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La politique de l'IE est un facteur clé pour les entreprises algériennes Le DG de l'IE aux 3es Assises de l'intelligence économique et de la veille stratégique
«Une politique publique d'intelligence économique devient une nécessité vitale et se profile comme un facteur clé de la compétitivité des entreprises algériennes et de l'efficacité de nos organisations», a déclaré, hier, Mohamed Bacha, directeur général de l'Intelligence économique, des études et de la prospective du ministère de l'Industrie et de la Promotion des investissements (MIPI), à l'occasion de l'ouverture des 3es Assises de l'intelligence économique et de la veille stratégique organisées sur l'esplanade de l'hôtel Sofitel par le groupe conseil VIP. C'est ainsi qu'il a insisté sur le rôle moteur que doit jouer l'Etat dans le développement de la culture de l'intelligence économique (IE) en Algérie. L'IE n'est pas seulement, dit-il, l'affaire d'une entreprise ou d'un secteur donné, mais c'est une démarche institutionnelle collective et systémique de management de l'information et de la connaissance fondée sur des réseaux actifs et collaborateurs. Il est vrai, a-t-il ajouté, que la compétitivité des entreprises dans le monde repose sur des alliances (pas toujours avouées) entre firmes, laboratoires, institutions, universités et systèmes financiers. «Pour ce qui nous concerne, l'entreprise doit redevenir la clé de voûte de notre action, car elle est là clé de notre devenir» a-t-il en outre précisé. La nouvelle organisation du MIPI mise en place depuis 2008 dans le cadre de la mise en place des conditions de la politique industrielle du ministère lui confère, indique-t-il, la mission de développer l'IE en introduisant ainsi une direction générale de l'IE, des études et de la prospective. Selon lui, cette direction a pour missions essentielles d'inciter les entreprises à développer des capacités en matière de décisions stratégiques, mettre en place des banques de données, analyser et traiter les données et enfin mettre en place un réseau d'échange d'informations. Pour Amor Zebar, directeur général de VIP Group, il s'agit de favoriser la réflexion sur les tenants et les aboutissants de l'IE afin de la promouvoir en Algérie et de sensibiliser les cadres aux enjeux qu'elle véhicule. «Face à crise mondiale, et dans un environnement de plus en plus mondialisé, les entreprises comme les territoires doivent anticiper les mutations qui sont susceptibles de les menacer et saisir les opportunités qui s'offrent à elles. La prise en compte de ces menaces et de ces opportunités nécessitent de faire appel à l'IE devenue incontournable tant pour les organisations publiques que privées» a-t-il indiqué, tout en soulignant; qu'une certaine insuffisance dans la mise en place de cette thématique dans notre pays. «Une politique publique d'intelligence économique devient une nécessité vitale et se profile comme un facteur clé de la compétitivité des entreprises algériennes et de l'efficacité de nos organisations», a déclaré, hier, Mohamed Bacha, directeur général de l'Intelligence économique, des études et de la prospective du ministère de l'Industrie et de la Promotion des investissements (MIPI), à l'occasion de l'ouverture des 3es Assises de l'intelligence économique et de la veille stratégique organisées sur l'esplanade de l'hôtel Sofitel par le groupe conseil VIP. C'est ainsi qu'il a insisté sur le rôle moteur que doit jouer l'Etat dans le développement de la culture de l'intelligence économique (IE) en Algérie. L'IE n'est pas seulement, dit-il, l'affaire d'une entreprise ou d'un secteur donné, mais c'est une démarche institutionnelle collective et systémique de management de l'information et de la connaissance fondée sur des réseaux actifs et collaborateurs. Il est vrai, a-t-il ajouté, que la compétitivité des entreprises dans le monde repose sur des alliances (pas toujours avouées) entre firmes, laboratoires, institutions, universités et systèmes financiers. «Pour ce qui nous concerne, l'entreprise doit redevenir la clé de voûte de notre action, car elle est là clé de notre devenir» a-t-il en outre précisé. La nouvelle organisation du MIPI mise en place depuis 2008 dans le cadre de la mise en place des conditions de la politique industrielle du ministère lui confère, indique-t-il, la mission de développer l'IE en introduisant ainsi une direction générale de l'IE, des études et de la prospective. Selon lui, cette direction a pour missions essentielles d'inciter les entreprises à développer des capacités en matière de décisions stratégiques, mettre en place des banques de données, analyser et traiter les données et enfin mettre en place un réseau d'échange d'informations. Pour Amor Zebar, directeur général de VIP Group, il s'agit de favoriser la réflexion sur les tenants et les aboutissants de l'IE afin de la promouvoir en Algérie et de sensibiliser les cadres aux enjeux qu'elle véhicule. «Face à crise mondiale, et dans un environnement de plus en plus mondialisé, les entreprises comme les territoires doivent anticiper les mutations qui sont susceptibles de les menacer et saisir les opportunités qui s'offrent à elles. La prise en compte de ces menaces et de ces opportunités nécessitent de faire appel à l'IE devenue incontournable tant pour les organisations publiques que privées» a-t-il indiqué, tout en soulignant; qu'une certaine insuffisance dans la mise en place de cette thématique dans notre pays.