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Au pays du grenouillage boulitique.
Publié dans Le Quotidien d'Algérie le 09 - 06 - 2013


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In Algérie-Focus
Succession de Bouteflika : une délégation d'officiers de l'armée a rendu visite à Zeroual
Par Amina Boumazza | juin 9, 2013
L'option Liamine Zeroual, pour remplacer Bouteflika, hospitalisé en France depuis le 27 avril dernier, même pour une période de transition comme le suggère l'ancien officier des services Mohamed Chafik Mesbah, est-elle sérieuse ?
Dans un article, rédigé apparemment à partir d'Alger, le site Internet d'Al Jazeera, se basant sur une source militaire, affirme que l'ancien président de la République, a reçu, chez lui, à Batna, une «délégation d'officiers de l'armée» et que ces derniers lui ont signifié qu'il était «l'homme de la situation». Cette «source» indique, par ailleurs, que même si Zeroual n'a pas exprimé ouvertement sa position vis-à-vis de la question, néanmoins, il a déclaré qu'il «n'a cessé de rester au service du pays» depuis qu'il a quitté la présidence. Le site rappelle, à cet effet, que cette option est partagée aussi par des civils, puisqu'au lendemain de l'hospitalisation de Bouteflika, des membres de la «famille révolutionnaire» ont rendu une visite à l'ancien chef de l'Etat.
C'était le cas également, ajoute la même source, de l'ancien chef de gouvernement Reda Malek, même si la visite de ce dernier revêt un caractère familial puisqu'il s'est déplacé chez Zeroual en compagnie de membres de sa famille. L'auteur de l'article a, par ailleurs, donné la parole à l'enseignant en sciences de l'information et de la communication, Abdel El Ali Rezagui. Celui-ci estime que parmi tous les noms qui circulent ces derniers temps, seuls ceux de l'ancien secrétaire général du FLN, et ancien premier ministre, Abdelaziz Belkhadem et Ali Benflis font le poids. Seulement, selon lui, c'est le pouvoir réel va opter pour Abdelmalek Sellal, afin de garantir une certaine stabilité. Pour Rezagui, Sellal fera face, au second tour, à Belkhadem ou Benflis. Il semble clair que l'après-Bouteflika a d'ores et déjà commencé. Certains s'efforcent de faire apparaître l'option Zeroual comme inéluctable. Vrai ou faux, en tout cas les choses se clarifieront dans les quelques prochains mois, au fur et à mesure que l'échéance approche. A moins que l'on aille vers une présidentielle anticipée.
Elyas Nour
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In Mon Journal
La DGSE et la CIA dans le détail du dossier médical du président : Paris et Washington cherchent à influer pour leur propre compte sur les choix de l'après-Bouteflika
Créé le samedi 8 juin 2013
La « fabrication » du prochain président algérien bat son plein dans les chancelleries occidentales. Toutefois, c'est Paris et Washington qui donnent l'impression d'être le mieux « au parfum » du dossier médical du président. Le black-out sur la nature de la maladie de Bouteflika et la possibilité qu'il puisse ou non revenir travailler à El Mouradia donnent lieu à de nombreuses rumeurs. Le Val-de-Grâce, infesté d'agents de la DGSE, est devenu durant trois semaines un haut lieu de collecte d'informations. De source.
La parfaite coordination entre Paris et Washington depuis 2007 pousse à affirmer sans risque de nous tromper, que les mêmes informations récoltées par la DGSE sont entre les mains de la CIA, et de ce fait, à l'Elysée et la Maison-Blanche.
La France et les Etats-Unis restent très prudents sur le sujet, mais leurs « fuites contrôlées » dans certains de leurs médias laissent transparaître que pour eux, le plus important actuellement, c'est de garder leurs privilèges et leurs intérêts en l'état. Et cela passe nécessairement par une tentative d'influer sur le choix du futur président.
