Quatorze personnes ont trouvé la mort et seize autres ont été blessées dans un accident de la circulation survenu dans la nuit de samedi à dimanche dans la commune d'Oum-El-Idham (Djelfa), sur la route nationale N° 01, au lieu dit "El-Hachim" à 185 km au sud du chef lieu de la wilaya de Djelfa, selon la Protection civile. Cet accident est survenu suite à une collision entre deux camions, l'un au bord duquel se trouvait la plupart des victimes et le second qui prenait un tracteur en remorque. Aussitôt alertés, les services de la Protection civile se sont rendus sur le lieu de l'accident pour secourir les blessés qui ont été évacuer à l'hôpital de Messaad. Une enquête a été ouverte par les services de la gendarmerie nationale pour déterminer les causes exactes de ce sinistre. Justement la Gendarmerie national, dans un bilan dréssé du 25 novembre au 1er décembre, fait état de 433 accidents à travers le territoire nationale. Des accidents qui ont causé la perte de vie à 53 personnes et des blessures à 781 autres. Ce sont Sétif, Médéa, Relizane et Bordj Bou-arréridj qui viennent en tête de liste avec respectivement 24, 22, 21 et 20 accidents. En terme de morts, c'est Bordj Bou-Arréeridj qui est le leader avec 6 décès. Selon le rapport établi par la Gendarmerie nationale, ce sont la perte de contrôle du véhicule, l'excès de vitesse, le dépassement dangereux et le non-respect de la distance de sécurité qui sont les principales causes de ces accidents. Parmi les routes les plus meurtrières, la RN01 vient en tête de liste. Elle est suivie des RN06, 05, 16, 04 et 03. Au rythme où vont les choses, l'Algérie ne sera pas détrônée cette année. Elle gardera sa quatrième place mondiale en matière d'accidents de la route. Des accidents qui font des ravages. Nous enregistrerons 100 accidents et 12 morts par jour. L'incidence financière est très importante également. Les coûts directs et indirects sont estimés à 70 milliards de dinars annuellement, selon les rapports officiels. Le durcissement de la législation et les amendements apportés au code de la route n'ont pas porté leurs fruits. Des amendes d'un million de dinars et des peines de prison allant jusqu'à dix ans sont prévus dans le nouveau code de la route. Les peines et les sanctions sont aggravées lorsqu'il s'agit de conducteurs de poids lourds. Quatorze personnes ont trouvé la mort et seize autres ont été blessées dans un accident de la circulation survenu dans la nuit de samedi à dimanche dans la commune d'Oum-El-Idham (Djelfa), sur la route nationale N° 01, au lieu dit "El-Hachim" à 185 km au sud du chef lieu de la wilaya de Djelfa, selon la Protection civile. Cet accident est survenu suite à une collision entre deux camions, l'un au bord duquel se trouvait la plupart des victimes et le second qui prenait un tracteur en remorque. Aussitôt alertés, les services de la Protection civile se sont rendus sur le lieu de l'accident pour secourir les blessés qui ont été évacuer à l'hôpital de Messaad. Une enquête a été ouverte par les services de la gendarmerie nationale pour déterminer les causes exactes de ce sinistre. Justement la Gendarmerie national, dans un bilan dréssé du 25 novembre au 1er décembre, fait état de 433 accidents à travers le territoire nationale. Des accidents qui ont causé la perte de vie à 53 personnes et des blessures à 781 autres. Ce sont Sétif, Médéa, Relizane et Bordj Bou-arréridj qui viennent en tête de liste avec respectivement 24, 22, 21 et 20 accidents. En terme de morts, c'est Bordj Bou-Arréeridj qui est le leader avec 6 décès. Selon le rapport établi par la Gendarmerie nationale, ce sont la perte de contrôle du véhicule, l'excès de vitesse, le dépassement dangereux et le non-respect de la distance de sécurité qui sont les principales causes de ces accidents. Parmi les routes les plus meurtrières, la RN01 vient en tête de liste. Elle est suivie des RN06, 05, 16, 04 et 03. Au rythme où vont les choses, l'Algérie ne sera pas détrônée cette année. Elle gardera sa quatrième place mondiale en matière d'accidents de la route. Des accidents qui font des ravages. Nous enregistrerons 100 accidents et 12 morts par jour. L'incidence financière est très importante également. Les coûts directs et indirects sont estimés à 70 milliards de dinars annuellement, selon les rapports officiels. Le durcissement de la législation et les amendements apportés au code de la route n'ont pas porté leurs fruits. Des amendes d'un million de dinars et des peines de prison allant jusqu'à dix ans sont prévus dans le nouveau code de la route. Les peines et les sanctions sont aggravées lorsqu'il s'agit de conducteurs de poids lourds.