Tout le monde a le droit d'évoluer dans sa perception du monde et, en particulier, en politique où la position est conditionnée par deux paramètres : les valeurs qu'on proclame défendre, et qui sont un peu comme l'ADN, et la lecture du présent avec ses aléas. Qu'un Ali Ghediri apparaisse comme l'adversaire providentiel est dans l'ordre des choses. Mais quand on voit des bouteflekistes indécrottables qui quittent le navire pour rejoindre Ali Ghediri, sans observer le quart d'heure de décence, c'est dans l'ordre des choses peut-être mais, pour certains, il y a comme du mal à faire passer le truc. Après, chacun fait ce qu'il veut ! A. T. [email protected]