Paris et Washington, les deux capitales les plus pesantes et les plus influentes en Algérie, politiquement et économiquement, distillent peu à peu que, concernant le président algérien, « même si son état semble s'améliorer, aujourd'hui il n'est plus en mesure de gouverner ». Pour Mediapart, « les autorités françaises qui semblent être bien au fait de tout ce qui entoure l'état de santé de Bouteflika ne veulent pas doubler les officiels algériens ». « C'est aux Algériens de communiquer s'ils le souhaitent », rapporte Le Parisien citant une source du Quai d'Orsay. Pour Mediapart, « certaines séquelles de l'AVC sont irréversibles ». Les déclarations faites par le président français François Hollande, puis par l'ambassadeur américain en poste à Alger, confortent cette thèse. Ce sont les seuls qui se sont exprimés à ce jour. Et les deux hommes s'étaient appesanti sur le fait que c'est aux Algériens de déterminer leur avenir, et que leurs pays, de toute façon, continueront à travailler avec les hommes que choisira le peuple algérien.
Le fait de se faire soigner en France a donné à ce pays une dimension nouvelle par rapport au profil bas qu'affichait Hollande au début de son mandat vis-à-vis de l'Algérie. En conservant entre ses mains le dossier de la maladie du président, la France peut dès lors détenir aussi certains atouts maîtres de sa politique algérienne, atouts dont elle usera certainement en temps opportun...
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جدل خلافة بوتفليقة يخيم على الجزائر
http://www.aljazeera.net/
9/6/2013
هشام موفق-الجزائر
يخيم جدل على الساحة السياسية بالجزائر حول خلافة الرئيس عبد العزيز بوتفليقة، بعد خروج أسماء مسؤولين سابقين إلى العلن، في وقت لا يزال فيه المعني « غائبا » في مستشفى فرنسي.
وتتداول الصحافة الجزائرية أسماء عدة مرشحين لخلافة بوتفليقة، أبرزهم الرئيس الأسبق الأمين زروال، ورؤساء الحكومة السابقون علي بن فليس، وعبد العزيز بلخادم، وأحمد أويحيى، ومولود حمروش، والوزير الحالي عبد المالك سلال، بالرغم من أنه بقيت قرابة سنة على انتهاء الدورة الرئاسية الحالية.
أسماء
وبرزت أسماء عديدة تقلدت مسؤوليات كبيرة في فترة سابقة، أهمها اسم الرئيس الأسبق زروال (1994-1999)، الذي يحظى باحترام لدى شريحة كبيرة من المواطنين والجيش، وعُرف عنه رفضه الاستجابة لأي دعوة رسمية من الرئيس بوتفليقة بخلاف الرؤساء السابقين.
وكشف مصدر عسكري للجزيرة نت أن وفدا من الضباط التقى الرئيس زروال ببيته بولاية باتنة (440 كلم)، وأخبره أنه « الرجل الأنسب لهذه المرحلة ».
ولم يفصح الرجل صراحة عن موقفه، إلا أنه أكد « أنه لم يتوقف عن خدمة الجزائر بالطرق السلمية منذ مغادرته السلطة ».
وتتفق هذه الرؤية عند جناح من العسكريين مع رؤية نظراء لهم من المدنيين، من الأسرة الثورية بالأساس. حيث زارت فدرالية أبناء الشهداء زروال بعد يوم واحد من إعلان نقل بوتفليقة إلى باريس.
كما لفتت الانتباه زيارة رئيس الحكومة الأسبق والمجاهد رضا مالك لزروال مؤخرا ببيته. وفُهمت من الزيارة رسالة حملها مالك للرئيس الأسبق، بالرغم من إضفائه نوعا من العائلية عليها باصطحابه لزوجته وابنته خلال الزيارة.
الجزيرة)
أما الاسم الآخر الذي بدأت « آلة الترويج » له تعمل بكثافة، فهو رئيس الحكومة الأسبق والمرشح السابق لرئاسيات 2004 علي بن فليس.
