Le Palais des expositions aux Pins-Maritimes abritera, cette semaine, deux salons professionnels sp�cialis�s distincts, ouverts au grand public. Dans sa deuxi�me �dition, le Salon des banques, assurances et produits financiers Expo Finances s�ouvre aujourd�hui et se poursuivra jusqu�au 21 octobre 2011, sous le patronage du minist�re des Finances. Organis� conjointement par la Soci�t� alg�rienne des foires et exportations (Safex) et la soci�t� Mira Cards Editions, le salon Expo Finances devrait regrouper, sur 2 000 m2 au pavillon C, une quarantaine d�op�rateurs (banques, assureurs et autres �tablissements financiers et soci�t�s de services) ainsi que des institutionnels (directions g�n�rales du minist�re des Finances, Banque d�Alg�rie, Commission d�organisation et de surveillance des op�rations de Bourse�). M�me si certaines banques priv�es semblent bouder cette manifestation, le salon Expo Finances est con�u, cependant, par ses organisateurs en tant que plateforme, un espace de r�flexion et de veille sur la dynamique sectorielle et le financement de l��conomie et de l�emploi, voire sur tout ce qui concerne les produits et les services financiers. Et d�autant qu�une s�rie de conf�rences th�matiques, consacr�es notamment au contr�le de la d�pense publique, l�assurance cr�dit ou la finance islamique, seront anim�es, les 18 et 19 octobre � la salle Ali-Ma�chi, par des cadres institutionnels et des professionnels. Egalement dans sa seconde �dition, le Salon des industries �lectriques, �lectroniques et de l��lectrom�nager (Sielec) se tiendra du 19 au 25 octobre 2011 au pavillon central du Palais des expositions. Organis� conjointement par la Safex et la soci�t� Batimatec Expo, le 2e Sielec r�unira, sur 1 500 m2, une vingtaine d�exposants nationaux et des expositions � ventes sont envisag�es. Avec l�objectif notable, selon ses organisateurs, de d�battre des moyens permettant de promouvoir ces industries, en faisant conna�tre le potentiel ainsi que les conditions permettant la reprise. Et d�autant que ces industries, certes �mergentes, peinent cependant � satisfaire totalement la demande nationale, dans un contexte de forte concurrence notamment priv�e, de pr�gnance de l�informel et de la contrefa�on, d�absence des conditions de comp�titivit�, s�curit� et de qualit� et conformit� aux normes