L'affairisme syndical, les indus privilèges, la corruption active et la formation dans l'informel s'entremêlent depuis longtemps au sein de Sonatrach Spa. On est arrivé dans cette entreprise nationale à donner la gestion et la création de sept (07) centres de formation d'enseignement général, professionnel et universitaire actuellement à un syndicat maison, le Syndicat National Sonatrach. Les centres de formations offerts au syndicat des pétroliers dont certains sont fermés présentement (...), étaient et sont gérés sans agréments ni registres de commerce depuis des décennies sous la responsabilité de véreux opportunistes, les patrons du Syndicat Sonatrach. Ce qui suit n'est pas une simple blague sous forme d'accusations gratuites, mais d'illicites actes de gestion dans la formation informelle et corruptive qui dure depuis les années quatre vingt dix à Sonatrach, basée sur l'utilisation d'une méthode de gestion diabolique, caractérisée par un saignement dangereux des deniers et des biens immobiliers de Sonatrach. La continuelle gestion sans agréments des centres de formation et de perfectionnement professionnel de Sonatrach, tombés aux mains d'affairistes mal élus, continue dans une constante déviation. La Sonatrach a été amenée par de malsaines façons à céder dans la magouille à son syndicat maison la gestion informelle desdits centres, fait consolidé à la faveur de l'application de l'accord sur l'exercice du droit syndical qui dans certaines dispositions outrepassait les lois en vigueur, un accord de dupes conclu entre la direction générale de Sonatrach et son syndicat maison en novembre 1994, donnant à ce dernier le droit de gérer et de créer des centres de formation dans différents lieux du territoire national, dans le désordre et l'extrême mal. Le clan du syndicat maison de Sonatrach et les prédécesseurs de l'actuel S/G MAHIEDDINE & consorts, géraient et créaient des centres de formation depuis des années, dispensant au départ aux travailleurs, des cours d'enseignement général et professionnel de jour et du soir. Allant en montée corruptive, la grande surprise est apparue à partir de l'année scolaire 2009/2010, ou les centres gérés par ledit syndicat se sont lancés dans la formation dans le cycle universitaire, des Ingénieurs d'Affaires !!! Alors que ce type d'instruction relève de la compétence du ministère de l'enseignement supérieur et de la recherche scientifique (voir textes de lois au journal officiel sur l'enseignement supérieur) Au départ à Sonatrach durant les années quatre vingt, la mission de formation dans les susdits centres était pour l'enseignement des adultes afin d'assurer l'alphabétisation et l'élévation constante du niveau d'éducation et de culture générale des agents et leurs ayants droit par la suite, l'instruction s'adressait aux agents n'ayant pas jouis d'un enseignement scolaire ou ayant eu une scolarité faible ou bien pour le perfectionnement dans la société. La gestion des centres de formation à l'époque dépendait de la direction administration générale Sonatrach – DAG (Activités Centrales – ACT/SH maintenant) D'ailleurs, l'enseignement dispensé aux adultes, était permis soit dans des institutions spécialement créées à cet effet, soit dans des établissements d'éducation et de formation, soit dans les entreprises sur les lieux de travail. L'enseignement des adultes préparait au même titre que les établissements d'éducation, aux examens et concours organisés par le secteur de l'éducation, de l'enseignement général et du supérieur en vue de l'obtention de titres et de diplômes et aux concours d'entrée dans les écoles supérieures, centres et instituts de formation générale ou professionnelle. Le viol des lois sur l'enseignement par le syndicat maison de Sonatrach Les preuves parlent d'elles-mêmes : Les décrets exécutifs insérés au journal officiel relatifs à l'enseignement pratiqué par les établissements publics et privés en Algérie en font foi sur la violation des lois par ledit syndicat. Pour pouvoir continuer à gérer dans la CORRUPTION, l'astuce trouvée par ledit syndicat avec la complicité de la DG/SH, c'est de faire passer avec des centres et offices nationaux d'enseignement et de formation agrées par l'Etat, d'obscures conventions de parrainage avec les tutelles pédagogiques du C.N.E.P.D et de l'O.N.E.F.D, en violation des textes cités, juste pour assurer l'inscription des élèves des centres de Sonatrach aux examens de fin de formation qualifiante ou diplômant, et que soit gérée la formation par le syndicat maison. Les cycles de formation se déroulent dans les centres du dit syndicat sous la coupe de sa syndicale tutelle pédagogique (...) et ses enseignants vacataires choisis selon les méthodes du clan, des chanceux biens payés à l'heure, une autre énigme financière !!! Le résultat : Une corruption tripartite active, sponsorisée par une passive complicité irresponsable de la direction générale de Sonatrach et des pouvoirs publics en faveur d'un syndicat administratif, qui avec les moyens matériels, humains et financiers de Sonatrach, viole les lois qui régissent l'enseignement