La secrétaire générale du Parti des travailleurs (PT) répond à Abdelaziz Belkhadem et hausse le ton : «qu'on arrête de fustiger le PT, sinon je vais dévoiler les wilayas et les noms de ceux qui sont réellement impliqués dans la corruption et le business des voix». Cet avertissement de Louiza Hanoune se veut une réponse au SG et à deux députés du FLN, qui n'ont pas digéré l'accord politique scellé entre le PT et le RND en perspective des prochaines sénatoriales. Une «réaction étrange», selon Louiza Hanoune, qui s'interroge d'ailleurs sur les vrais desseins de ces «provocations injustifiées», arguant de la dimension nationale dudit accord et de la verve démocratique qu'il recèle, en ce sens qu'il renforce la pratique démocratique et la lutte contre toutes formes de marchandage politique. «Nous avons contracté un accord avec un parti centriste et pas extrémiste, qui peut donc vaciller à droite ou à gauche», a-t-elle soutenu hier, à l'occasion d'une conférence de presse tenue au siège de son parti à Alger, à l'issue de la réunion du comité central. Pis, la SG du PT, visiblement affectée par les allégations du vieux parti, s'est défendue d'être «l'alliée naturel le du FLN», comme le prétendaient certains, de même qu'elle a récusé l'existence d'un quelconque «accord tacite» entre les deux formations. En guise de représailles, Mme Hanoune a affirmé que les militants des deux wilayas non concernées par l'accord avec le RND, ont été instruites de voter à blanc lors des prochaines sénatoriales. Aussi, a-t-elle fait part de la mise en place d'un mécanisme pour homogénéiser les voix de ses militants afin d'appliquer scrupuleusement les clauses de l'accord. Et d'annoncer que l'accord scellé avec le parti de Ahmed Ouyahia sera poursuivi et accentué même après les élections, tout en souhaitant l'éclatement de l'Alliance présidentielle qui,selon elle, «a muselé tout débat au sein du Parlement». La secrétaire générale du Parti des travailleurs (PT) répond à Abdelaziz Belkhadem et hausse le ton : «qu'on arrête de fustiger le PT, sinon je vais dévoiler les wilayas et les noms de ceux qui sont réellement impliqués dans la corruption et le business des voix». Cet avertissement de Louiza Hanoune se veut une réponse au SG et à deux députés du FLN, qui n'ont pas digéré l'accord politique scellé entre le PT et le RND en perspective des prochaines sénatoriales. Une «réaction étrange», selon Louiza Hanoune, qui s'interroge d'ailleurs sur les vrais desseins de ces «provocations injustifiées», arguant de la dimension nationale dudit accord et de la verve démocratique qu'il recèle, en ce sens qu'il renforce la pratique démocratique et la lutte contre toutes formes de marchandage politique. «Nous avons contracté un accord avec un parti centriste et pas extrémiste, qui peut donc vaciller à droite ou à gauche», a-t-elle soutenu hier, à l'occasion d'une conférence de presse tenue au siège de son parti à Alger, à l'issue de la réunion du comité central. Pis, la SG du PT, visiblement affectée par les allégations du vieux parti, s'est défendue d'être «l'alliée naturel le du FLN», comme le prétendaient certains, de même qu'elle a récusé l'existence d'un quelconque «accord tacite» entre les deux formations. En guise de représailles, Mme Hanoune a affirmé que les militants des deux wilayas non concernées par l'accord avec le RND, ont été instruites de voter à blanc lors des prochaines sénatoriales. Aussi, a-t-elle fait part de la mise en place d'un mécanisme pour homogénéiser les voix de ses militants afin d'appliquer scrupuleusement les clauses de l'accord. Et d'annoncer que l'accord scellé avec le parti de Ahmed Ouyahia sera poursuivi et accentué même après les élections, tout en souhaitant l'éclatement de l'Alliance présidentielle qui,selon elle, «a muselé tout débat au sein du Parlement».