�La m�decine dentaire : perspectives et strat�gie de pr�vention en Alg�rie�, tel est le th�me de la Journ�e de m�decine dentaire, la quatri�me du genre, organis�e au CHU de Tizi-Ouzou, durant la journ�e de mardi. �C�est une journ�e qui entre dans tout un planning. Au mois de juin, d�autres s�minaires sur la douleur, le suicide et le diab�te seront organis�s �, dira le Pr Abbas Ziri, directeur g�n�ral du CHU Nedir-Mohamed de Tizi-Ouzou. Pour le premier responsable de ce centre hospitalo-universitaire qui a abrit� la quatri�me Journ�e de m�decine dentaire, �la formation doit prendre toute sa place�. Plus de vingt conf�rences ont �t� anim�es par les sp�cialistes venus des CHU d�Annaba, de B�ni- Messous, de Blida, d�Alger... Le Pr K. Messahli, du service de m�decine l�gale au CHU de Blida, a orient� son intervention sur la m�decine dentaire et responsabilit� m�dicale. �L�acte m�dical s�installe dans le cadre juridique. La responsabilit� m�dicale est morale et juridique�, dira-t-elle. Pour cette conf�renci�re, �l�acte m�dical reste intimement li� � la relation m�decin-malade�, avant de mettre l�accent sur le code de d�ontologie et de rappeler ce que sont les devoirs d�un chirurgien-dentiste, comme le respect du libre choix du patient, le respect de l�intimit�, l�impartialit� ou encore l�assistance, etc. Le Pr K. Messahli a longuement expliqu� aux �tudiants en chirurgie dentaire et aux enseignants pr�sents � l�amphith��tre du bloc p�dagogique du CHU Nedir-Mohamed, ce qu�une faute veut dire, et que les victimes plaignantes intentent, de plus en plus, des proc�s au p�nal. La raison, pour le Pr Messahli, le patient est conseill� par son avocat qui le dissuade de porter plainte au civil, puisque avec cette proc�dure, le proc�s pourrait durer des ann�es.