Comment guérir de tous ces mensonges, de toutes ces souffrances, de ces tortures, de ces douleurs, comment pardonner à ceux qui ont fomenté le drame vécu par les milliers de déportés des camps de la mort, comment pardonner à ceux qui les ont servis dans les médias, dans les institutions. Oui comment pardonner à cette terrible engeance de psychopathes et de sociopathes incapables d'empathie et de rahma, qui gouvernent et manipulent les humains. Je ne cesserais de rappeler pour que le monde sache que des intellectuels, hautement diplômés de grandes écoles européennes, que des chercheurs, des cadres supérieurs de l'administration, des enseignants expérimentés, des juristes et des praticiens de renom furent la cible des auteurs du coup d'état de février 1992. C'est cette vérité là que bien des « démocrates » se sont bassement évertués d'occulter. A cet effet, la guerre des mots, redoutable arme de désinformation massive, fut à outrance employée, et réussit à implanter durablement dans l'opinion publique nationale et internationale, l'image délétère et récurrente du Musulman « terroriste ». Comment s'en défendre au temps de « silence on tue », et comment s'en protéger ? » L'info-imposture ne reculait devant rien, et ça a marché un temps ! Ce colossal mensonge technomédiatocratique a été aussi le prétexte pour la mise à mort des libertés individuelles et des droits civiques les plus élémentaires. Ne pouvant fortifier la justice, ces « porte-plumes » ont justifié la force. L'Etat d'urgence permanent alors, reposait sur cette supposition, principe qui devait alors être admis comme vrai, faisant que la vérité allait être la première victime de cette pluie de sang qui allait s'abattre sur ce merveilleux peuple algérien, d'ou une certaine presse, même en se lavant les mains avec du sable, saura que le sang des innocents ne s'efface jamais, du moins, pas dans la conscience. Des centaines de milliers de Martyrs se sont battus et sacrifiés pour que nous puissions vivre libres. Perdre cette liberté pour l'aisance de terroristes de l'argent, ou alors du pouvoir, me parait d'une profonde inconscience de la part du terrorisme intellectuel, dont la seule aptitude c'est la revendication permanente de la hausse des salaires et accessoirement celle d'autres avantages sociaux. Cette bêtise, fruit de l'égoïsme étroit nous conduit chaque jour un peu plus à cette perte des libertés fondamentales, alors que nous assisterons impuissants a cette descente en enfer en continuons à râler, sans aucune action. Et en rappelant cette immuable vérité, le plus souvent on finit par être taxés par ceux-là, de tenir un discours conspirationniste. N'est-ce pas une honte de ne pas être libre, à ce que je sache nous sommes nombreux à ne rien faire. Puisque nous ne savons plus rien faire, n'est-il pas de notre devoir de tout refaire, convenons que c'est bien beau de parler sur des forums, mais ça ne changera rien. Médiatiquement nous sommes copieusement manipulés, mais personne ne se révolte. Il faut se manifester, montrer que nous ne sommes pas d'accord, sinon, si on ne fait rien, alors rien ne changera. Jetons un petit coup s'œil dans le rétroviseur, que voyons-nous ? Des milliers de caméras dans les rues qui ne servent à rien à part pour vous (nous) tester. On crée des projets de mariage en série pour tous pour tester la réaction des algériens, On nous taxe pour voir si vous (nous) allons réagir, On met des groupes de gens de différentes tendances politiques face à face, pour voir s'ils vont enfin finir par se battre. En attendant, de l'autre coté de la barrière c'est autre chose, il s'y trouve des chefs de gouvernements, des ministres et des hauts fonctionnaires malhonnêtes que l'on ne condamne pas. Ici, on crée la peur, on la manipule et on s'amuse à lui faire changer de camp, Plus loin ailleurs, on crée des 11 septembre pour appliquer des lois scélérates d'exception. C'est encore tout juste si l'on ne s'apprête pas à mettre des implants sous votre (notre) peau, pour pouvoir mieux vous (nous) suivre et les contrôler dans le futur proche à partir de maléfiques et ténébreux laboratoires. On vous (nous) a créé des groupes plus ou moins criminels et accessoirement des lois infâmes afin de justifier la répression, pour en arriver là où on en est maintenant. On crée des épidémies fictives pour « vacciner » à grande échelle et inoculer on ne sait quoi dans le corps des gens. On nous importe toutes les cochonneries, les taiwanneries et les chitanneries impropres à la consommation que nous ingurgitons, en sachant que ca vous (nous) consume à petit feu, Alors maintenant que vous (nous) êtes prêts grâce à vos (nos) silences complices de victimes consentantes, pourquoi nos lascars se gêneraient-ils ? Pour en arriver là où on en est maintenant. Réfléchissez-y, on a prévu cela depuis fort longtemps, On vous (nous) a prescrit « l ́apocalypse », et les décideurs sont prêts à nous y entraîner, de gré ou de force. Pour éviter le point de non retour, il vous (nous) appartient de choisir d'être dignes ou pas des hommes de Novembre.