Le ministre de l'Aménagement du territoire, de l'Environnement et du Tourisme, a réaffirmé hier à Copenhague la disponibilité de l'Algérie à œuvrer pour aboutir à un accord équitable sur les changements climatiques. Lors de ses rencontres avec les principaux acteurs des négociations sur cette question, Chérif Rahmani a réitéré la disponibilité des négociateurs africains et de l'Algérie, conformément aux directives du président de la République Abdelaziz Bouteflika d'aboutir à un accord équitable selon les principes de la Convention et du Protocole de Kyoto. Il a également réitéré la position africaine commune telle qu'entérinée par l'Union africaine (UA) aux Sommets de Tripoli (Libye) et d'Addis Abeba (Ethiopie), notamment les préoccupations fondamentales du continent africain relatives à l'adaptation, le financement, le transfert de technologie d'une part et le respect, par les pays développés, des engagements au titre de la Convention et du Protocole de Kyoto d'autre part. Le ministre de l'Environnement prend part à cette conférence onusienne, à la tête d'une délégation composée de représentants de hauts niveaux, de plusieurs ministères et d'experts en climat afin d'engager des consultations et préparer le sommet des chefs d'Etat et de gouvernement prévu à la fin de la conférence. Il a, dans ce cadre, rencontré les représentants des principaux pays et acteurs majeurs de ces négociations tant des pays industrialisés que des pays en développement. Il s'est également entretenu avec ses homologues du Congo et d'Ethiopie, ainsi qu'avec le ministre danois chargé du Climat, la présidente de la conférence de Copenhague, le secrétaire exécutif de la convention des Nations unies pour les changements climatiques, le ministre chinois chargé du Climat et la présidente du Fonds mondial à l'environnement, de même que des représentants d'organisations non gouvernementales africaines et mondiales activant dans les négociations sur le climat. L'Algérie, qui participe activement à cette conférence, coordonne la prise en charge de la position commune africaine sur les changements climatiques dans les textes des négociations en cours à Copenhague en sa qualité de présidente du groupe africain des négociateurs du climat, conformément au mandat ministériel qui lui a été confié par la réunion du comité des 10 chefs d'Etat et de gouvernement de l'UA sur les changements climatiques (CAHOSCC), le 16 novembre dernier. Le ministre de l'Aménagement du territoire, de l'Environnement et du Tourisme, a réaffirmé hier à Copenhague la disponibilité de l'Algérie à œuvrer pour aboutir à un accord équitable sur les changements climatiques. Lors de ses rencontres avec les principaux acteurs des négociations sur cette question, Chérif Rahmani a réitéré la disponibilité des négociateurs africains et de l'Algérie, conformément aux directives du président de la République Abdelaziz Bouteflika d'aboutir à un accord équitable selon les principes de la Convention et du Protocole de Kyoto. Il a également réitéré la position africaine commune telle qu'entérinée par l'Union africaine (UA) aux Sommets de Tripoli (Libye) et d'Addis Abeba (Ethiopie), notamment les préoccupations fondamentales du continent africain relatives à l'adaptation, le financement, le transfert de technologie d'une part et le respect, par les pays développés, des engagements au titre de la Convention et du Protocole de Kyoto d'autre part. Le ministre de l'Environnement prend part à cette conférence onusienne, à la tête d'une délégation composée de représentants de hauts niveaux, de plusieurs ministères et d'experts en climat afin d'engager des consultations et préparer le sommet des chefs d'Etat et de gouvernement prévu à la fin de la conférence. Il a, dans ce cadre, rencontré les représentants des principaux pays et acteurs majeurs de ces négociations tant des pays industrialisés que des pays en développement. Il s'est également entretenu avec ses homologues du Congo et d'Ethiopie, ainsi qu'avec le ministre danois chargé du Climat, la présidente de la conférence de Copenhague, le secrétaire exécutif de la convention des Nations unies pour les changements climatiques, le ministre chinois chargé du Climat et la présidente du Fonds mondial à l'environnement, de même que des représentants d'organisations non gouvernementales africaines et mondiales activant dans les négociations sur le climat. L'Algérie, qui participe activement à cette conférence, coordonne la prise en charge de la position commune africaine sur les changements climatiques dans les textes des négociations en cours à Copenhague en sa qualité de présidente du groupe africain des négociateurs du climat, conformément au mandat ministériel qui lui a été confié par la réunion du comité des 10 chefs d'Etat et de gouvernement de l'UA sur les changements climatiques (CAHOSCC), le 16 novembre dernier.