Décidément, il ne faut pas s'attendre à ce que la presse occidentale soit juste avec Poutine. Tiens, par exemple, le fait que pendant la Coupe du monde de foot la sécurité totale soit assurée n'est pas mis au crédit du Président russe. C'est parce que, nous dit cette presse impartiale, les forces de police auraient menacé les familles de hooligans de terribles représailles au moindre écart de ces derniers. L'info n'est même pas vérifiée, à supposer qu'elle est vérifiable. Et, de toute façon, si le hooliganisme avait frappé on aurait reproché à Poutine l'inverse. Qui veut tuer son chien, etc. A. T. [email protected]