Le ministre des Finances Karim Djoudi a présenté, hier, devant les députés de l'Assemblée populaire nationale (APN) les grandes lignes du projet de la loi de finances 2010. Ce dernier s'articule notamment autour du parachèvement des projets de dépense publique visant la poursuite de rééquilibrage structurel et l'amélioration des conditions de vie du citoyen. En présentant le projet du budget de l'Etat pour l'année prochaine, le ministre a indiqué que le recul des revenus des exportations du pays et de la fiscalité pétrolière, du fait de la crise économique mondiale, n'a pas affecté les capacités de sécuriser les dépenses publiques à moyen terme ni les capacités d'importation. Le ministre a attribué la stabilité des équilibres internes et externes de l'Algérie aux ressources de la Caisse de régulation des revenus, à l'augmentation des réserves de change et à la baisse du niveau de la dette extérieure à 474,6 millions de dollars à fin juin dernier. Dans ce contexte M. Djoudi a affirmé que la politique de financement interne de l'économie se poursuivait, ajoutant que les sociétés étrangères "sont appelées à financer leurs projets avec des ressources internes afin de pouvoir résorber l'excédent de liquidités. Le projet de loi de finances 2010 est élaboré sur la base de prix référentiels du brut maintenus à 37 dollars/baril, un taux de change à 73 dinars pour un dollar, le recul de 2 % des importations de marchandises par rapport aux prévisions de fin de l'année 2009, un taux d'inflation escompté à 3,5 % et une hausse du PIB de 4,6 % en général et de 5,5 % hors hydrocarbures, a indiqué le ministre. Selon l'exposé du ministre, les recettes budgétaires, prévues pour 2010, sont estimées à 3081 milliards de dinars, une baisse de 3% par rapport à l'année écoulée. Le ministre des Finances Karim Djoudi a présenté, hier, devant les députés de l'Assemblée populaire nationale (APN) les grandes lignes du projet de la loi de finances 2010. Ce dernier s'articule notamment autour du parachèvement des projets de dépense publique visant la poursuite de rééquilibrage structurel et l'amélioration des conditions de vie du citoyen. En présentant le projet du budget de l'Etat pour l'année prochaine, le ministre a indiqué que le recul des revenus des exportations du pays et de la fiscalité pétrolière, du fait de la crise économique mondiale, n'a pas affecté les capacités de sécuriser les dépenses publiques à moyen terme ni les capacités d'importation. Le ministre a attribué la stabilité des équilibres internes et externes de l'Algérie aux ressources de la Caisse de régulation des revenus, à l'augmentation des réserves de change et à la baisse du niveau de la dette extérieure à 474,6 millions de dollars à fin juin dernier. Dans ce contexte M. Djoudi a affirmé que la politique de financement interne de l'économie se poursuivait, ajoutant que les sociétés étrangères "sont appelées à financer leurs projets avec des ressources internes afin de pouvoir résorber l'excédent de liquidités. Le projet de loi de finances 2010 est élaboré sur la base de prix référentiels du brut maintenus à 37 dollars/baril, un taux de change à 73 dinars pour un dollar, le recul de 2 % des importations de marchandises par rapport aux prévisions de fin de l'année 2009, un taux d'inflation escompté à 3,5 % et une hausse du PIB de 4,6 % en général et de 5,5 % hors hydrocarbures, a indiqué le ministre. Selon l'exposé du ministre, les recettes budgétaires, prévues pour 2010, sont estimées à 3081 milliards de dinars, une baisse de 3% par rapport à l'année écoulée.