L'inconsidération du Code humain universel que constituent les Textes et Instruments juridiques internationaux, l'abus du droit des gens et l'insensibilité affichée par des individus sans foi ni loi, ne sont plus aujourd'hui une forme de comportement qui agresse l'esprit, surtout quand on sait que l'autoritarisme et le manque de scrupules ne s'embarrassent guère de nos jours de la morale élémentaire et des règles humaines, mais faut-il autant occulter, faut-il taire le rôle éminemment complice et dégradant tenu par une opposition de façade, qui en plus de sa passivité politique, affiche clairement son insouciance avec de fantomatique ateliers d'été tenus au bord de la mer, grâce à des subventions à relent corruptive loin des problèmes pénibles d'une population livrée à elle-même, Il y a aussi ce rôle joué par certaines démocraties occidentales, avec en tête et en bonne place, la « pondeuse » des droits de l'homme, cette France de la liberté, de l'égalité et de la fraternité, « laudatrice » des libertés fondamentales et « donneuse » de leçons civilisatrices, et notamment par des Institutions Financières Internationales (IFI), à l'image de la Banque mondiale et le FMI, lesquels ont continué à verser des aides aux « kleptocrates » notoires de l'époque, en n'ignorant pas –bien au contraire- le crime contre l'humanité commis à ciel ouvert, sous le regard de l'humanité entière au nom de la sauvegarde des personnes et des biens et d'une démocratie démoniaque, par une bande de marionnettes assoiffée de sang, actionnée par un fil historique, tressé dans une fibre faite de lâcheté et de haute trahison, un fil qui rappelle à ces maffieux sans honneur, leur passé hautement déshonorant. Le lecteur averti déduira avec facilité que je parle de ces moudjahidines de la 25éme heure, les déserteurs félons de l'armée française, des brigands devenus par la force d'un esprit maléfique et d'un génie malfaisant, des généraux d'opérettes d'un genre dramatique, que la mémoire collective ne pourra oublier facilement, tant la plaie est profonde et la douleur indescriptible, comme elle n'oubliera pas celles et ceux qui tentés par la délinquance économique et financière des nostalgiques de l'Algérie française (les DAF recyclés en z'heros), ont soutenu le machiavélisme abject de la maffia politico criminelle et de son cabinet noir composé d'un mélange mi francs maçons mi fasciste de service, à la solde du mal, pour le mal et rien que le mal, sans se demander s'il y a une seule raison pour applaudir le hold up électoral et les dégâts humains et matériels provoqués, commis par des monstres exécrablement nocifs. De cette option, de l'extrême concentration des pouvoirs entre les mains de l'auteur de la première violence, des pratiques oligarchiques telles que la prolifération des polices parallèles, l'abus du Pouvoir usurpé, l'action secrète, l'extrême propagande alarmiste, les déportations, les enlèvements, la torture, les éliminations extra judiciaires, les vols, la mise à sac de l'économie nationale et particulièrement l'égocentrisme d'un vieillard dont le cerveau machiavéliquement tordu s'identifie à la poignée d'une canne qui l'aide à supporter le poids d'une conscience molle, sinistrement lourde. Mais une chose est sure, les jugements de l'histoire sont implacables et, les fins de règne sont toujours tristes, pour les monocrates sans scrupules qui imposent leurs lois scélérates en agissant en monarques sans trône ni couronne, pour refuser le droit aux autres. Voulant être tout pour tous, ils finissent toujours par devenir plus rien pour tous, absolument rien, sauf une tache noire dans les pages de l'histoire de l'humanité Alors considérer que le charlatanisme politique érigé en système de gouvernance aurait atteint ses limites, serait ni plus ni moins reconnaitre la plus odieuse des forfaitures. Quelle gouvernance ? Celle du crime ! Le Gouverne-ment, ca oui il a tout le temps menti à la place de gérer, et il continue à faire du mensonge un système de gouvernance, grâce à un personnel intellectuellement limité et jetable. Pour preuve écoutons ce ministre ânonner sans ressentir un soupçon de honte, qu'il n'y a pas de pauvres en Algérie, juste après avoir déclaré qu'un million de couffins auraient été distribués par le croissant rouge, (à qui donc ?), ou bien tel autre ministre qui vous annonce que l'Etat à construit des milliers de logements là où, chacun peut voir un gigantesque bidonville, ou encore cet autre ministre qui parle d'une chose et de son contraire à la fois et qui déclare que son ministère a réglé le problème de la santé publique, alors que nos hôpitaux à vue d'œil sont de véritables mouroirs, et quand en apothéose le ministre en chef vous déclare presque en pleurant avec une absence de transparence, qu'il arrive tout juste à joindre les deux bouts, sans préciser lesquels, ceux de la boucle formée par les milliers d'autocars « tatoués » d'une tête de cheval, qui sillonnent les rues et ruelles d'Algérie, ou bien les bouts opaques des comptes bancaires et de la tromperie fiscale qui les accompagnent vers des paradis fiscaux. Chaque année à la veille du mois sacré du ramadhan, le gouverne-ment par la voix de son ministre du commerce claironne que toutes les dispositions nécessaires ont été prises pour parer à la flambée des prix, et chaque année le consommateur est livré au diktat de la spéculation sauvage et des lobbies, il n'y a qu'a voir ce qui se passe autant dans les marchés que sur les trottoirs, pour se rendre compte que l'Algérie est un grand bazar à ciel ouvert, ou flambeurs et flambés se côtoient, c'est un peu la république des copains et des coquins. Défenseur « Libre » des Droits de l'Homme Lectures: