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APW DE TIZI-OUZOU
L'ins�curit� et l'opacit� dans l'usage de l'argent public d�nonc�es
Publié dans Le Soir d'Algérie le 11 - 12 - 2010

L�ins�curit�, la mauvaise gestion et le d�tournement de l�argent public ont �t� les principaux sujets abord�s lors de la conf�rence de presse organis�e par le pr�sident de l�APW de Tizi- Ouzou qui a d�nonc� la faillite de l�Etat dans la gestion d�une situation qui, selon lui, g�ne le d�veloppement local et perturbe la qui�tude des citoyens.
Dans sa d�claration liminaire, le P/APW estime grandissante l�inqui�tude des citoyens qui ont saisi l�APW devant l�ampleur de ces fl�aux et surtout pour d�noncer �la d�mission de l�Etat dans ses missions de prise en charge de la s�curit�, le laxisme face � la d�linquance et le d�tournement de la ressource publique au profit de structures alibis qui parasitent le patrimoine historique et culturel de notre r�gion�.
Persistance de l�ins�curit� et des enl�vements
Revenant sur le ph�nom�ne des enl�vements et de l�ins�curit� avec leurs cons�quences n�gatives sur le d�veloppement local, M. Bellab�s d�plore le fait que les conclusions et les recommandations issues du d�bat g�n�ral organis� par l�APW sur ce probl�me n�aient rencontr� aucun �cho de la part des pouvoirs publics, �pire, il semble que ces agressions o� convergent le banditisme et le terrorisme se multiplient sans que l�Etat prenne des mesures adapt�es contre une strat�gie de terreur et de r�gression �conomique et sociale �, s�indigne le pr�sident de l�APW qui fait observer : �La pression terroriste, pour tragique qu�elle soit, n�est pas le seul probl�me que nous devons affronter �, stigmatisant �les manquements, les complaisances, voire les complicit�s de pans entiers de l�administration nourrissent cette �ambiance� de pourrissement �. Une situation d�l�t�re qui autorise � poser des questions �sur les intentions de ceux qui encouragent et sponsorisent cette d�rive de plus en plus massive et durable�, estime le P/APW qui, refusant de nommer ceux par qui cette situation est advenue, et qui perdure, pointe du doigt �l�absence de volont� politique au niveau gouvernemental et de l�Etat pour prendre en charge la probl�matique s�curitaire�. Le P/APW s��tonnera qu�en mati�re de d�linquance urbaine �l�administration s�accommode de d�bordements d�acteurs connus en tant que r�cidivistes notoires�, stigmatisant la justice qui �rejette le traitement d�actes qui perturbent la qui�tude et la stabilit� de nos villes et villages�.
Usage de l�argent public : opacit�
La gestion et l�usage de l�argent public destin� au d�veloppement de certains secteurs est l�autre sujet abord� par le P/APW qui pointe du doigt le domaine de l�animation culturelle o� �l�action des structures locales interpelle les consciences�. Il ne se g�nera pas pour parler d�une gouvernance �opaque� de l�argent public, incriminant �des agents qui g�rent le budget de ce secteur sans qualification, cumulant en toute ill�galit� les fonctions d�ordonnateurs et de gestionnaires et disposant de dispenses publiques dans une opacit� qui pose des probl�mes juridique, politique et moral�. Il citera le cas d�un chanteur �proche du pouvoir� qui recevra un cachet de trois milliards de centimes pour un seul gala alors que �d�autres n�ont pas encore �t� r�tribu�s pour leurs prestations �, d�clarant, dans la foul�e, que la r�novation du th��tre Kateb-Yacine qui a �t� effectu�e dans des conditions plus que douteuses a co�t� des sommes qui ont d�pass� de beaucoup sa r�alisation. A une question portant sur la possibilit� de l�ouverture d�enqu�tes pour d�terminer le caract�re frauduleux de ces d�penses, l�orateur r�pondra par l�affirmative : �Nous sommes interpell�s par les citoyens, nous n�allons pas d�roger � notre mission de contr�le ; nous allons initier des commissions d�enqu�te sur les d�penses dans le secteur de la culture. Nous allons nous int�resser aussi aux d�penses engag�es pour la r�alisation d�am�nagements urbains : 57 milliards de dinars d�pens�s pour un travail mal fait�, rel�vera Bellab�s qui promettra que les citoyens seront r�guli�rement inform�s �sur les d�missions, les complicit�s et autres malversations qui d�structurent notre wilaya (�) notre assembl�e exigera de l�administration d��uvrer dans le cadre de la r�glementation et des lois en vigueur et de traiter en toute transparence les affectations et l��valuation de l�utilisation des finances publiques dont ils ont la responsabilit�, dira encore le P/APW qui s�est interrog�, en outre, sur les raisons de la fermeture du centre fran�ais � Tizi-Ouzou, alors que ceux d�autres wilayas fonctionnent.


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