Par temps de pluie, il est presque impossible d'emprunter la Route nationale du village Ahmed-Rachedi (ex-Richelieu), une localité de plus de 10 mille habitants, située à 22 km au nord-est de Mila, chef-lieu de wilaya. Depuis l'entame des travaux de rénovation des conduites d'eau et l'aménagement des routes du village, cela fait plus d'un mois, la rue principale ou nationale s'est transformé en un vrai chantier plein de crevasses et de trous, sources de dangers fréquents aussi bien pour les piétons que pour les automobilistes. En temps de pluie, la chaussée se tranforme en une véritable patinoire entraînant de facto des glissades et des culbutes en tous genres, à la grande joie des curieux de passage, car elles sont souvent hilarantes. N'empêche que parfois les témoins sont obligés d'intervenir afin d'aider les victimes, ne serait-ce que pour les aider à se relever. "Lorsqu'il pleut, plutôt que de sortir patauger dans la gadoue, je préfére rester enfermé chez moi à regarder la télévision, car sortir nécessite le port de bottes spéciales", nous a confié un citoyen de Ahmed-Rachedi. Ceci résume en quelque sorte l'état d'esprit des habitants de Ahmed-Rachedi à la vue de la boue et des grandes flaques d'eau qui parsèment la chaussée. "Vivement la fin des travaux !", ne cessent-ils de crier. Par temps de pluie, il est presque impossible d'emprunter la Route nationale du village Ahmed-Rachedi (ex-Richelieu), une localité de plus de 10 mille habitants, située à 22 km au nord-est de Mila, chef-lieu de wilaya. Depuis l'entame des travaux de rénovation des conduites d'eau et l'aménagement des routes du village, cela fait plus d'un mois, la rue principale ou nationale s'est transformé en un vrai chantier plein de crevasses et de trous, sources de dangers fréquents aussi bien pour les piétons que pour les automobilistes. En temps de pluie, la chaussée se tranforme en une véritable patinoire entraînant de facto des glissades et des culbutes en tous genres, à la grande joie des curieux de passage, car elles sont souvent hilarantes. N'empêche que parfois les témoins sont obligés d'intervenir afin d'aider les victimes, ne serait-ce que pour les aider à se relever. "Lorsqu'il pleut, plutôt que de sortir patauger dans la gadoue, je préfére rester enfermé chez moi à regarder la télévision, car sortir nécessite le port de bottes spéciales", nous a confié un citoyen de Ahmed-Rachedi. Ceci résume en quelque sorte l'état d'esprit des habitants de Ahmed-Rachedi à la vue de la boue et des grandes flaques d'eau qui parsèment la chaussée. "Vivement la fin des travaux !", ne cessent-ils de crier.