On nous prend vraiment pour des «qui pigent rien». Et qui portent un nom glorieux : mes demeurés. Depuis le début, ils pensaient à un cinquième mandat mais c'était un tabou et presque un blasphème d'en parler. D'ailleurs, Ould-Abbès avait émis une fatwa pour inviter les militants du FLN à comprimer leur zèle en ne parlant pas du tout du 5e mandat. Puis, maintenant que les choses se sont décontractées, on peut en causer. Comme quoi, ils décident même de ce qu'on doit penser ! A. T. [email protected]