Journée de la liberté de la presse, le 3 mai. C'était le délire. On rattrape le temps perdu. On pousse l'incantation sur le courage, la noblesse et tutti quanti des journalistes algériens. Qui les tuait ? Qui les jetait en taule ? C'est personne, évidemment... Magie des mots. A. T. [email protected]