Djamel Ould Abbès, le secrétaire général du FLN, a annoncé hier àDjelfa un nouveau report de la réuniondu comité central du parti, qui ne se tiendra pas donc avant le Ramadhancomme il l'avait promis récemment. Djamel Ould Abbès, le secrétaire général du FLN, a annoncé hier àDjelfa un nouveau report de la réuniondu comité central du parti, qui ne se tiendra pas donc avant le Ramadhancomme il l'avait promis récemment. Àpartir de Djelfa où il a réuni ses cadres, OuldAbbès a affirmé que "le travail de la commissionchargée d'évaluer le bilandes 20 ans du présidentBouteflika à la tête du payssera achevé dans 3 à 4semaines". Le patron du FLN expliqueraque ce document serala réponse à ceux qui posent a question "où sont partis1.000 milliards de dollars ?", indiquant à propos deDjelfa qu'elle a bénéficié de93.000 logements depuis2.000. Le chef du FLN, se situantau niveau national, parlera de barrages dont le nombreest passé de 30 à 81, dunombre d'étudiants, passéde 99.480 à 1.557.000. Mais Ould Abbès insistesurtout sur le secteur du logement pour faire valoir les 4 millions d'unités réaliséessous les mandats successifsdu présidentBouteflika."4 millions de logements, soit 20 millions d'Algériens logés ; dites-moi s'il vous plait, s'il existe un exemple pareil dans le monde ; c'est cela le miracle de Bouteflika", s'enthousiasme- t-il. Le rapport de cette commission, rappelons-le, est inscrit par la direction du FLN parmi les points essentiels du prochain CC. Qu'est-ce qui motive cet énième report du CC ? Ould Abbès a-t-il peur de la confrontation ? Le SG duFLN veut faire croire le contraire : "L'époque de la collecte des signatures pur destituer le SG du FLN est révolue", a-t-il lancé à l'adresse de ses détracteurs, qui réclament une réunion du CC dans les plus brefsdélais. Mais le SG du FLN s'estmontré à l'occasion de sa sortie d'hier déstabilisé, pas très confiant de lui et surtout peu bavard contrairement à son habitude. Dans son discours, Ould Abbès est revenu sur l'appellancé au président de laRépublique de briguer un cinquième mandat, attestant que "la décision reviendraau président Bouteflika". "Je n'ai fait en fait que refléter l'avis de 700.000militants qui ont émis le souhait de voir le président poursuivre son oeuvre", a-til justifié. Occasion pour Ould Abbès de faire une petite digression sur le gouvernement pour dire du bout des lèvres qu'il "salue" sa décision de faire un bilan du président, tout en laissant entendre que le FLN en reste le maitre d'oeuvre.Par ailleurs, Ould Abbès s'est dit "satisfait" de ladémarche du gouvernementqui va de son côté évaluer letravail du président.Parlant du président Bouteflika, Ould Abbèscommence par dire "il vabien et quand le présidentva bien le FLN va bien,l'Algérie va bien". Puis deparler de la présidentiellepour dire que son souhait etcelui des 700.000 militantsest que "le président poursuivesa mission, mais le dernier mot lui revient". Àpartir de Djelfa où il a réuni ses cadres, OuldAbbès a affirmé que "le travail de la commissionchargée d'évaluer le bilandes 20 ans du présidentBouteflika à la tête du payssera achevé dans 3 à 4semaines". Le patron du FLN expliqueraque ce document serala réponse à ceux qui posent a question "où sont partis1.000 milliards de dollars ?", indiquant à propos deDjelfa qu'elle a bénéficié de93.000 logements depuis2.000. Le chef du FLN, se situantau niveau national, parlera de barrages dont le nombreest passé de 30 à 81, dunombre d'étudiants, passéde 99.480 à 1.557.000. Mais Ould Abbès insistesurtout sur le secteur du logement pour faire valoir les 4 millions d'unités réaliséessous les mandats successifsdu présidentBouteflika."4 millions de logements, soit 20 millions d'Algériens logés ; dites-moi s'il vous plait, s'il existe un exemple pareil dans le monde ; c'est cela le miracle de Bouteflika", s'enthousiasme- t-il. Le rapport de cette commission, rappelons-le, est inscrit par la direction du FLN parmi les points essentiels du prochain CC. Qu'est-ce qui motive cet énième report du CC ? Ould Abbès a-t-il peur de la confrontation ? Le SG duFLN veut faire croire le contraire : "L'époque de la collecte des signatures pur destituer le SG du FLN est révolue", a-t-il lancé à l'adresse de ses détracteurs, qui réclament une réunion du CC dans les plus brefsdélais. Mais le SG du FLN s'estmontré à l'occasion de sa sortie d'hier déstabilisé, pas très confiant de lui et surtout peu bavard contrairement à son habitude. Dans son discours, Ould Abbès est revenu sur l'appellancé au président de laRépublique de briguer un cinquième mandat, attestant que "la décision reviendraau président Bouteflika". "Je n'ai fait en fait que refléter l'avis de 700.000militants qui ont émis le souhait de voir le président poursuivre son oeuvre", a-til justifié. Occasion pour Ould Abbès de faire une petite digression sur le gouvernement pour dire du bout des lèvres qu'il "salue" sa décision de faire un bilan du président, tout en laissant entendre que le FLN en reste le maitre d'oeuvre.Par ailleurs, Ould Abbès s'est dit "satisfait" de ladémarche du gouvernementqui va de son côté évaluer letravail du président.Parlant du président Bouteflika, Ould Abbèscommence par dire "il vabien et quand le présidentva bien le FLN va bien,l'Algérie va bien". Puis deparler de la présidentiellepour dire que son souhait etcelui des 700.000 militantsest que "le président poursuivesa mission, mais le dernier mot lui revient".