Très remontée contre le FLN, la secrétaire générale du PT (Parti des travailleurs), Louisa Hanoune n'y est pas allée avec le dos de la cuillère, hier, à l'occasion de la réunion des commissions des élus du Centre du PT, pour fustiger le FLN de Abdelaziz Belkhadem. Très remontée contre le FLN, la secrétaire générale du PT (Parti des travailleurs), Louisa Hanoune n'y est pas allée avec le dos de la cuillère, hier, à l'occasion de la réunion des commissions des élus du Centre du PT, pour fustiger le FLN de Abdelaziz Belkhadem. Les raisons : l'accord politique entre son parti et le RND de Ahmed Ouyahia et les réactions négatives de cadres et militants du FLN, qui ne voient pas d'un bon oeil ce rapprochement, «conjoncturel», selon elle, du RND et du PT à la faveur du renouvellement partiel du Sénat qui aura lieu le 29 décembre du mois courant. «Nous sommes fiers des réalisations auxquelles le PT a pris part directement ou indirectement et nous avons le moral au plus haut», a tenu à avertir d'emblée, Louisa Hanoune qui juge «étrange, incompréhensible et inacceptable», les attaques de certains dirigeants du FLN, notamment Si Affif, la ciblant personnellement. «Est-ce qu'ils vont lâcher les vilains dobermans», s'est-elle- exclamée, s'indignant par ailleurs des accusations de Si Affif qui a estimé que la patronne du PT «roule pour ses intérêts». Démentant qu'elle a donné des «promesses» et niant «toute rencontre avec Si Affif», Louisa Hanoune souligne avec force que «la parole du PT est son capital» et s'interroge sur la signification à donner à ces attaques du FLN. «C'est la direction du FLN qui est responsable de cette situation et le PT n'a de compte à rendre à personne», a-t-elle lancé, précisant qu'elle n'a rencontré Abdelaziz Belkhadem que le 20 de ce mois et qu'il n'a été question des élections partielles du Sénat que «furtivement». La patronne du PT a rappelé que par le passé, le PT avait conclu des accords avec d'autres partis politiques sur diverses questions d'actualité sans qu'il ait «une campagne contre lui» elle s'interroge une nouvelle fois sur «ce qui s'est passé» et réaffirme que sa formation politique n'a pas «renié ses principes», précisant que les discussions avec le RND sur cette question ont débuté le 20 juin dernier, se sont poursuivies en septembre pour n'aboutir que ces derniers jours, saluant au passage la sagesse du MSP, El Islah et du Nahda. Qualifiant «l'accord politique» conclu avec le RND, d'«un accord incomparable à la hauteur des enjeux», qui la laisse penser que «le PT est sur la bonne voie», Louisa Hanoune estime que «le système égyptien par ses gesticulations et son paternalisme a fait des émules en Algérie». Accusant l'Alliance présidentielle d'être «un rouleau compresseur au sein de l'APN», elle souligne que «le débat ouvert par cette question est un facteur de clarification», et refuse «le chantage qui n'est pas de notre culture» elle refuse aussi «de distribuer des étiquettes aux partis», avouant que «la LFC 2009 a joué un grand rôle dans l'accord politique liant le PT au RND pour les partielles du Sénat». Par ailleurs, la SG du PT est revenu sur «la polarité présente et qui se poursuit au sein des institutions de l'Etat» en cette étape charnière et sensible de la vie de la nation qui n'est pas encore sortie de la crise et réitère son appel à l'abrogation de la loi sur les privatisations, elle plaide pour une «stratégie d'action commune des partis sur toute les questions qui intéressent le pays". Les raisons : l'accord politique entre son parti et le RND de Ahmed Ouyahia et les réactions négatives de cadres et militants du FLN, qui ne voient pas d'un bon oeil ce rapprochement, «conjoncturel», selon elle, du RND et du PT à la faveur du renouvellement partiel du Sénat qui aura lieu le 29 décembre du mois courant. «Nous sommes fiers des réalisations auxquelles le PT a pris part directement ou indirectement et nous avons le moral au plus haut», a tenu à avertir d'emblée, Louisa Hanoune qui juge «étrange, incompréhensible et inacceptable», les attaques de certains dirigeants du FLN, notamment Si Affif, la ciblant personnellement. «Est-ce qu'ils vont lâcher les vilains dobermans», s'est-elle- exclamée, s'indignant par ailleurs des accusations de Si Affif qui a estimé que la patronne du PT «roule pour ses intérêts». Démentant qu'elle a donné des «promesses» et niant «toute rencontre avec Si Affif», Louisa Hanoune souligne avec force que «la parole du PT est son capital» et s'interroge sur la signification à donner à ces attaques du FLN. «C'est la direction du FLN qui est responsable de cette situation et le PT n'a de compte à rendre à personne», a-t-elle lancé, précisant qu'elle n'a rencontré Abdelaziz Belkhadem que le 20 de ce mois et qu'il n'a été question des élections partielles du Sénat que «furtivement». La patronne du PT a rappelé que par le passé, le PT avait conclu des accords avec d'autres partis politiques sur diverses questions d'actualité sans qu'il ait «une campagne contre lui» elle s'interroge une nouvelle fois sur «ce qui s'est passé» et réaffirme que sa formation politique n'a pas «renié ses principes», précisant que les discussions avec le RND sur cette question ont débuté le 20 juin dernier, se sont poursuivies en septembre pour n'aboutir que ces derniers jours, saluant au passage la sagesse du MSP, El Islah et du Nahda. Qualifiant «l'accord politique» conclu avec le RND, d'«un accord incomparable à la hauteur des enjeux», qui la laisse penser que «le PT est sur la bonne voie», Louisa Hanoune estime que «le système égyptien par ses gesticulations et son paternalisme a fait des émules en Algérie». Accusant l'Alliance présidentielle d'être «un rouleau compresseur au sein de l'APN», elle souligne que «le débat ouvert par cette question est un facteur de clarification», et refuse «le chantage qui n'est pas de notre culture» elle refuse aussi «de distribuer des étiquettes aux partis», avouant que «la LFC 2009 a joué un grand rôle dans l'accord politique liant le PT au RND pour les partielles du Sénat». Par ailleurs, la SG du PT est revenu sur «la polarité présente et qui se poursuit au sein des institutions de l'Etat» en cette étape charnière et sensible de la vie de la nation qui n'est pas encore sortie de la crise et réitère son appel à l'abrogation de la loi sur les privatisations, elle plaide pour une «stratégie d'action commune des partis sur toute les questions qui intéressent le pays".