Suite � votre article du 6 d�cembre 2011 en page sport, sous le titre : Natation, la piscine de Bab Ezzouar �sous scell�s�, je vous prie d�introduire en m�mes lieu et place les �l�ments de r�ponses suivants : une simple visite sur site prouve que la piscine de Bab Ezzouar est parfaitement op�rationnelle et n�attend plus que ces clubs et leurs �coles de natation. Il est facile d�accabler le ministre de la Jeunesse et des Sports et d�occulter tous les efforts fournis pour la promotion du sport, surtout pour les jeunes cat�gories. L�utilisation d�une piscine par une association sportive passe d�abord par le d�p�t d�un dossier incluant la police d�assurance et la signature d�une convention d�utilisation, la direction de la piscine attend toujours que les clubs se manifestent et qu�ils r�pondent � cet imp�ratif administratif. A ce jour, il n�y a que trois clubs d�positaires d�un dossier complet, la direction de la piscine de Bab Ezzouar et conform�ment aux instructions de M. El Hachemi Djiar, ministre de la Jeunesse et des Sports, a scrupuleusement respect� ses engagements en r�servant des cr�neaux d�entra�nement aux �coles de natation, anticipant sur les dol�ances des clubs sportifs pour leur garantir une r�ponse favorable et rapide, mais la responsabilit� de la r�partition de ces cr�neaux p�dagogique, n�incombe pas au minist�re, ou � la DJS/L, et encore moins � la direction de la piscine. Cette responsabilit� est du ressort de la ligue de natation de la wilaya d�Alger qui chapeaute ces clubs � l��chelle locale. En conclusion, j�affirme que la piscine de Bab Ezzouar est parfaitement op�rationnelle et que la direction de cette piscine est toujours dans l�attente de la programmation que doit �tablir et lui remettre la ligue de natation. Devant ces �l�ments de r�ponse, j�esp�re avoir contribu� � la compr�hension de cette situation. R�ponse � la mise au point R�agissant � l�article paru en date du 6 d�cembre dernier et intitul� �la piscine de Bab Ezzouar sous scell�s�, la F�d�ration alg�rienne de natation (FAN) a jug� utile d�apporter des pr�cisions, dans la perspective, explique-t-elle, de �contribuer � la compr�hension de cette situation�. Ainsi, dans sa r�ponse la FAN n�a pas trouv� mieux que de prendre la d�fense de sa tutelle, en l�occurrence le minist�re de la Jeunesse et des Sports, tout en portant la responsabilit� de cette �situation� � la Ligue de natation de la wilaya d�Alger. Or, dans l�article en question, il n�a �t� nullement question d�accabler le minist�re, encore moins la f�d�ration. Ledit article fait suite aux multiples appels de d�tresse lanc�s par les parents des athl�tes suite � la �fermeture de la piscine aux clubs�. Une situation constat�e sur place depuis la mi-septembre dernier, p�riode pendant laquelle les clubs se limitaient � faire subir � leurs athl�tes, trois mois durant, un travail physique, ce qui n��tait pas compatible avec le mode de pr�paration circonscrite dans le temps pour cette cat�gorie de pratique sportive. Aussi, il est incompr�hensible de constater que la F�d�ration nationale de natation justifie cette mise �sous scell�s� de la piscine de Bab Ezzouar en �voquant �l�imp�ratif administratif des clubs�. En fait, dans le cas �ch�ant, la question ne rel�ve nullement des pr�rogatives des gestionnaires de la piscine de Bab Ezzouar. Ces derniers conform�ment � la r�glementation ne sont pas habilit�s � exiger des clubs la conformit� de leur organisation interne. La seule relation qui lie les deux parties se limite � la question financi�re. Les clubs, faut-il le noter, doivent payer une contrepartie p�cuniaire pour pouvoir disposer d�un cr�neau d�entra�nement. Puisque la FAN s�inqui�te de la situation qui pr�vaut au sein des diff�rentes piscines, pourra-t-elle d�s lors expliquer la fermeture constat�e de la piscine du 1er-Mai qui d�pend des services de l�OCO ? L�autre question qui se pose et qui risque de ne pas trouver, du moins pour le moment, une r�ponse imm�diate, est relative � la situation organique de la FAN dont la gestion est assur�e par un directoire dont la mission ne devait pas s��taler dans le temps.