Le ministre des Ressources en eau, Abdelmalek Sellal, a reconnu jeudi que l'objectif d'approvisionner les habitants de la capitale en eau potable 24h/24 n'a été atteint jusque-là qu'à 95% et a appelé donc la société Suez, en charge de ce projet dans le cadre d'un partenariat, à «rattraper le retard». La société française qui gère les eaux et l'assainissement sanitaire au niveau d'Alger, dispose tout de même de deux ans. Le ministre qui a reconnu que le réseau de canalisations d'eau potable «connaît une bonne amélioration», a néanmoins souligné que l'évaluation de ce partenariat se fera «à la fin de l'accord» qui lie le ministère à la société française. Dans une déclaration à la presse en marge d'une séance à l'Assemblée populaire nationale (APN) consacrée aux questions orales, M. Sellal a en outre indiqué que grâce à l'apport des dernières pluies qui ont porté le taux de remplissage des barrages exploités à travers le pays à 63% au cours du mois de décembre - un taux jamais atteint depuis 20 ans, l'Algérie est en mesure de garantir l'approvisionnement des citoyens en eau potable pour «ce qui reste de l'année en cours et l'année prochaine». Il a également souligné que son secteur a programmé la réalisation de 19 barrages à travers le territoire national au titre du programme quinquennal 2010-2014, ce qui multipliera la capacité de stockage des eaux par rapport au début de la décennie en cours. Le ministre a précisé que ce programme permettra d'atteindre «une capacité globale de stockage estimée à 9,1 milliards de m3 (4,2 mds de m/3 en 2000) en vue d'assurer l'approvisionnement des citoyens en eau potable et l'irrigation des terres agricoles». M. Sellal a ajouté que les projets en cours de réalisation ou ceux qui le seront prochainement serviront «à assurer un approvisionnement total» des citoyens en eau potable et à l'irrigation des terres agricoles. M. Sellal a souligné en outre la nécessité d'«économiser» l'eau destinée à l'irrigation, annonçant la réalisation prochaine de 4 barrages dont la plus grande partie de leurs eaux seront affectées à l'irrigation des terres agricoles en sus de la réception de deux barrages dans les wilayas de Tébessa et El Taref en janvier prochain. Le ministre a indiqué par ailleurs que les autorités publiques accorde la priorité à l'exploitation des eaux de surface par rapport aux eaux phréatiques et ce dans le cadre de projets et mesures liant les ministères des Ressources en eau, de l'Agriculture et du Développement rural, annonçant l'irrigation, la semaine prochaine, du premier périmètre agricole avec des eaux usées et assainies dans la wilaya de Tlemcen. Le ministre des Ressources en eau, Abdelmalek Sellal, a reconnu jeudi que l'objectif d'approvisionner les habitants de la capitale en eau potable 24h/24 n'a été atteint jusque-là qu'à 95% et a appelé donc la société Suez, en charge de ce projet dans le cadre d'un partenariat, à «rattraper le retard». La société française qui gère les eaux et l'assainissement sanitaire au niveau d'Alger, dispose tout de même de deux ans. Le ministre qui a reconnu que le réseau de canalisations d'eau potable «connaît une bonne amélioration», a néanmoins souligné que l'évaluation de ce partenariat se fera «à la fin de l'accord» qui lie le ministère à la société française. Dans une déclaration à la presse en marge d'une séance à l'Assemblée populaire nationale (APN) consacrée aux questions orales, M. Sellal a en outre indiqué que grâce à l'apport des dernières pluies qui ont porté le taux de remplissage des barrages exploités à travers le pays à 63% au cours du mois de décembre - un taux jamais atteint depuis 20 ans, l'Algérie est en mesure de garantir l'approvisionnement des citoyens en eau potable pour «ce qui reste de l'année en cours et l'année prochaine». Il a également souligné que son secteur a programmé la réalisation de 19 barrages à travers le territoire national au titre du programme quinquennal 2010-2014, ce qui multipliera la capacité de stockage des eaux par rapport au début de la décennie en cours. Le ministre a précisé que ce programme permettra d'atteindre «une capacité globale de stockage estimée à 9,1 milliards de m3 (4,2 mds de m/3 en 2000) en vue d'assurer l'approvisionnement des citoyens en eau potable et l'irrigation des terres agricoles». M. Sellal a ajouté que les projets en cours de réalisation ou ceux qui le seront prochainement serviront «à assurer un approvisionnement total» des citoyens en eau potable et à l'irrigation des terres agricoles. M. Sellal a souligné en outre la nécessité d'«économiser» l'eau destinée à l'irrigation, annonçant la réalisation prochaine de 4 barrages dont la plus grande partie de leurs eaux seront affectées à l'irrigation des terres agricoles en sus de la réception de deux barrages dans les wilayas de Tébessa et El Taref en janvier prochain. Le ministre a indiqué par ailleurs que les autorités publiques accorde la priorité à l'exploitation des eaux de surface par rapport aux eaux phréatiques et ce dans le cadre de projets et mesures liant les ministères des Ressources en eau, de l'Agriculture et du Développement rural, annonçant l'irrigation, la semaine prochaine, du premier périmètre agricole avec des eaux usées et assainies dans la wilaya de Tlemcen.