Des individus malades, manipulés ou carrément commandités par les Services du pouvoir, cherchent manifestement ces jours-ci à provoquer des conflits artificiels entre vos sites, en mettant en avant, des considérations subalternes d'ordre soi-disant déontologique, comme par exemple, le fait de ne pas indiquer la source de tel ou tel article que vous mettez en ligne. En témoigne à titre d'exemple, le cas de cet intervenant signant du pseudonyme de « Alilou » qui a sévi hier 14 Février 2010 à travers les sites de http://[email protected] et http://lequotidienalgerie.org/ Or – et de mon point de vue strictement personnel – la plupart des auteurs, pour ne pas dire leur totalité, qui signent des articles dénonçant les forfaitures du pouvoir illégitime, criminel et corrompu en place, ont précisément la volonté et le souhait de voir leurs articles relayés aussi largement que possible à travers Internet, à défaut de pouvoir les faire publier par une presse nationale servile, gavée de la soupe aux subventions. La notion de droit d'auteur – à supposer qu'elle s'applique ici – ne peut être invoquée contre l'auteur lui-même c'est un non-sens ! C'est assez souligner la débilité de ceux qui cherchent à nous torpiller. Car, bien entendu, ces parasitages ici et là, cherchent clairement à déstabiliser le cours des débats entre citoyens sur des questions de fond, liées à la nature illégitime, criminelle et corrompue d'un pouvoir aujourd'hui mis à nu et désormais sur la défensive. Dans les conditions actuelles de résistance citoyenne de tout un peuple opprimé et muselé, contre un régime illégal et liberticide que nous ne cesserons pas de dénoncer jusqu'à sa chute, ce serait faire preuve de la pire des niaiseries que de s'arrêter à des fausses considérations prétendument déontologiques. D'autant que, jusqu'à nouvel ordre, il n'y a aucune législation ou réglementation qui interdise à l'auteur d'un article de le diffuser simultanément par tous les moyens en sa possession, en direction de tous les supports qu'il veut. Et il appartiendra alors aux seuls responsables de publication, de décider de publier ou de ne pas publier. Et puis, serait-ce devenu une mode à présent que d'entendre d'un coté, des Ouyahia, des Belkhadem, des Bouguerra ou autres serviteurs serviles et corrompus du système, oser parler sans rire, de « lutte contre la corruption », tandis que des criminels qui ont des milliers de morts innocents sur la conscience, viennent agiter sous notre nez, la « déontologie de la presse » ? Allons donc, il vaut mieux en rire. Avec mépris. Post-scriptum : Merci à tous les internautes de relayer cette requête à l'adresse de Messieurs les Webmasters en charge des sites algériens pratiquant une opposition morale citoyenne contre le pouvoir illégitime, criminel et corrompu d'Alger. (Abdelkader DEHBI)