dans notre pays. Alors que la raison d'être du CNEPD, c'est de dispenser des formations professionnelles par l'envoi de supports de cours à domicile à ses élèves, ponctuées par des regroupements pédagogiques périodiques, et d'assurer la formation par correspondance dans différentes spécialités préparant aux examens et concours organisés par les établissements publics de formation professionnelle, telles sont ses principales missions. Par contre, le centre national d'enseignement généralisé (CNEG) par correspondance, était un établissement à caractère administratif créé en 1969. Il était chargé de dispenser un enseignement à distance aux élèves empêchés de poursuivre leurs études dans un établissement scolaire. Les cours s'adressent aussi aux travailleurs et aux citoyens désireux d'améliorer leur niveau d'instruction, de se préparer aux différents examens et concours ou aspirant à une promotion socioprofessionnelle. Aujourd'hui, ses fonctions sont assurées par l'office national d'enseignement et de la formation à distance (O.N.E.F.D) créé par décret n° 01-288 du 24 septembre 2001 portant modification du statut du CNEG. Le syndicat maison n'à jamais chercher à avoir l'agrément nécessaire en matière de formation professionnelle comme le stipule le décret ci-dessus cité, ledit syndicat reconnait dans plusieurs de ses correspondances qu'il viole les lois sur l'activité d'enseignement et de formation (sa correspondance de mars 2005 adressée à la DCG/RHU/SH lui demandant d'intervenir pour l'aider à l'obtention des agréments utiles pour ses informels centres...!!!) Le syndicat maison de Sonatrach fait fi du décret exécutif n° 04-90 du 24 mars 2004 fixe les conditions de création, ouverture et de contrôle des établissements privés d'éducation et d'enseignement. Ce décret précise les obligations des fondateurs des établissements privés d'éducation et d'enseignement vis-à-vis de l'Etat et des parents d'élèves. Il définit la nature, l'organisation et le fonctionnement de ces établissements sur la base d'un cahier des charges élaboré par les services du ministère de l'éducation nationale. L'enseignement supérieur désigne tout type de formation ou de formation à la recherche assuré au niveau postsecondaire par des établissements d'enseignement supérieur agrées par l'Etat, le syndicat maison de Sonatrach en fait fi également. Bravo Mr le vrai faux S/G du syndicat national Sonatrach, qui partit de votre poste initial de petit comptable à Sonatrach Siège/Direction Centrale Finances, êtes arrivé au stade de gérer la formation universitaire d'après ce qui est dit dans votre ahurissante note d'information du 02/08/2012 diffusée aux travailleurs du groupe Sonatrach les informant sur le début des inscriptions des enfants pour l'année scolaire 2012/2013. Quant au développement déduit sur cet insolite sujet de corruption tripartite active, il est fourni dans les explosifs détails qui suivent sur ces maudits centres du syndicat maison des pétroliers, gérés par le SG du syndicat et Consorts, un lègue de ses prédécesseurs pour la continuité dans la gestion malsaine du syndicat Sonatrach. Le syndicat national Sonatrach affilié à l'UGTA a changé de vocation depuis des décennies, il est devenu gestionnaire à part entière, alors que sa raison d'être est la défense des intérêts matériels et moraux des travailleurs. Au contraire, il s'est ligué avec la direction générale de Sonatrach, pour mater à jamais les légitimes revendications des travailleurs. Les déviations de Sonatrach Spa dans ce gâchis syndical : 1) l'entreprise a fournit de grands budgets incontrôlables à son syndicat maison pour lui permettre de gérer dans le désordre ses satanés centres de formation sans agréments (des détournements et dilapidations de deniers publics permis par la DG/SH ont eus lieu ...) 2) l'entreprise SH à fournit et construit dans l'anarchie à son syndicat maison des centres de formation implantés dans les agglomérations à forte population Sonatrach (07 centres) 3) une soixantaine (60) d'agents de différentes structures de Sonatrach continue d'être détachée pour la gestion de ces satanés centres dans la totale gabegie. 4) Sonatrach, le CNEPD et l'ONEFD et le syndicat maison savent bien que les professeurs pour les cours d'enseignement dans ces hybrides centres sont choisis et payés par le S/G et Consorts, alors que lesdits profs devaient appartenir aux parraineurs des formations et payés par eux, une avérée corruption tripartite voulue en continu ...!!! Les déviations dans la note du S/G du syndicat maison : 1) la note d'information en question devait être transmise par un directeur habilité désigné sur décision des tutelles concernées pour l'enseignement général, professionnel et universitaire (!) des centres cédés par Sonatrach à son syndicat maison. 2) les textes de lois exigent que ce soit les organismes d'état de formation à distance qui doivent s'occuper des inscriptions, il n y a pas d'intermédiaires pour le CNEPD comme pour l'ONEFD, aucune tolérance n'est admise dans les textes les régissant, ledit syndicat fait fi ! 