Les déclarations presque dédaigneuses d'Ouyahia semblant maintenir le cinquième mandat, c'est-à-dire la cause de la crise en cours, tiennent soit de l'inconscience bravache soit de l'assurance que peut avoir celui qui sait. Ça peut tenir aussi d'un trouble : celui qui fait, selon le général Giap, de «l'impérialisme un mauvais élève». Il n'apprend pas les leçons ! A. T. [email protected]