فقد دعته جمعية أبناء الشهداء لمنطقة الجزائر الحرة صراحة إلى الترشح للانتخابات الرئاسية المبكرة باعتباره الرجل الأجدر والأنسب.
ومعلوم أن علي بن فليس كان مرشح المؤسسة العسكرية (قيادة الأركان) للرئاسة ضد بوتفليقة عام 2004، قبل أن يخسرها عقب ترجيح المؤسسة الأمنية لكفة بوتفليقة.
من جانب آخر انتشرت بشكل ملفت مجموعات على موقع التواصل الاجتماعي « فيسبوك » تدعم علي بن فليس في هذه المرحلة، كمجموعة « نعم ومعا لترشيح الأستاذ بن فليس »، وغيرها من المجموعات.
ويروج أن هذه المجموعات على علاقة بدوائر صنع القرار، وهدفها الأساسي تعبئة الجماهير لهذا الاستحقاق. وقال موقع « ألجيري باتريوتيك » إن إحدى شركات الإعلانات العالمية قد أخذت صورا لبن فليس، وقُدِّم لها طلب بطبع ملايين « البورتريهات »، تحضيرا للحملة الانتخابية. الموقع يشاع أن مالكه ابن وزير الدفاع السابق الجنرال خالد نزار، ولم يكذب علي بن فليس هذ الخبر لحد الآن.
وفي المقابل يأتي اسم رئيس الحكومة الأسبق مولود حمروش (1989-1991). وبالرغم من التزامه الصمت منذ انسحابه من انتخابات 1999، فإن للرجل أصدقاء كثرا داخل المؤسسة العسكرية وفي حزب الأغلبية جبهة التحرير الوطني.
ونسبت صحيفة « جريدتي » لمصادر قالت إنها مقربة من حمروش، اعتزامه خوض الانتخابات المقبلة، خاصة أنه تلقى دعما من حزب جبهة القوى الاشتراكية، الذي يترأسه شرفيا حسين آيت أحمد.
وتتحدث أوساط مختلفة عن احتمال عقد صفقة سياسية بين حمروش ورئيس الحكومة الأسبق أحمد بن بيتور (1999-2000)، الذي كان قد أعلن صراحة عزمه الترشح.
جدل
ويرى أستاذ الإعلام والاتصال عبد العالي رزاقي أن هذه الأسماء -وجلها رؤساء حكومات سابقون- أهمها اسمان هما عبد العزيز بلخادم وعلي بن فليس، اللذان ينشطان ميدانيا في صمت.
ويعتقد رزاقي في حديث للجزيرة نت أن السلطة الحقيقية في البلاد قد استقرت على جعل الوزير الأول عبد المالك سلال هو الرئيس المقبل للبلاد، ولكنه في الدور الثاني سيتنافس مع بلخادم أو علي بن فليس.
لكن الكاتبة الصحفية حدة حزام لها رأي آخر إذ ترى أن الفصل في من سيخلف بوتفليقة على رأس البلاد لم يتم بعد، وأن الأسماء المتداولة أغلبها ليس له أي وزن في الساحة السياسية.
وتعتقد حزام أن لرئيس الحكومة الأسبق علي بن فليس حظوظا كبيرة في الانتخابات المقبلة، لكن إذا ما دخل سلال السباق فسيختلف الأمر حسب تعبيرها.
ويذكر أن الرئيس بوتفليقة نُقل في 27 أبريل/ نيسان الماضي إلى مستشفى فال دوغراس الفرنسي بعد جلطة دماغية عابرة لم تترك آثارا، حسب تعبير وكالة الأنباء الرسمية.
ومنذ ذلك الحين لم يظهر الرئيس بالصوت والصورة، بل من خلال مراسيم رئاسية سُربت للصحافة الوطنية، وأحدثت جدلا حول مكان توقيعها (فرنسا على ما يبدو)، أو أهلية مُوقِّعها (من حيث السلامة الصحية).
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