3) les conventions de parrainage sont passées avec des organismes étatiques de formation par filouterie, juste pour permettre aux élèves inscrits aux satanés centres gérés par le syndicat maison, de passer les examens de formation diplômant et qualifiante pour chaque cycle. 4) le rôle d'intermédiaire illégal joué par ledit syndicat est largement exprimé dans des passages de ladite note concernant la formation d'ingénieur d'Affaires. Alors, qui est le nouveau Recteur de l'Université du Syndicat National de Sonatrach qui parraine ce cycle ? 5) les sections syndicales sont sommées de contrôler le dossier de l'élève et de ne donner le visa d'inscription qu'aux enfants de travailleurs adhérents UGTA (exigence de la carte syndicale de l'exercice en cours comme indiqué dans la fiche d'inscription), un grave fait insolite, unique et inique, car Sonatrach qui fournit les budgets d'exploitation aux dits centres, n'a qu'un seul collectif et non pas d'eux (le syndicat maison agit ainsi pour faire adhérer de manière forcée et détournée le maxi de travailleurs à l'UGTA), fait condamnable par la loi. 6) Le S/G du syndicat Sonatrach en diffusant sa note pour les inscriptions scolaires, ne rend personne destinataire de sa note (normalement, à titre d'information pour le PDG de l'entreprise, et à titre de compte rendu pour le S/G de la FNTPGC-UGTA, sa hiérarchie) 7) la malice du S/G syndical et ses complices : Ne pas faire figurer dans la dite note les montants des frais d'inscription pour chaque type de formation, alors que c'est une obligation légale (il est connu que la tarification pour les fils d'agents Sonatrach diffère de celle appliquée aux fils des extra Sonatrach. La comptabilité du syndicat maison de Sonatrach est élevée au rang de secret d'Etat ! D'après le ouï-dire pour l'année scolaire 2011/2012, payement de 9000,00DA par le fils d'agents Sonatrach, et 17000,00DA par le fils d'extra SH. 8) pour le titre de la formation cycle d'Ingénieur d'Affaires, la note ne fournit aucune information détaillée sur cette permissivité universitaire accordée pour ledit syndicat par des pouvoirs occultes, lui qui ne possède aucun universitaire dans sa direction depuis sa création ! Envers cette diversification de tentantes filières, il se trouve que ces centres sont fortement sollicités par les ayants droit de Sonatrach et les extra en déperdition scolaire et ce, suite au manque de places pédagogiques connu dans les infrastructures de formation gérés par l'Etat. Malgré l'anarchie qui règne, ces informels centres de formation n'arrivent parfois pas à satisfaire la demande sans cesse croissante des ayants droit d'agents Sonatrach et du groupe, une mystérieuse situation que seule une enquête pourra en dénicher les secrets d'arnaque syndicale qui continue de sévir dans la gestion des deniers de Sonatrach, car l'alibi utilisé par le syndicat maison pour arriver à gérer ainsi ces hétéroclites centres de déformation reste flou. LIEUX D'IMPLANTATION DESDITS CENTRES DE FORMATION : Les centres gérés par le syndicat maison sont implantés là ou se trouve une grande population Sonatrach. Les centres d'Alger sont au nombre de trois répartis pour l'enseignement général, l'enseignement technique et de gestion, environ une capacité globale de 3000 places pédagogiques dont le plus peuplé est celui du Val d'Hydra qui compte à lui seul 1800 places. - Le centre de Biskra possède une capacité de 130 places (fermé) - Le centre de SKIKDA possède une capacité de 80 places (fermé) - Le centre d'Oran possède une capacité de 300 places - Le centre d'ARZEW possède une capacité de 120 places - Le centre de Boumerdes, possède une capacité de 250 places (fermé) - Le centre de Bejaia, possède une capacité de 100 places - Le centre de Hassi Messaoud possède une capacité de 300 places (fermé). Lancé en 1996 et opérationnel en 2000, le centre a fermé ses portes aux élèves du secteur pétrolier sud en 2005, pour manque d'agrément, son histoire est machiavélique !!! C'est un projet concrétisé par les moyens de la direction générale Sonatrach, de la direction des œuvres sociales et de la division production Sonatrach Hassi Messaoud. Il a été suivi dans sa réalisation par l'ex patron de la fédération des pétroliers-FNTPGC, BENAZOUZ Mohamed qui était son directeur en même temps ! Humilié et évincé en Mai 2009, ce qui engagea une lutte féroce entre les clans syndicaux rivaux pour le contrôle la rente dans la formation à Sonatrach. Une satanée histoire de dilapidation de deniers publics que seule une sérieuse enquête approfondie pourra en déterminer le degré de gravité !!! Sachant que le coût global du centre de formation de Hassi Messaoud clés en mains, est revenu à environ 25 Milliards de centimes, mais fermé depuis 2005 ..................!!! ??? Messieurs les responsables affairistes et opportunistes du syndicat maison de Sonatrach, est-ce ceci la formation qualifiante et diplômant pour les travailleurs et leurs ayants droit ? Qui pourra demander des comptes sur ses dilapidations au carré à la direction générale de l'entreprise nationale Sonatrach Spa qu'on dit, un bien de tous les Algériens ????? M. LEFHEL
