Cette rencontre a vu la participation de plus de 40 chercheurs venus de différentes régions du pays et d'Europe. Le programme comportait une trentaine d'interventions ciblant la production énergétique, le stockage de l'énergie électrique et le développement des régions du Sud par des panneaux photovoltaiques. Cette rencontre a vu la participation de plus de 40 chercheurs venus de différentes régions du pays et d'Europe. Le programme comportait une trentaine d'interventions ciblant la production énergétique, le stockage de l'énergie électrique et le développement des régions du Sud par des panneaux photovoltaiques. Du 22 au 24 novembre, le centre universitaire a organisé une conférence internationale sur le développement des énergies durables et renouvelables, les matériaux et la protection de l'environnement. Cette rencontre a vu la participation de plus de 40 chercheurs venus de différentes régions du pays et d'Europe. Le programme était basé sur trois objectifs fondamentaux : adaptation, modernisation des instruments de production et de gestion et encouragement du secteur privé pour les investissements touchant la prospection, la production et la commercialisation. Le programme comportait une trentaine d'interventions ciblant la production énergétique, le stockage de l'énergie électrique, le développement des régions du Sud par des panneaux photovoltaiques, etc. Pour la première journée, c'est M. Rezzoug, directeur du centre de recherche de Nancy (France) qui a présenté sa thèse sur l'énergie électrique, présent et avenir. Ensuite, M. Harmin, chercheur à l'université de Paris a développé deux thèmes. Les autres chercheurs des différentes universités du pays ont aussi abordé des thèmes variés comme le concept maison écologique, l'énergie solaire rentable et durable, l'étude et modélisation du condenseur de la serre de dessalement d'eau de mer en utilisant de l'énergie solaire, l'effet de dopage sur les propriétés isolantes d'un nouveau matériau de céramique ferraélectrique, la machine supraconductrice à concentration magnétique. M. Hachama, président du comité scientifique nous explique l'importance de ces journées : "Cette première conférence internationale sur les énergies, les matériaux et l'environnement organisée par l'institut des sciences et de la technologie est l'initiative d'enseignants chercheurs conscients de l'intérêt croissant des énergies renouvelables à travers le monde et aussi l'importance des énergies propres. Cette manifestation se veut un lieu de rencontres et un espace de communication et d'échanges entre chercheurs universitaires algériens et étrangers, opérateurs économiques industriels. Des chercheurs de l'université de Constantine ont souligné l'importance du stockage de l'énergie électrique et le recyclage des déchets. M. Rezoug qui dirige le centre de recherche de Nancy et qui a sous sa direction 40 chercheurs nous déclare : "J'ai répondu avec plaisir à l'invitation du centre universitaire de Khemis Miliana pour présenter au cours de ces journées les résultats des travaux au centre que je dirige, c'est-à-dire l'importance de l'énergie électrique, les besoins mondiaux et le développement lié aux matériaux". A noter que la première journée s'est déroulée en présence de M. Kadi, wali d'Aïn Defla. Enfin, tous les participants ont été invités pour une visite au musée Emir Abdelkader à Miliana. Du 22 au 24 novembre, le centre universitaire a organisé une conférence internationale sur le développement des énergies durables et renouvelables, les matériaux et la protection de l'environnement. Cette rencontre a vu la participation de plus de 40 chercheurs venus de différentes régions du pays et d'Europe. Le programme était basé sur trois objectifs fondamentaux : adaptation, modernisation des instruments de production et de gestion et encouragement du secteur privé pour les investissements touchant la prospection, la production et la commercialisation. Le programme comportait une trentaine d'interventions ciblant la production énergétique, le stockage de l'énergie électrique, le développement des régions du Sud par des panneaux photovoltaiques, etc. Pour la première journée, c'est M. Rezzoug, directeur du centre de recherche de Nancy (France) qui a présenté sa thèse sur l'énergie électrique, présent et avenir. Ensuite, M. Harmin, chercheur à l'université de Paris a développé deux thèmes. Les autres chercheurs des différentes universités du pays ont aussi abordé des thèmes variés comme le concept maison écologique, l'énergie solaire rentable et durable, l'étude et modélisation du condenseur de la serre de dessalement d'eau de mer en utilisant de l'énergie solaire, l'effet de dopage sur les propriétés isolantes d'un nouveau matériau de céramique ferraélectrique, la machine supraconductrice à concentration magnétique. M. Hachama, président du comité scientifique nous explique l'importance de ces journées : "Cette première conférence internationale sur les énergies, les matériaux et l'environnement organisée par l'institut des sciences et de la technologie est l'initiative d'enseignants chercheurs conscients de l'intérêt croissant des énergies renouvelables à travers le monde et aussi l'importance des énergies propres. Cette manifestation se veut un lieu de rencontres et un espace de communication et d'échanges entre chercheurs universitaires algériens et étrangers, opérateurs économiques industriels. Des chercheurs de l'université de Constantine ont souligné l'importance du stockage de l'énergie électrique et le recyclage des déchets. M. Rezoug qui dirige le centre de recherche de Nancy et qui a sous sa direction 40 chercheurs nous déclare : "J'ai répondu avec plaisir à l'invitation du centre universitaire de Khemis Miliana pour présenter au cours de ces journées les résultats des travaux au centre que je dirige, c'est-à-dire l'importance de l'énergie électrique, les besoins mondiaux et le développement lié aux matériaux". A noter que la première journée s'est déroulée en présence de M. Kadi, wali d'Aïn Defla. Enfin, tous les participants ont été invités pour une visite au musée Emir Abdelkader à Miliana.