période, selon le (CNUCED). ''La pénétration de la téléphonie mobile touchait en moyenne près des deux tiers de la population de l'Afrique du Nord et plus d'un tiers de la population sur l'ensemble du continent africain. Seuls cinq pays africains (Burundi, Djibouti, l'Erythrée, l'Ethiopie et la Somalie) ont enregistré une pénétration inférieure à 10/100 habitants'', précise-t-on dans le même rapport. Par ailleurs, le rapport indique que l'obstacle principal chez les habitants du continent dans les années précédentes pour l'achat d'un téléphone était le manque de revenus, chose qui est de moins en moins aperçue aujourd'hui, puisque les équipements de réseaux sont plus efficaces et les appareils plus abordables. Et avec la popularité croissante de ce moyen de communication, une réalité apparaît, celle de la naissance de nouveaux services qui pour de nombreuses petites et moyennes entreprises, le téléphone mobile est devenu l'outil d'information et de communication de prédilection, surpassant même l'ordinateur. Le rapport de la CNUCED fait l'éloge aussi de plusieurs pays africains en matière des services bancaires et des transactions électroniques qui se déroulent depuis un téléphone mobile, citant particulièrement le Kenya, l'Afrique du Sud, la Tanzanie et la Zambie où les téléphones cellulaires permettent aux entreprises et aux particuliers de faire des paiements et des transferts de personne à personne, tout comme des achats prépayés, sans détenir de compte bancaire. D'ailleurs, ajoute-t-elle, ''les investisseurs semblent toujours intéressés à élargir et à améliorer les réseaux des technologies de l'information et de la communication (TIC) en Afrique, malgré la crise économique mondiale. ''Les investissements Sud-Sud en Afrique, qui constituent déjà une source de financement majeure pour les réseaux mobiles des pays en développement, vont aussi probablement se poursuivre, en dépit de la crise", note le rapport..