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Imedhqane n'Tizi ...
Publié dans Le Midi Libre le 16 - 12 - 2009

* Tizi-Ouzou est sale, c'est un lieu commun que de le dire. Le ramassage des ordures ménagères se fait de manière anarchique. Les éboueurs vident les poubelles dans la benne du camion, tout en laissant tout autour des détritus. Ce qui revient à dire qu'il y a toujours des ordures aux endroits visités par les camions-bennes dela commune. Tout le monde y trouve son compte, sauf la propreté et l'hygiène évidemment. Pour nous autres citoyens, nous continuons à sortir nos poubelles tout naturellement, comme si de rien n'était.
* De magnifiques lampadaires ont été installés au boulevard Capitaine-Nouri-Mustapha, de Tizi-Ouzou. Deux bémols : d'abord, ils ne s'y prêtent pas, car ils ne sont utiles que pour les squares et autres jardins publics. Ensuite, il a fallu défoncer les trottoirs refaits auparavant à coup de millions. Conclusion : ceci est une action de prestige qui n'aboutit finalement à rien.
* La grippe saisonnière est en Kabylie.
La grippe porcine aussi. Une école privée a été fermée pour suspicion de grippe A. Bonne résolution! Sauf que personne dehors n'est muni de masques de protection. Pire, des crachats continuent de consteller nos trottoirs. Sans honte, d'aucuns se débarrassent de leurs cultures de microbes sur la voie publique. Jusqu'à quand ?
* Les trottoirs de la ville de Tizi sont tellement étroits que les passants préfèrent emprunter la chaussée pour aller plus vite. Les conducteurs évitent les passants. Pas le contraire. Pire encore, les commerçants, pas tous heureusement, squattent ces passages piétons toute honte bue. Du pain se vend à l'air libre. Ne parlons pas de la saleté des sachets de lait. Pour s'en convaincre, allez voir certains commerçants de la rue Sidi-Mamar.
* Les habitants du village Tizit (Illilten) se plaignent du manque de commodités susceptibles d'améliorer leurs conditions de vie, une situation qui met en colère les villageois.
Ils se plaignent d'abord du problème des perturbations de l'alimentation en eau potable, tandis qu'une partie des foyers du village n'est toujours pas raccordée au réseau des eaux usées. Le ramassage scolaire reste insuffisant. Les élèves des paliers moyen et secondaire doivent parcourir pas moins de 5 km, jusqu'au chef-lieu de la commune, pour rejoindre leurs établissements.
* L'Association des parents et amis des malades mentaux «Yasmine» de la wilaya de Tizi-Ouzou envisage de réaliser, dans un proche avenir, une ferme éducative et thérapeutique pour permettre l'accompagnement nécessaire à l'action thérapeutique par les institutions publiques de santé. C'est ainsi que les praticiens spécialistes, exerçant à titre libéral, en vue d'assurer la réinsertion familiale, sociale, économique et professionnelle des patients se portent d'ores et déjà bénévoles, apprend-on auprès de l'un des membres de cette association. Cette structure d'accompagnement prendra en charge également la formation des handicapés mentaux dans les métiers agricoles et autres, afin de leur permettre de se prendre, un tant soit peut, en charge professionnellement.
* L'Entreprise nationale de l'industrie de l'électroménager ( Eiem) de Tizi-Ouzou, autrefois fleuron de l'industrie locale, a traversé de graves problèmes financiers qui ont failli l'emporter à plusieurs reprises. On apprend de sources sûres qu'elle vient de bénéficier récemment d'un soutien financier de l'Etat qui a racheté ses dettes s'élevant à pas moins de 16 milliards de dinars. Cette décision va certainement soulager les 2.300 travailleurs de cette entreprise qui voient en cette décision une voie de salut pour la sauvegarde de leur emploi.
* Tizi-Ouzou est sale, c'est un lieu commun que de le dire. Le ramassage des ordures ménagères se fait de manière anarchique. Les éboueurs vident les poubelles dans la benne du camion, tout en laissant tout autour des détritus. Ce qui revient à dire qu'il y a toujours des ordures aux endroits visités par les camions-bennes dela commune. Tout le monde y trouve son compte, sauf la propreté et l'hygiène évidemment. Pour nous autres citoyens, nous continuons à sortir nos poubelles tout naturellement, comme si de rien n'était.
* De magnifiques lampadaires ont été installés au boulevard Capitaine-Nouri-Mustapha, de Tizi-Ouzou. Deux bémols : d'abord, ils ne s'y prêtent pas, car ils ne sont utiles que pour les squares et autres jardins publics. Ensuite, il a fallu défoncer les trottoirs refaits auparavant à coup de millions. Conclusion : ceci est une action de prestige qui n'aboutit finalement à rien.
* La grippe saisonnière est en Kabylie.
La grippe porcine aussi. Une école privée a été fermée pour suspicion de grippe A. Bonne résolution! Sauf que personne dehors n'est muni de masques de protection. Pire, des crachats continuent de consteller nos trottoirs. Sans honte, d'aucuns se débarrassent de leurs cultures de microbes sur la voie publique. Jusqu'à quand ?
* Les trottoirs de la ville de Tizi sont tellement étroits que les passants préfèrent emprunter la chaussée pour aller plus vite. Les conducteurs évitent les passants. Pas le contraire. Pire encore, les commerçants, pas tous heureusement, squattent ces passages piétons toute honte bue. Du pain se vend à l'air libre. Ne parlons pas de la saleté des sachets de lait. Pour s'en convaincre, allez voir certains commerçants de la rue Sidi-Mamar.
* Les habitants du village Tizit (Illilten) se plaignent du manque de commodités susceptibles d'améliorer leurs conditions de vie, une situation qui met en colère les villageois.
Ils se plaignent d'abord du problème des perturbations de l'alimentation en eau potable, tandis qu'une partie des foyers du village n'est toujours pas raccordée au réseau des eaux usées. Le ramassage scolaire reste insuffisant. Les élèves des paliers moyen et secondaire doivent parcourir pas moins de 5 km, jusqu'au chef-lieu de la commune, pour rejoindre leurs établissements.
* L'Association des parents et amis des malades mentaux «Yasmine» de la wilaya de Tizi-Ouzou envisage de réaliser, dans un proche avenir, une ferme éducative et thérapeutique pour permettre l'accompagnement nécessaire à l'action thérapeutique par les institutions publiques de santé. C'est ainsi que les praticiens spécialistes, exerçant à titre libéral, en vue d'assurer la réinsertion familiale, sociale, économique et professionnelle des patients se portent d'ores et déjà bénévoles, apprend-on auprès de l'un des membres de cette association. Cette structure d'accompagnement prendra en charge également la formation des handicapés mentaux dans les métiers agricoles et autres, afin de leur permettre de se prendre, un tant soit peut, en charge professionnellement.
* L'Entreprise nationale de l'industrie de l'électroménager ( Eiem) de Tizi-Ouzou, autrefois fleuron de l'industrie locale, a traversé de graves problèmes financiers qui ont failli l'emporter à plusieurs reprises. On apprend de sources sûres qu'elle vient de bénéficier récemment d'un soutien financier de l'Etat qui a racheté ses dettes s'élevant à pas moins de 16 milliards de dinars. Cette décision va certainement soulager les 2.300 travailleurs de cette entreprise qui voient en cette décision une voie de salut pour la sauvegarde de leur emploi.


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