Le défenseur international algérien de Krylia Sovetov Samara, Mehdi Zeffane, s'est blessé, mardi, au niveau de l'ischio-jambier gauche, lors du match nul décroché sur la pelouse du Lokomotiv Moscou (1-1), dans le cadre de la 25e journée du Championnat russe de football. Incorporé d'entrée, le latéral droit de 28 ans a quitté ses coéquipiers peu avant la pause (40e). L'ancien Rennais a ressenti des douleurs au niveau de son ischio-jambier gauche. Le joueur formé à l'Olympique Lyonnais devra passer des examens médicaux pour connaître avec exactitude la nature de sa blessure. En dépit de ce point décroché à l'extérieur, Krylia Sovetov Samara reste relégable, occupant la 15e et avant-dernière place au classement avec 23 points, à une longueur du premier non-relégable le FC Akhmat Grozny, et ce, à cinq journées de l'épilogue. Le président de Bordeaux s'exprime sur le cas Khacef S'exprimant pour Sud-Ouest sur un probable retour en Algérie de Naoufel Khacef, le président des Girondins de Bordeaux, Frédéric Longuépée, a tenu à s'expliquer sur les procédures engagées par l'agent des joueurs, Mehdi Aït Ahmed, à l'encontre d'Eduardo Macia, le directeur sportif de Bordeaux, Raquel & consorts, ainsi que d'autres personnes, pour «exercice illégal de la profession d'agent» et «escroquerie en bande organisée». Pour le patron des «Ciel et Marin», aucun intermédiaire n'a été mandaté par le club bordelais pour faire venir le jeune international algérien du NAHD. «Nous n'avons pu rémunérer Mehdi Aït Ahmed dans la mesure où le joueur n'a pas souhaité finaliser l'accord tripartite et le mandat de représentation avec son agent. On n'a donné aucun mandat à qui que ce soit pour faire venir ce joueur. On n'a rémunéré personne pour identifier Khacef. Il nous a été indiqué qu'il était représenté par Aït Ahmed avec qui on a travaillé pour faire venir le joueur. Il se trouve que le jour de la signature, le 31 janvier, l'agent n'avait pas de mandat de représentation», dira le président des Girondins. Le club français a, selon Sud-Ouest, décidé de ne pas lever l'option d'achat de Naoufel Khacef prêté par le NAHD pour six mois contre la somme de 50 mille euros et une clause de libération fixée à 300 mille euros à lever avant le 31 mai dernier. M. B.